vendredi 11 novembre 2011

Vu à la télé !

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Le phénomène 'télé' est extraordinaire, cette plate-forme de notoriété publique conforte n'importe qui dans n'importe quoi ! Peu importe ce que la personne qui apparaît à l'écran peut raconter ! Ensuite, lors de meeting dans telle ou telle ville, les gens se déplacent pour... voir (peut-être même toucher ! ) la personne vue à la télé !

Soit, mais encore ? La personne qui parle ne répond nullement aux attentes des spectateurs mais... ils l'applaudissent quand même ! Aussi, à la question 'brûlante' d'aujourd'hui: "Comment sortir du nucléaire ?" vient logiquement la réponse expresse et toute simple: "Rentrez chez vous et appuyez sur le bouton 'arrêt' de votre compteur électrique !" Mais, comme malgré toutes les remontrances aucun des adorateurs de l'idole sur l'estrade et sous les projecteurs n'accomplira ce geste merveilleux et plein de sagesse de se dire enfin: "Je ne suis pas con, j'appuie sur le bouton pour arrêter d'avoir de l'électricité mortelle, onéreuse, envahissante, dangereuse, polluante", etc (rayez la ou les mentions inutiles), ils continueront d'applaudir et, la soirée terminée rentrant chez eux, diront à qui veut l'entendre: "ils ou elle a bien parlé, je voterai pour cette personne" !

Tel est le doux phénomène d'abrutissement des masses qui ne cherchent à comprendre pourquoi une personne qui n'a pas de programme, pas de solution, mais une voix... "comme à la télé" (un autographe svp ?) et un livre (écrit par un 'nègre' ?) titré: "Pourquoi je n'ai pas de programme et prend les autres pour des cons" se vendra comme des petits pains ! (en plus, y a sa photo en 4 de couverture ! Whoaaaâh !).
Donc, pour résumer, "comment faire pour passer à la télé ?" Refaire le coup du train 'Glasgow/Londres' ? Le casse de Nice avec un Spaggiari n°2 ? "J'ai enfermé ma fille 18 ans dans un placard" ? "J'ai acheté du biofidus actif et j'ai mal au ventre" ? "J'ai rencontré Ben Laden avant-hier chez Carrefour" ? etc, etc, le choix du scoop peut être aussi "Pourquoi j'ai encore acheté un centrale nucléaire sur internet ?" ou "Urgent, svp, est-ce que quelqu'un peut me la tenir ?" ou bien d'autres 'tombées du camion'.

Donc, si vous avez compris que tout est dans la jouissance, "J'ai eu un orgasme au parti communiste" ou "Je t'ai vu à la télé, suis-je enceinte ?", lâchez-vous une bonne fois pour toutes, achetez une webcam et repassez-vous vos meilleurs moments du genre "Aide toi et le ciel t'aidera" et envoyez-vous des menaces de mort (ça fait plus sérieux) !

22 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Le secret du mode de caméra panoramique de l'iPhone découvert par un hacker
Par Ted Thornhill - 10 novembre 2011

Un hacker de l'iPhone a découvert que les iPhones exécutant le logiciel iOS 5 systèmes d'exploitation ont un mode de caméra panoramique cachée. Une fois qu'il est allumé les utilisateurs pouvant prendre des photos continues tout en panoramique de l'appareil photo de gauche à droite. Il est idéal pour le composant logiciel enfichable heureux utilisateurs de l'iPhone, mais Apple pourrait ne pas être tellement heureux parce que c'est une fonction qui n'est pas officiellement prête à l'emploi. Piraté : Un mode caméra secret a été découvert sur l'iPhones exécutant iOS 5, qui comprend l'iPhone4 et l'iPhone 3GS (voir ci-dessus).
Une fois qu'il est allumé utilisateurs peuvent prendre des photos en continu tout en panoramique de l'appareil photo de gauche à droite. Sur la photo, bouton Easter egg - un message ou une récompense caché dans le logiciel par les fabricants - a été trouvé par Conrad Kramer, qui se décrit lui-même sur son profil de Twitter comme ' programmeur. hacker de l'iPhone. Geek'. Hier, il tweeted: ' donc, j'ai découvert comment activer le Panorama est l'iOS caméra app ensemble la clé de com.apple.mobileslideshow.plist « EnableFirebreak » Oui. » Plusieurs autres hackers ont trouvé depuis le mode caché, trop. La plus récente : The Apple iPhone 4 s Pour l'activer, cependant, votre iPhone devra être jailbreaké ou vous aurez besoin d'avoir accès de développeur. Apple ne recommande pas de jailbreaking - où le système de fichiers du téléphone est brisée ouverte afin de permettre des modifications - que certains utilisateurs faire afin qu'ils peuvent télécharger des applications non disponibles sur iTunes. Il a dit: ' objectif d'Apple a toujours été de s'assurer que nos clients ont une grande expérience avec leur iPhone et nous savons que jailbreaking peut dégrader gravement l'expérience. « Comme nous l'avons dit, la grande majorité des clients ne faire pas jailbreak leurs iPhones car cela peut violer la garantie et peut causer de l'iPhone devenir instable et de ne pas fonctionner de manière fiable. » On pense que le mode de la caméra panoramique subit actuellement des tests avant d'être activée pour un usage général.

http://nmaria9.blogspot.com/2011/11/secret-iphone-panorama-camera-mode.html

11 novembre 2011 à 11:12  
Blogger huemaurice7 a dit...

