dimanche 5 juin 2011

L'après Fukushima


.Avec la catastrophe de Fukushima, nous avons tous compris que - même qu'elle soit de l'autre bout de la planète - l'élan de 'sortir du nucléaire' ne sert à rien. Donc, à ceux qui seraient intentionnés à attaquer le seul dernier pays à l'avoir (si tenté put-il y avoir 'fin mondiale du nucléaire'), ce serait là bien peine perdue. Effectivement, vu qu'il n'existe aucune autre énergie de remplacement adéquat à la vie de 7 milliards d'habitants, faut faire avec. Avec le nucléaire implique l'action de s'en protéger en cas de défaillance. Bâtiments parasismiques et renforts de murs d'enceinte en cas de chute d'avion ou d'autres choses. Ce qu'il faut comprendre c'est qu'en cas de bombardement en situation de guerre, l'ennemi serait alors autant touché que le pays attaqué.
Or, même si aujourd'hui l'on est loin de reparler de la 'bombe atomique' qui est complètement dépassée depuis plus de 30 ans, il existe néanmoins une arme dont l'action la dépasse (et de loin !), c'est cette fameuse technologie scalaire. Technologie qui est loin de faire l'unanimité dans les titres des médias et encore moins de s'ouvrir en débats !
Donc, même si demain, certains pays seraient en voie d'abandon du nucléaire, cela reconsidérerait tout l'avenir de ses habitants en un violent retour au 19 ème siècle où le froid (entr'autres) ferait vite la part des choses et que peu de lavandières s'en retourneraient aux lavoirs municipaux ou rivières d'à-côté pour y laver leur linge faute d'avoir installé a grands frais tout un parc de photo-voltaïques et d'éoliennes dont la non-rentabilité n'est plus à démontrer. Quant aux illuminés des blockhaus souterrains et antiatomiques, la vie de taupe pendant quelques siècles n'est même pas à reconsidérer.
Aussi défaillant que l'abandon du pétrole (abiotique ou pas), vu que la voiture à moteur à eau marche sans qu'elle soit fabriquée en série ni commercialisée, cela situe bien l'ampleur des attrape-nigauds mis en place aux approches d'élections que de présenter le salut de l'humanité dans un retour en arrière.
Tout est là pour ruiner le consommateur en réimplantant le bon vieux système de royauté où chacun devra fermer sa gueule et se soumettre aux directives bien personnelles du petit dictateur de Bruxelles ou bien d'ailleurs (Tiens-tiens, ça me rappelle quelque chose !...). Ainsi le bon vieux cheval de labour et l'ère des diligences ou pouss-pouss reviendraient-ils (en milieu 'bio' ?!!) que, très bientôt comme avant, les famines et bestioles en tout genres seraient légions comme au temps anciens où l'espérance de vie ne dépassait guère 40 ans.
Ainsi, comme nous n'avons de mainmise sur tous les pays du monde, les plus avancés seraient ceux qui aujourd'hui sont appelés 'à la traîne', et dont nous dépendrions s'ils ont refusé ce retour en arrière.

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