mardi 31 janvier 2012

Espèce de petit conte !

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Imaginez-vous vivre 30 secondes dans un pays où la Terre tremble tous les jours. Bon, là, bien sûr vous vous revoyez à faire du bateau ou de monter dans des trucs qui vous envoient en l'air à la fête foraine, mais, au Japon, ce n'est ni l'un ni l'autre et la vie de chacun est risquée chaque jour.
Bon. Donc là, en toute logique, vous décidez de construire des centrales nucléaires, des musts qui secouent vraiment. Le pied, non ? Après quoi, l'une d'elles se fendille. Donc là, pas de problème, vous vous gardez de donner l'alerte afin de ne créer d'affolements inutiles. Puis, les rumeurs sur Internet font penser au pire, et des gens commencent à déménager ! Que faire ?
Face aux 'problèmes' de radioactivité qui pourrait s'échapper (Tss ! encore des bobards !) vous décidez de relever les taux de césium admis par 20 et que, en gardant le sourire, les éléments microscopiques auront peur. Content de cette bonne idée vous faites détruire tous les rapports de réunions qui seraient dangereux pour votre siège impérial. Bien vu ! Le temps passe en votre faveur. Vous avez eu raison de garder votre calme. Que diriez-vous d'un bon redémarrage ?
Bêh quoi ? Il fait froid, les maisons abandonnées sont humides, glacées, et puis, quoi de plus merveilleux que de débarrasser une bonne fois pour toutes tous ceux qui squattent les gymnases et vivent d'alloc au lieu de retourner chez eux. Au moins, ils se rendraient utiles en balayant, nettoyant, astiquant (gratuitement) leurs maisons aux vitres cassées et murs démolis.

16 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

C'est maintenant le temps de s'éloigner de grandes villes américaines ?

Comme l'économie américaine s'effondre et que le monde devient de plus en plus instable, plus d'Américains que jamais devenir «preppers". On estime qu'il ya au moins deux millions preppers aux Etats-Unis aujourd'hui, mais personne ne sait vraiment. La vérité est qu'il est difficile de prendre un sondage parce que beaucoup de preppers n'ont tout simplement pas parler de leurs préparations. Votre voisin pourrait être le stockage de la nourriture dans le garage ou dans une chambre supplémentaire et vous pourriez ne jamais le savoir. Un nombre croissant d'Américains sont convaincus que nous sommes sur le point de certaines choses vraiment mauvais se passe. Mais est-ce simplement stocker un peu de nourriture supplémentaire et fournitures sera suffisant ? Qu'est-ce qui va se passer si nous voyons des émeutes généralisées dans les grandes villes américaines comme George Soros est la prédiction ? Qu'est-ce qui va se passer si l'économie tombe totalement en morceaux et nos centres-villes descendre dans l'anarchie, comme nous l'avons vu à la Nouvelle Orléans pendant l'ouragan Katrina ? Dans certaines grandes villes américaines comme Detroit, le pillage est déjà endémique. Il ya quelques sections de Detroit, où des blocs entiers de maisons sont lentement démantelée par les voleurs et dépouillée de tout ce précieux. Malheureusement, l'économie va se faire bien pire qu'elle ne l'est pour le moment. Ainsi est maintenant le temps de s'éloigner de grandes villes américaines? Si preppers cherchera des endroits plus sûrs d'eux-mêmes et leurs familles? Ce sont des questions légitimes. Selon un récent sondage Gallup, la satisfaction avec le gouvernement est maintenant à son plus bas de tous les temps. Les Américains sont en train de perdre la foi dans pratiquement toutes les grandes institutions dans la société. La colère et la frustration sont à la hausse à des niveaux très dangereux, et nous nous approchons rapidement d'un point d'ébullition. Lorsque les gens se sentent comme s'ils avaient tout perdu, ils obtiennent désespérée. Et les gens désespérés font des choses désespérées. PLUS ICI -

http://endoftheamericandream.com/archives/is-now-the-time-to-move-away-from-major-us-cities

http://nmaria9.blogspot.com/2012/01/is-now-time-to-move-away-from-major-us.html

31 janvier 2012 à 09:19  
Blogger huemaurice7 a dit...

Cabinet du Japon OKs projet de loi de la vie bouchon réacteur nuke
Le cabinet japonais a approuvé mardi les factures visant à renforcer les règles de sécurité nucléaire à la suite en cas de catastrophe de l'année dernière de Fukushima, dont une qui mettrait un bouchon de 40 ans sur la durée de vie opérationnelle des réacteurs nucléaires.