Étude : Problèmes respiratoires chez l'enfant aux niveaux précédents de 700 %, hémorragies à 900 % dans les zones contaminées par l'effondrement de Chernobyl.
La fonction de reproduction féminine dans les zones touchées par rayonnement après l'accident de Tchernobyl power station Environ Health Perspect. Juillet 1993. 101 (Suppl 2): 117-123 : Extraits « Le taux de pathologie extragénitales pendant la grossesse a augmenté au cours des années après l'accident de 23,1 % en 1982 à 33,9 % en 1990 à Chechersky et de 7,1 % de 51,2 % en Polessky pendant la même période (Fig. 2).
Les principales pathologies dans les deux districts ont été d'anémie de grossesse, des troubles rénaux, l'hypertension transitoire et anomalies du métabolisme des lipides ». « La principale complication dans les stades postnatales était l'anémie, qui ont augmenté en incidence progressivement au cours des années après l'accident. L'augmentation des taux de fréquence entre 1983 et 1990 étaient de 9,1 % à 15,2 % en Chechersky et de 1,1 % à 9,3 % en Polessky. » L'incidence de la morbidité néonatale augmenté Polessky en facteur 3 et 2 fois Chechersky à la suite de l'accident (Fig. 5). Les maladies enregistrées étaient l'hypoxie, anomalies congénitales, détresse respiratoire, les infections et les maladies inflammatoires. L'hypoxie fœtale et néonatale a été deux fois aussi courante. Détresse respiratoire a augmenté de 7 fois Chechersky in et par un facteur de 2 à Polessky (Fig. 6). Syndromes hémorragiques augmentés en fréquences augmentées et ont été manifeste comme digestif hémorragie causant un méléna ou hémorragie sous-cutanée. L'incidence reprenne était de 0,5 à 1,0 %, en hausse de 4,4 % (Polessky) et 5,1 % (Chechersky) en 1990.
Dans les années qui suivent l'accident, il y avait une baisse générale de l'indice de santé avec une facteur 3 réduction du nombre d'enfants dans le groupe 1 comparativement à la population en général. Simultanément, le nombre d'enfants malades ont augmenté d'un facteur de 2,4 dans les deux zones polluées.
Conclusion Nous avons mené une enquête approfondie et complexe des femmes enceintes et leur progéniture après l'accident de Tchernobyl en avril 1986 et a calculé que la santé des mères, des foetus et des enfants différente significativement à la norme physiologique. Il y avait un complexe spécifique d'adaptation et pathologiques des anomalies de divers organes et systèmes. Le système reproducteur féminin lui-même est resté intact, mais des mécanismes compensatoires et adaptation défectueuses des mères et des unités de fetoplacental a entraîné des nouveau-nés qui sont encore, à l'heure actuelle, les maladies progressent. La détérioration générale de la santé des mères et des enfants est similaire dans toutes les zones polluées de la Russie, que Biélorussie et l'Ukraine et il faut conclure que cet effet a été causé par le rayonnement, qui a déclenché un ensemble complexe de dysfonction corporel. [...] Les troubles et les maladies ont révélé par ce sondage rendent nécessaire d'entreprendre des programmes spéciaux de la prophylaxie et le traitement dans les groupes de population affectée par la contamination radioactive. Mesures sociales sont nécessaires pour prévenir les malformations prénatales au moyen d'optimiser les conditions de protection de le fetoplacental complexe. Cela est essentiel pour réduire les conséquences dangereuses de l'accident de Tchernobyl et à préserver la santé de la postérité.

http://enenews.com/troubling-study-number-of-ill-children-up-240-in-areas-contaminated-by-chernobyl-meltdown-respiratory-problems-at-700-previous-levels-hemorrhaging-at-900

11 novembre 2011 à 21:37  
Blogger huemaurice7 a dit...

« Echec total de l’installation en cas de séisme » L’histoire de Fukushima dont CNN ne vous a pas parlé
vendredi 11 novembre 2011

Voici un extrait d’un carnet de notes, de la main d’un cadre senior dans une centrale nucléaire :
« Wiesel était complètement bouleversé. Il semblait très nerveux. Très agité. . . . De fait, la construction de l’usine avait été une succession de problèmes, à un tel point que, en aucun cas, les installations seraient en mesure de résister à un tremblement de terre. L’équipe d’ingénieurs envoyés pour inspecter les installations avait établi que la plupart des composants de l’installation « ne résisteraient en aucun cas et échoueraient totalement » lors d’un séisme.
« Echec total de l’installation lors d’un séisme. » Et voilà que le séisme en question était survenu au Japon et que – en effet – l’échec avait été total.
Cette alerte était consignée dans un petit carnet que mon équipe d’enquêteurs appelait simplement « Le Carnet », un document qui n’était pas censé être en ma possession.
Un carnet que j’avais heureusement gardé par devers moi, étant donné que les armoires contenant mes autres dossiers avaient été réduites en miettes quelques années plus tard, en même temps que le reste de mon immeuble de bureaux. (NdL&I : Greg Palast avait son bureau dans la Tour 1 du World Trade Center à New-York)
(...) Plus de 20 ans après, le 12 mars de cette année, alors que je regardais, à la télé, la centrale nucléaire de Fukushima entrer en fusion, je savais une chose : le document « SQ » avait été falsifié. (...)
La loi est claire. C’est un crime de ne pas signaler un manquement à la sureté d’une installation. J’arrive assez bien à imaginer Wiesel, debout dans ce bureau, tenant à la main ce gros livre de Réglementations, La Loi avec un grand L.
Il devait peser lourd, ce bouquin. Mais sa paye à la fin du mois, elle pesait lourd aussi. Il a soupesé les choix qui s’offraient à lui : violer la loi, éventuellement aller en prison, ou bien ne pas perdre son emploi.(...)

http://mc.saliceti.free.fr/spip.php?article14293

11 novembre 2011 à 21:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

Expert de rayonnement du gouvernement hongrois : iode 131 détecté à Budapest, mais c'est OK parce que « c'est bien en deçà des niveaux trouvés après Fukushima. »
Le 11 novembre - Dr Geza Safrany de l'Institut National de recherche de la Hongrie pour la radiobiologie et Radiohygiene dit Reuters « Une augmentation très minime dans l'activité a été enregistrée (en Hongrie) le 5 novembre, … mais c'est bien en deçà des niveaux trouvés après Fukushima » Ne "pour le temps étant la source de la fuite peut être déterminée » Détections ont été faites à la surveillance des stations à Budapest et la ville de Miskolc orientale. Il dit qu'il est peu probable que la Hongrie serait la source de la fuite comme il a été détecté dans plusieurs villes d'Europe


http://enenews.com/hungarian-govt-radiation-expert-iodine-131-detected-in-budapest-but-its-ok-because-this-is-far-below-the-levels-found-after-fukushima

11 novembre 2011 à 21:54  
Blogger huemaurice7 a dit...

JUST IN: Iode 131 maintenant détecté en Autriche, République tchèque, Hungary… autres pays -
Un indicateur de la réaction nucléaire en chaîne - 10 jours après la criticité parlée à Fukushima des traces de l'iode-131 détectées dans la tendance de l'Europe, le 11 novembre 2011 :
« De faibles niveaux d'un isotope radioactif ont été décelés dans plusieurs pays européens, dans les derniers jours, mais la source de l'émission était inconnue, l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a déclaré vendredi, DPA signalés. » [...] « "Mais c'est une préoccupation parce qu'il existe une source quelque part, un officiel proche de l'AIEA dit, ajoutant que les mesures atmosphériques ont été faites dans des pays dont l'Autriche, la République tchèque et la Hongrie. » [...] « Les gens qui prennent un vol transatlantique sont exposés à une dose de rayonnement 40 000 fois aussi élevés que celles détectées récemment, le ministère de la santé à Vienne dit. » De brève déclaration l'Agence internationale à l'énergie atomique sur la détection : « L'AIEA a appris sur des mesures similaires dans d'autres endroits à travers l'Europe » « L'AIEA croit trace niveaux actuels de l'iode-131 qui ont été mesurés ne présentent pas un risque de santé publique et ne sont pas causés par l'accident nucléaire de Fukushima Daiichi au Japon » « L'AIEA travaille avec ses homologues afin de déterminer la cause et l'origine de l'iode-131. » La conclusion de l'iode-131 vient environ 10 jours après l'annonce du xénon à Fukushima, qui était soupçonné d'être causé par une criticité. Combien de temps a-t-il fallu pour les particules radioactives du Japon pour atteindre l'Europe en mars ? « Les substances ont été soufflées vers l'est par un courant-jet se déplaçant à une vitesse de quelque 3 000 kilomètres par jour, arrivant sur la côte ouest des États-Unis le 18 mars, en Islande le 20 mars et nombreux autres pays européens, le 22 mars, les chercheurs ont dit. »
- DPA Parce que les rejets radioactifs après le séisme du 11 mars a eu lieu presque immédiatement, les isotopes radioactifs du Japon prend environ 10-11 jours pour atteindre l'Europe. Mise à jour via la BBC à 9 h 25 He (h/t Bobby1) : « L'autorité de sécurité nucléaire tchèque dit qu'il a été détecté radioactifs de l'iode-131 à un certain nombre de surveillance stations depuis fin octobre et avait informé l'AIEA pour voir si elle pouvait identifier la source, les rapports de l'Agence Reuters. » « Chef de la sécurité nucléaire tchèque Dana Drábová dit que l'iode pourrait avoir divulgué au cours de la production des produits radiopharmaceutiques. » « C'était certainement pas d'une centrale nucléaire, elle dit, ajoutant qu'ils étaient presque certains que la source était à l'étranger. »


http://enenews.com/just-in-iodine-131-now-detected-in-several-european-countries-iaea-believes-levels-do-not-pose-a-public-health-risk-not-from-fukushima

11 novembre 2011 à 22:08  
Blogger huemaurice7 a dit...

Vendredi 11 novembre 2011 5 11 /11 /Nov /2011 18:48

Iode radioactif sur l’Europe : évènement nucléaire en cours ?

Selon l’AIEA de très faibles niveaux d'iode-131 radioactive ont été détectés en République tchèque et « ailleurs » en Europe, mais les particules sont considérées comme ne présentant pas un risque de santé publique.
L'Agence internationale de l'énergie atomique, basée à Vienne, a déclaré qu'elle cherchait à déterminer cette source radioactive en estimant a priori que cette pollution ne pouvait pas provenir du Japon.
En fait, c’est l’agence de sûreté nucléaire tchèque qui a donné l’alerte : depuis fin octobre, donc depuis 2 semaines plusieurs des stations de surveillance de ce pays ont détecté de l’iode-131; mais l’AIEA était déjà au courant, car d’autres pays d’Europe centrale, comme l’Autriche et la Hongrie, avaient des mesures similaires de ce radionucléide cancérigène depuis environ 8 jours. Or l'iode-131 est un isotope de courte durée qui a une période de désintégration radioactive de huit jours, ce qui signifie concrètement qu’un évènement a eu lieu dans les semaines qui viennent de s’écouler, et de manière suffisamment importante pour que plusieurs pays européens détectent ce radionucléide.
Doit-on « croire » comme l’AIEA que cette pollution ne vient pas du Japon ? Dans les jours et les semaines suivant après le 11 mars, de l’iode-131 a pourtant été détecté aux Etats-Unis, en Islande, en France et dans d’autres parties de l’Europe.(...)

http://fukushima.over-blog.fr/article-iode-radioactif-sur-l-europe-evenement-nucleaire-en-cours-88519209.html?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook

11 novembre 2011 à 22:19  
Blogger huemaurice7 a dit...

PBS: les agents de Police a ordonné à travailler à l'extérieur à Fukushima avec rayonnement à 4,4 microsieverts heure-« ils nous ont dit nous sommes ok il nous faut juste leur faire confiance » (vidéo) SafeCast s'appuie sur la puissance de la foule à la carte rayonnement PBS Newshour du Japon, 10 novembre 2011 :
Extrait de la transcription à 08:30 en MILES o ' Brien : Mais sur la route, au point de contrôle de zone d'exclusion, les policiers ont ordonné d'être ici sont dans l'espoir pour le mieux. Vous ne vous inquiétez pas ?
OFFICIER de POLICE (par le biais de traducteur): ils nous ont dit il que nous sommes OK, il nous faut juste à leur faire confiance.
MILES o ' Brien : As-tu confiance eux ? (RIRES) OFFICIER de POLICE (par le biais de traducteur): c'est ce que disent nos patrons, il nous faut faire confiance à nos patrons, oui.

http://enenews.com/pbs-police-officers-ordered-to-work-all-day-in-fukushima-at-4-4-microsievertshour-%e2%80%93-%e2%80%9cthey-have-told-us-we-are-ok-so-we-just-need-to-trust-them%e2%80%9d-video

11 novembre 2011 à 22:27  
Blogger huemaurice7 a dit...

Mainichi : Les bactéries photosynthétiques utilisées dans la ville de Fukushima pour réduire les concentrations de césium radioactif -
Magic Microbes… Familier ? Les chercheurs supprimer 90 p. 100 du césium radioactif de boues avec des bactéries Mainichi Daily News, 11 novembre 2011 :
« Ici une équipe de recherche a réussi à développer une méthode d'élimination de césium radioactif de boues à l'aide de bactéries » [...] Ils "prélevés de boues dans une piscine à l'école publique dans la capitale de la préfecture de Fukushima de Fukushima et a couru les expériences il en septembre. « Les chercheurs mixte 90 grammes de bactéries photosynthétiques avec alginate et autres produits chimiques » [...] « Les niveaux de rayonnement allant de 12.04 à 14.54 microsieverts par heure au début de l'expérience jugées ont chuté à entre 2,6 et 4,1 microsieverts par heure à la fin de la troisième journée. » [...] « Par le biais de déshydratation et d'incinération, le volume du mélange des bactéries utilisé peut être réduit à un cinquième de son volume initial et le poids d'un centième soixante-dix. » [...] C'est qui rappelle la controversée ' magic méthode microbe utilisé par durant l'éruption massive de l'an dernier dans le golfe du Mexique: « il y a une nouvelle forme de microbiologie que c'est… est attaquer ce panache et de l'utiliser comme source de nourriture "officiel -BP Mike Utsler

http://enenews.com/mainichi-photosynthetic-bacteria-used-in-fukushima-city-to-reduce-radioactive-cesium-levels

11 novembre 2011 à 22:38  
Blogger huemaurice7 a dit...

Samedi 12 novembre 2011 6 12 /11 /Nov /2011 03:16

Iode 131, césium 134 et césium 137 à la centrale de Krško (Slovénie)

D’après le site public European Radiological Data Exchange Platform, de l’iode-131 est détecté uniquement en Slovénie et en Croatie, à quatre endroits différents : à Zagreb, à Ljubljana, à Krsko, et à la limite des trois pays Croatie-Hongrie-Serbie.
Quelques remarques viennent immédiatement à l’esprit :
Les informations fournies par l’AIEA sont lacunaires (pas de carte, localisation vague, pas de mesure fournie). Il va sans dire qu’il s’agit bien là de rétention d’information. Pour quelle raison l’AIEA a-t-elle fait seulement hier ce communiqué sur l’iode-131 ? Deux semaines après ces détections suspectes, il est évident que cette organisation sait déjà où se situe le problème.

Les informations fournies par la carte mise à disposition du public par la commission européenne sont incomplètes également : aucune information sur une présence d’iode-131 dans les 5 pays cités hier (Allemagne, Hongrie, République tchèque, Autriche, Slovaquie). Pourquoi cette carte n’est-elle pas mise à jour ?
D’après cette carte publique, deux centrales nucléaires sont susceptibles d'être concernées par ces rejets d'iode-131 : la centrale de Krsko (Slovénie) et la centrale de Paks (Hongrie). Mais si l’on fait une recherche avec le Césium, seule la centrale de Krško est concernée puisqu’en Europe, seul ce site cumule à la fois de l’Iode-131, du Césium-134 et du Césium-137.
Même si cette carte mise en ligne pour informer le public n’est pas une carte pour donner une alerte et peut contenir des erreurs, elle donne tout de même un fort indice pour qu’un évènement se soit passé dans les dernières semaines (ou est encore en cours ?) dans la centrale nucléaire slovène. Il est inimaginable que l’AIEA ne soit pas au courant. (...)

http://fukushima.over-blog.fr/article-iode-131-cesium-134-et-cesium-137-a-la-centrale-de-kr-ko-slovenie-88542827.html?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook

12 novembre 2011 à 09:12  
Blogger huemaurice7 a dit...

AP: Fonctionnaire anonyme de l'AIEA, dit communiqué de l'iode-131 semble se poursuivre à travers l'Europe Agence nucléaire rapports faible, mais il est inhabituel, rayonnement à travers l'Europe, Associated Press, 11 novembre 2011 :
« L'International Atomic Energy Agency [...] dit la cause [du rayonnement à travers l'Europe] n'était pas connue mais n'était pas le résultat de la catastrophe nucléaire de Fukushima Daiichi du Japon"[...] « Toutefois, un officiel familier avec l'affaire, qui a demandé l'anonymat parce qu'il n'était pas autorisé à commenter, dit que la libération semble se poursuivre. » « L'Agence a dit qu'elle enquêtait. » [...]

http://enenews.com/ap-anonymous-iaea-official-says-iodine-131-release-appears-to-be-continuing-across-europe

12 novembre 2011 à 09:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Rapport nucléaire sur l'industrie : Explosions à Fukushima unités 1, 3, 4 peuvent avoir causé un inventaire (tiges nucléaires) à perdre des pools de combustible usé
- « Les débris » sur le sol près de l'unité 3 a été extrêmement radioactif après l'explosion. Rapport spécial sur l'Accident nucléaire à la Fukushima Daiichi Nuclear Power Station, INPO (Institute of Nuclear Power opérations), novembre 2011 :
« Des explosions de l'hydrogène dans les bâtiments des réacteurs aux unités 1, 3 et 4, couplées avec la perte du groupe jaillissement d'unité 2, a entraîné la FSEP de toutes les unités étant exposées à l'atmosphère. Les explosions peuvent avoir également causé inventaire supplémentaire d'être perdus dans les pools. » « Une grande explosion d'hydrogène s'est produite dans le réacteur d'unité 3 bâtiment 1101 le 14 mars […] Débris sur le sol près de l'unité a été extrêmement radioactifs » Pourtant, le rapport lui-même contredit dans la conclusion à l'article 4.5 passa carburant Pools, "les analyses ultérieures et les inspections déterminées" "Subsequent analyses and inspections determined [...] aucun dommage important de carburant commis. »

http://enenews.com/nuke-industry-report-explosions-fukushima-units-1-3-4-caused-additional-inventory-nuclear-rods-be-lost-spent-fuel-pools

12 novembre 2011 à 09:42  
Blogger huemaurice7 a dit...

Intervention d'urgence se poursuit à l'incendie de sodium INL - tous les employés au complexe a ordonné à rester à l'intérieur de bâtiments - travailleur hospitalisé avec burns 1 transporté à l'hôpital après l'incendie du Laboratoire National de l'Idaho, KPAX, 11 novembre 2011 (2 h 43) :
Le personnel d'urgence continuent de répondre à un incendie sodium [...] Rapport de fonctionnaires qu'un employé d'un projet de nettoyage de l'Idaho a été emmené au Centre médical régional de l'est de l'Idaho après avoir subi de burns [...] tous les autres employés de la MFC complexe ont dit de rester à l'intérieur des bâtiments.

http://enenews.com/emergency-respone-continues-at-inl-sodium-fire-all-employees-at-complex-ordered-to-remain-inside-buildings-worker-hospitalized-with-burns

12 novembre 2011 à 09:45  
Blogger huemaurice7 a dit...

Plutonium de qualité à l'emplacement du feu de sodium de l'Idaho - juste il y a de jours directeur du complexe dit « dangers n'étaient pas bien compris et contrôles n'étaient pas correctement en place »
Deux travailleurs de laboratoire de l'Idaho inhalent oxyde de plutonium de réacteur de plutonium de qualité, Idaho Stateman par Rocky Barker, 9 novembre 2011 : [...]
Seize employés étaient exposés au plutonium au zéro puissance physique réacteur, responsables de l'INL a déclaré dans une conférence de presse téléphonique mercredi. Les employés ont été déclassement du réacteur qui était alimenté par plutonium de qualité - plutonium assez pure pour fabriquer des bombes. [...] Fonctionnaires DOE m'a dit que dans les années 1980 quand je tourne le réacteur qui le plutonium de qualité a été prêté aux États-Unis par le gouvernement britannique. [...] Les « risques n'étaient pas bien compris et contrôles n'étaient pas correctement en place, » dit Phil Breidenbach, directeur des opérations nucléaire des matériaux et des complexes combustible utilisé pour être le II éleveur réacteur expérimental complexe. [...]

http://enenews.com/weapons-grade-plutonium-at-location-of-idaho-fire-just-days-ago-director-of-complex-said-hazards-were-not-thoroughly-understood-and-controls-were-not-properly-in-place

12 novembre 2011 à 09:50  
Blogger huemaurice7 a dit...

Japan Times: A dit qu'il y a de très mauvaises conditions à Fukushima - travailleurs souvent abandonnés après excédant la limite de rayonnement. Calme au Village de j. démentit le danger, Japan Times, 12 novembre 2011 :

[...] « les problèmes graves sont restés pour les travailleurs à Fukushima n° 1, initiés dire. » « Hiroyuki Watanabe, membre de l'Assemblée municipale de Iwaki, a interviewé environ 20 travailleurs de la centrale nucléaire et certains lui ont dit les conditions étaient extrêmement mauvaises. » [...] « Beaucoup ont été envoyées par des compagnies de dispatch sous-traitant qui ne fournissent pas d'emploi ou d'assurance maladie, ce qui est illégal, Watanabe dit. » « Les travailleurs sont souvent abandonnés par les sociétés du personnel, une fois que leur exposition au rayonnement cumulatif dépasse les limites légales, Watanabe dit. » [...] « Tepco est à court de travailleurs qualifiés de centrale nucléaire de niveau intermédiaire, compte tenu de la limite légale pour l'exposition aux rayonnements, [Yukiteru Naka, qui dirige l'entreprise d'entretien de centrale nucléaire Tohoku Enterprise Co.] averti. »

Un regard américain à Fukushima, Minute par Minute, New York Times, 11 novembre 2011 :
« Une leçon comprend la nature de la radioprotection des travailleurs de l'usine en cas d'urgence. Deux opérateurs reçu plus de 60 rem (0,6 Sv), bien au-dessus du niveau au cours de laquelle les changements dans la chimie du sang peuvent être observés et presque au niveau où les symptômes comme des nausées et des vomissements commencent. » « Mais la plupart de la dose ne provenaient pas de marcher dans les lieux où les rayonnements était présent - c'est interne, ce qui signifie que c'est à partir de particules inhalées ou avalées par les travailleurs. Matières radioactives qui sont déposées dans le corps apporteront une dose pendant une longue période. »

Une visite à Fukushima commence, New York Times, 11 novembre 2011 : Le gouvernement japonais ouvre la zone composée et environnante aux médias pour la première fois. Le vendredi, fonctionnaires ont pris un groupe de journalistes, y compris Martin Fackler du New York Times, lors d'une tournée de J-Village, un centre sportif ancien près de l'usine qui est maintenant utilisé pour les travailleurs de maison rassasient pour juguler les réacteurs de la centrale.
[...] « Le Centre médical a traité jamais un cas d'exposition aux rayonnements. Fukushima Daiichi avait un cas d'exposition de rayonnement en mars, mais la personne a été traitée ailleurs ». « Quelque 2 400 travailleurs sont venus pour contrôles, mais surtout pour les rhumes. » Remarquez la contradiction entre les deux rapports du New York Times du 11 ? Étant peut-être sur les relations publiques Tepco tour interféré avec la capacité de m. Fackler à la recherche correctement cette question vitale.

http://enenews.com/japan-times-official-told-extremely-bad-conditions-fukushima-workers-abandoned-after-exceeding-radiation-limit

12 novembre 2011 à 19:05  
Blogger huemaurice7 a dit...

Séisme de 4,5 dans le Gard-Rhodanien : La menace nucléaire est réelle.
Le CAN84 exige l'arrêt définitif des réacteurs nucléaires du Tricastin et des sites nucléaires de la vallée du Rhône-Durance.
par Collectif antinucleaire de Vaucluse
Mondialisation.ca Le 4 aout 2011
Communiqué de presse de CAN84

Un nouveau séisme de 4,5 sur l'échelle de Richter vient de se produire dans le sud-est (Gard-Rhodanien) ce mercredi 4 août et révèle l'absence de fiabilité des affirmations du lobby nucléaire répétant sans honte qu'en Provence les centrales nucléaires ne sont pas menacées par les tremblements de terre. Il y a 3 centrales nucléaires dans ce secteur (Tricastin, Cruas Meys, Pierrelatte), des réacteurs à bout de souffle, une usine de fabrication du terrifiant combustible « Mox » (celui de Fukushima).

Ce séisme fait suite à celui de la semaine dernière en Italie et à celui de jeudi 7 juillet, en Méditerranée, au large de la Corse, d'une magnitude de 5,2, sur l'échelle de Richter. Le BRGM (Bureau de recherche géologique et minière) place se séisme parmi les 10 séismes les plus importants enregistrés depuis une trentaine d'années sur le territoire métropolitain.
Le CAN84 a révélé sur son site internet (1) l'an dernier que des chapelets de micro-séismes avaient lieu non-loin du site nucléaire du Tricastin et annonçaient inéluctablement une amplification de la menace, les 3 sites nucléaires de Marcoule/Tricastin/Cadarache étant tous construits sur des failles sismiques.
Pourtant le 27 mai dernier l'ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) a donné son feu vert à la poursuite de l'exploitation du réacteur n°1 du Tricastin alors qu'elle fixait à l’exploitant EDF, 32 « prescriptions techniques complémentaires » applicables à la centrale nucléaire du Tricastin en matière de sécurité et notamment de séisme. On voit bien avec le tremblement de terre de ce mercredi qu'il n'est plus temps de planifier sur le moyen ou long terme quoi que se soit, d'autant que les coûts et les possibilités techniques n'existent quasiment pas.
Le Collectif antinucléaire de Vaucluse exige une nouvelle fois la fermeture immédiate et sans condition des 4 réacteurs du Tricastin, tous vétustes, accumulant des incidents à répétition et mettant en péril au quotidien la Provence, ses habitants et ses territoires. A ce jour plus de 2000 vauclusiens ont signé une pétition exprimant cette exigence (2).
La Méditerranée est une zone telluriques en mouvement. Le dernier tremblement de terre en Provence, survenu le 11 juin 1909, à Lambesc (Bouches-du-Rhône), près d'Aix-en-Provence, d'une magnitude de 6,2, avait fait 46 morts et 250 blessés mais à l'époque n'existaient pas les centrales nucléaires. (...)

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=25900&utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook

12 novembre 2011 à 20:09  
Blogger huemaurice7 a dit...

Ancien employé de Tepco : Plutonium et uranium a tous été soufflé de réacteur no 3 - « Il s'agissait d'aucune explosion ordinaire » - « notre gov est cacher la vérité » (vidéo)

Titre : WDR : Leben in der Todeszone - la vie dans le deathzone 31 octobre 2011 Description :
Ce rapport a été diffusé sur octobre, 18 et 24 par la WDR la chaîne de télévision allemande. WDR est une partie de la chaîne publique ARD.

Leur correspondant Japon est allé à Minamisoma pour une semaine et a parlé aux gens de leur vie après la catastrophe de Fukushima.
Extrait à 03:50 au programme Et puis m. Haneda nous dit qu'il a l'habitude de travailler pour TEPCO, l'opérateur d'usine nucléaire. Il était à la centrale nucléaire de Fukushima, lorsque l'accident est survenu. « Unité 3, Fukushima - il s'agit d'aucune explosion ordinaire. Il y a eu une réaction en chaîne d'uranium et de plutonium. Qui a tout soufflé. Mais personne n'avaient les mesures. Je crois que le gouvernement ne veut pas avoir leur fait. Non seulement Tepco est allongé - même, notre gouvernement est dissimulant la vérité. » Une réaction en chaîne d'uranium et de plutonium, si c'est vrai : il serait quelque chose comme une explosion de la bombe atomique.

http://enenews.com/former-tepco-employee-plutonium-uranium-all-blown-reactor-3-ordinary-explosion-govt-concealing-truth-video

12 novembre 2011 à 20:18  
Blogger huemaurice7 a dit...

(...) Doses intenses de radiations
Après avoir traversé les villes fantômes situées dans la zone interdite des 20 kilomètres, vidées de leurs habitants après l'accident, les journalistes ont constaté que le niveau de radioactivité était déjà de 20 microsieverts par heure aux portes de la centrale.

A mesure que les véhicules s'approchaient des réacteurs, le niveau est monté rapidement, atteignant même au coeur d'une forêt de pins le record de 1.000 microsieverts, soit un millisievert par heure, ce qui correspond à la dose annuelle maximale imposée en temps normal au Japon et dans la plupart des pays.
Un journaliste a raconté que le bâtiment abritant le réacteur numéro 3 était le plus endommagé, avec tout autour des carcasses de camions, des barrières métalliques tordues et des réservoirs d'eau éventrés.
Le combustible enfin stabilisé
Le 11 mars, le tsunami géant, provoqué par un séisme de magnitude 9 près des côtes du nord-est du Japon, a submergé la centrale, interrompant les circuits de refroidissement et noyant les générateurs de secours.
Le combustible stocké dans trois des six réacteurs et dans la piscine de refroidissement du réacteur numéro 4 a alors commencé à chauffer dangereusement, au point de fusionner, en provoquant des explosions.
Après avoir arrosé jour et nuit, d'abord avec de l'eau de mer, puis de l'eau douce, les réacteurs, les ouvriers et techniciens ont pu stopper le processus infernal et parvenir après de longs mois à stabiliser la température du combustible.
L'opérateur du site, Tokyo Electric Power (Tepco) espère parvenir à "l'arrêt à froid" des réacteurs, c'est-à-dire au maintien du combustible sous les 100°C d'ici le mois prochain.

Le démantèlement prendra au moins 30 ans (...)
http://www.liberation.fr/monde/01012371132-la-centrale-de-fukushima-ouvre-ses-portes-a-la-presse

12 novembre 2011 à 20:24  
Blogger huemaurice7 a dit...

Explosion de l'hydrogène au Centre nucléaire de l'Idaho ?

INL ingénieur : Sodium sorti l'hydrogen… la réaction « peut varier dans la grandeur d'un flash à une explosion » Un travailleur est emmené à l'hôpital après l'incident du laboratoire nucléaire, Reuters, 11 novembre 2011 :

Ingénieur de projet Karen Moore sur le feu de sodium INL.
"Elle s'est produite lorsque le sodium s'est stabilisée pour l'entreposage sécuritaire et a été exposé à l'humidité dans l'air, libérant l'hydrogène » « Une telle réaction [...] peut varier dans la grandeur d'un flash à une explosion" « Il n'y avait pas assez d'information le vendredi après-midi afin de déterminer si l'incident pourrait être considéré comme une explosion » « Le laboratoire dit dans une déclaration écrite que la réaction de sodium conduit à un communiqué de pression soudaine que pouvait compromettre l'intégrité du système » [...]

http://enenews.com/hydrogen-explosion-idaho-nuke-facility-inl-engineer-sodium-released-hydrogen-reaction-range-magnitude-flash-explosion

12 novembre 2011 à 20:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

Japan Times: A dit de très mauvaises conditions à Fukushima - travailleurs souvent abandonnés après excédant la limite de rayonnement Calme au Village de j. démentit le danger, Japan Times, 12 novembre 2011 : [...]

« les problèmes graves sont restés pour les travailleurs à Fukushima n° 1, initiés dire. » « Hiroyuki Watanabe, membre de l'Assemblée municipale de Iwaki, a interviewé environ 20 travailleurs de la centrale nucléaire et certains lui ont dit les conditions étaient extrêmement mauvaises. »

[...] « Beaucoup ont été envoyées par des compagnies de dispatch sous-traitant qui ne fournissent pas d'emploi ou assurance maladie, qui est illégal, Watanabe dit. » « Les travailleurs sont souvent abandonnés par les sociétés du personnel, une fois leur exposition au rayonnement cumulatifs dépasse les limites légales, Watanabe dit. » [...] « Tepco est à court de travailleurs qualifiés de centrale nucléaire de niveau intermédiaire, compte tenu de la limite légale pour l'exposition aux rayonnements, [Yukiteru Naka, qui dirige l'entreprise d'entretien de centrale nucléaire Tohoku Enterprise Co.] averti. » Un regard américain à Fukushima, Minute par Minute, New York Times, 11 novembre 2011 : « Une leçon comprend la nature de la radioprotection des travailleurs de l'usine en cas d'urgence. Deux opérateurs reçu plus de 60 rem (0,6 Sv), bien au-dessus du niveau au cours de laquelle les changements dans la chimie du sang peuvent être observées et presque au niveau où les symptômes comme des nausées et des vomissements commencent. » « Mais la plupart de la dose ne provenaient pas de marcher dans les lieux où les rayonnements était présent - c'était interne, ce qui signifie que c'est à partir de particules inhalées ou avalées par les travailleurs. Matières radioactives qui se sont déposé dans le corps apporteront une dose pendant une longue période. »

Une visite à Fukushima commence, New York Times, 11 novembre 2011 : [... T] il gouvernement japonais ouvre la zone composée et environnante aux médias pour la première fois. Le vendredi, des fonctionnaires ont pris un groupe de journalistes, y compris Martin Fackler du New York Times, lors d'une tournée de J-Village, un centre sportif ancien près de l'usine qui est maintenant utilisé pour les travailleurs de maison rassasient pour juguler les réacteurs de la centrale.
[...] « Le Centre médical n'a jamais traité un cas d'exposition aux rayonnements. Fukushima Daiichi avait un cas d'exposition de rayonnement en mars, mais la personne a été traitée ailleurs ». « Quelque 2 400 travailleurs sont venus pour contrôles, mais surtout pour les rhumes. »

Remarquez la contradiction entre les deux rapports du New York Times du 11 ? Étant peut-être sur les relations publiques Tepco tour porté atteinte à la capacité de m. Fackler à la recherche correctement cette question vitale.

http://enenews.com/japan-times-official-told-extremely-bad-conditions-fukushima-workers-abandoned-after-exceeding-radiation-limit

12 novembre 2011 à 20:46  
Blogger huemaurice7 a dit...

INPO compile la chronologie des événements de Fukushima après le tremblement de terre/Tsunami au Japon.

Cette chronologie de quatre jours constitue une base commune de faits pour informer des activités d'intervention par l'industrie américaine, gouvernement WASHINGTON, D.C., 11 novembre 2011 -
L'Institute of Nuclear Power opérations a compilé une chronologie détaillée des événements à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi après le tremblement de terre du 11 mars et le tsunami au Japon. Le rapport détaillé, préparé dans le cadre de la réponse intégrée aux événements au Japon, a livré aujourd'hui aux dirigeants de l'industrie de U.S., Nuclear Regulatory Commission et membres du Congrès. « L'industrie de l'énergie nucléaire américaine s'engage à apprendre de l'expérience du Japon et d'appliquer les leçons pertinentes pour rendre les installations de l'énergie nucléaire d'U.S. même plus sécuritaires. Nous partageons ce rapport avec l'audience la plus large possible parce qu'il est important que nous travaillions tous dans le même ensemble de faits pour déterminer la réponse appropriée, » dit NEI vice-président senior et directeur nucléaire, Tony Pietrangelo. « C'est d'une importance primordiale que nous tirer et prendre nos installations, même des niveaux plus élevés de la sécurité et la protection civile. »(...)

http://safetyfirst.nei.org/

12 novembre 2011 à 20:56  
Blogger huemaurice7 a dit...

Usine de Fukushima au Japon a ouvert aux journalistes

Cet article a été publié sur guardian.co.uk à 12 h 30 GMT le samedi 12 novembre 2011. Il a été modifié à 16,46 GMT le samedi 12 novembre 2011.

Les journalistes et représentants de Tepco regardent à l'usine de puissance nucléaire de Fukushima Daiichi paralysée de l'intérieur d'un autobus.

Les conditions à l'intérieur de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon restent sinistres et incohérente huit mois après que le site ait été dévasté par un tremblement de terre et le tsunami, selon les premiers journalistes autorisés à l'intérieur depuis la catastrophe. Les fonctionnaires ont montré aux journalistes autour de la centrale pour la première fois depuis mars lorsque les catastrophes naturelles ont déclenché une crise dans trois des réacteurs de la centrale, le pire accident nucléaire depuis Chernobyl il y a 25 ans.

Martin Fackler, chef de bureau de Tokyo du New York Times, a déclaré que le site était jonché de tas de gravats pratiquement intacte depuis que le tsunami a frappé. Il a dit : "il y a des débris partout où les réacteurs sont - twisted METALLIQUES, camions froissés, des réservoirs d'eau importantes qui ont été bosselés. « Vous pouvez voir que ça a été éparpillée autour et il n'a pas été repris et il a été là pendant huit mois. « Si je pense que plus que tout autre est un testament à une période difficile comment ils ont eu en essayant d'obtenir ces réacteurs sous contrôle. » Niveaux de rayonnement étaient encore « très élevés », il a dit.

Le programme aujourd'hui du BBC Radio 4. Les visiteurs tous portaient des combinaisons de protection complète, doubles couches de gants et de plastique d'initialisation couvertures et filets à cheveux et transporté des masques de respiration et de détecteurs de rayonnement, que le site demeure hautement radioactif. La tournée a pour but de montrer que la situation à l'usine s'améliore lentement. Les autorités japonaises ont précédemment refusé les demandes des médias à visiter le site, au motif que les niveaux de rayonnement étaient trop élevés et il pourrait entraver l'opération de nettoyage. Les journalistes, surtout par les médias japonais, étaient accompagnés par le ministre de l'environnement, Goshi Hosono, qui est en charge de l'opération de nettoyage. Ils ne pouvaient pas près des bâtiments du réacteur. « Je pense qu'il est remarquable que nous avons fait cet extrême, "Hosono dit.

(Suite en dessous):

12 novembre 2011 à 21:42  
Blogger huemaurice7 a dit...

« La situation au début était extrêmement grave. Au moins nous pouvons dire que nous avons vaincu le pire. » Tokyo Electric Power (Tepco), qui exploite l'usine, a réussi à faire baisser les températures aux trois réacteurs endommagés par rapport aux niveaux considérés comme dangereux. « Des données à l'usine que j'ai vu, il est indubitable que les réacteurs ont été stabilisés, » Masao Yoshida, le chef de l'usine de Fukushima Daiichi, dit les journalistes. Mais, alors qu'il était maintenant possible pour les travailleurs d'entrer dans les bâtiments de réacteur, Yoshida dit conditions pour ceux qui y travaillent sont restées dangereuses. TEPCO espère terminer un « arrêt froid » - lorsque les températures sont stables sous le point d'ébullition - des réacteurs endommagés par la fin de l'année.
Mais Hosono averti que cela pourrait prendre plus de 30 ans de déclassement complètement l'usine. Hiroaki Koide, un physicien nucléaire à l'Université de Kyoto, dit qu'il doutait que le processus de démantèlement irait aussi harmonieusement que le gouvernement l'espère. Il dit des pools de combustible irradié restent très volatils et de nettoyer les carottes de trois réacteurs fondus en raison d'une défaillance des systèmes de refroidissement sera un défi énorme. « Personne ne sait où exactement le carburant est, ou dans quelle condition », dit-il. « Les réacteurs devront d'être enseveli dans un sarcophage, avec plaques de métal insérées dessous pour le garder étanche à l'eau. Mais, au sein de 25 à 30 ans, quand le ciment commence sa décomposition, devra d'être enseveli dans une autre couche de ciment. C'est juste comme des poupées russes Matryoshka, l'un à l'intérieur de l'autre. » Quatre des six réacteurs à Fukushima ont été gravement endommagés par le tsunami. Il y a aussi des explosions causées par une accumulation d'hydrogène gazeux. De grandes quantités de matières radioactives aussi une fuite dans la campagne environnante, ce qui a incité le gouvernement à déclarer une zone de non-entrée de 12 mile qui est susceptible d'être en vigueur pour les années voire des décennies. Fonctionnaires admettent qu'environ 80 000 résidents évacués ne peuvent jamais être capables de retourner à la page d'accueil.

http://www.guardian.co.uk/world/2011/nov/12/japan-opens-fukushima-plant-journalists

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"avec plaques de métal insérées dessous " !!? Fukushima n'est pas Tchernobyl et, lorsque le corium fondu a gagné les couches profondes et contaminer les nappes phréatiques, il n'est point de solution de bâtir un sol en dur à xx kilomètres en dessous et de coffrer le tout comme s'il s'agissait là d'un bâtiment à l'air libre ! Faut pas prendre les terriens pour des cons !

12 novembre 2011 à 21:58  

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