Par IRA Yamaguchi
TOKYO -

L'approbation est venu comme une équipe de l'International Atomic experts Agence de l'énergie généralement approuvé le "stress test" des résultats moins deux réacteurs au ralenti dans une usine à l'ouest du Japon, renforçant ainsi les efforts du gouvernement de Tokyo pour redémarrer l'installation, si l'équipe de l'AIEA a déclaré que certains mesures de sécurité il faut éclaircissements.
Le Japon a actuellement aucune limite légale sur la durée de vie opérationnelle de ses 54 réacteurs, dont bon nombre atteindra la barre des 40 ans dans les années à venir. L'un des trois réacteurs de la frappées par le tsunami de Fukushima Dai-ichi végétale a été exploitée pendant 41 ans.
La législation, qui doit encore l'approbation du Parlement pour prendre effet, ne permettent pour une extension jusqu'à 20 ans dans certains cas - une exception que les critiques ont fustigé comme une échappatoire. Les responsables ont déclaré les extensions seront rares et exigent des normes de sécurité strictes.
Le cabinet a également approuvé un projet de loi pour créer une nouvelle agence de réglementation nucléaire sous le ministère de l'Environnement qui unifierait la sécurité nucléaire et de divers organismes de réglementation.
Les critiques disent que le placement actuel de l'Agence de sécurité nucléaire et industrielle dans le cadre du Ministère de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie - qui favorise également l'énergie nucléaire - a contribué à la surveillance laxiste de l'industrie.
Après le 11 Mars au séisme et le tsunami déclenché l'accident de Fukushima, le Japon est revenu sur sa politique nucléaire, et vise maintenant à réduire sa dépendance à l'énergie atomique. Les fonctionnaires déclarent que le plafonnement de la vie des réacteurs à 40 ans est cohérente avec cette politique.
Pourtant, le Premier ministre Yoshihiko Noda a déclaré que le Japon doit s'appuyer sur l'énergie nucléaire pendant une phase transitoire, et au ralenti des réacteurs jugés sûrs après des inspections besoin d'être redémarré.

(suite en dessous):

31 janvier 2012 à 09:51  
Blogger huemaurice7 a dit...

Depuis le effondrements à Fukushima, le Japon a commandé sur des réacteurs à travers le pays pour subir «stress tests» avant de pouvoir être redémarrés. Mais en passant les nouveaux tests ne peuvent pas conduire à un démarrage rapide en raison de problèmes de sécurité en profondeur dans les communautés locales d'accueil des réacteurs.
Avec seulement trois des 54 réacteurs du pays maintenant en ligne, les responsables cherchent désespérément à éviter un resserrement du pouvoir. L'un des trois réacteurs en exploitation ira déconnecté pour des contrôles réguliers du mois prochain, et le Japon n'ont pas réacteurs en exploitation d'ici la fin du mois d'avril.
La semaine dernière, une délégation de 10 membres de l'AIEA a inspecté le n ° 3 et n °4 Ohi-réacteurs dans une centrale nucléaire dans la préfecture de Fukui - une région rurale où 13 réacteurs sont groupés autour d'une baie. Les réacteurs ont subi des tests de stress, qui sont censés évaluer si ils peuvent résister à des séismes, les tsunamis, la perte de puissance ou d'autres urgences, et de suggérer des modifications pour améliorer la sécurité.
L'équipe de l'AIEA a été invitée par Tokyo pour visiter l'usine dans une étape considérée comme une tentative d'obtenir un soutien pour la campagne de sécurité du gouvernement.
Dans un préliminaire mardi évaluation, l'équipe a des instructions que les autorités japonaises de sûreté nucléaire » à leur opérateur, Kansai Electric Power Co., et le processus d'examen pour les tests étaient" généralement conformes "aux normes de sécurité de l'AIEA.
Toutefois, l'équipe a déclaré que les autorités devraient clarifier les objectifs des tests de stress et de mieux définir ce que consitue les marges de sécurité dans lequel les plantes seraient capables de tolérer les catastrophes. Il a également déclaré que l'agence de sûreté nucléaire, ou CSRN, a encore besoin de confirmer certaines améliorations à la sécurité avant d'autoriser l'installation de reprendre l'opération.
Le chef de mission James Lyons dit que l'équipe était «satisfaite du travail qu'ils avaient fait dans le cadre de leur évaluation primaire», mais qu'il y avait place à amélioration.
CSRN chef Hiroyuki Fukano félicité de l'examen de l'AIEA, en disant autorités ont été «encouragé» que les stress tests ont été jugées valides.
Les critiques, cependant, disent les tests n'ont pas de sens parce qu'ils n'ont pas de critères clairs, et visualiser l'AIEA comme partial envers l'industrie nucléaire.

http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2017379735_apasjapannuclear.html?syndication=rss

31 janvier 2012 à 09:52  
Blogger huemaurice7 a dit...

Tuesday, Janvier 31, 2012

Fukushima: les experts de l'ONU commence l'évaluation des effets des accidents nucléaires de Fukushima
AIEA mission d'enquête examine la dévastation à l'usine de Fukushima Daiichi d'énergie nucléaire en mai 2011. Photo: AIEA / Greg Webb

de l'ONU - Soixante experts internationaux évaluant l'exposition au rayonnement et effets sur la santé résultant de l'accident à la centrale de Fukushima Daiichi l'énergie nucléaire au Japon Mars dernier a débuté une réunion d'une semaine aujourd'hui à Vienne.
"Nous mettons en place un puzzle, d'évaluer les expositions du public en général, des travailleurs, et les effets des radiations, et la recherche de pièces manquantes", a déclaré Wolfgang Weiss, président du Comité scientifique des Nations Unies sur les Effets des Radiations Atomiques (UNSCEAR ).
La centrale électrique a été endommagé suite à un séisme et un tsunami le 11 Mars 2011 qui a frappé les systèmes de refroidissement d'eau à l'usine, la contamination de l'air, l'eau, les plantes et les animaux avec radioactifstive des dizaines de kilomètres de panaches sur le site.
La réunion de cette semaine sera d'explorer où il ya des lacunes critiques dans les données qui sont disponibles, où l'accent supplémentaire est nécessaire, et comment assurer la qualité et la fiabilité de ce que l'évaluation est basée sur, selon M. Weiss.
Le Japon est de fournir des données au Comité en collaboration avec l'entrée de la Food and Agriculture Organisation ( FAO ), l'Organisation météorologique mondiale (OMM), la Commission préparatoire de l'Organisation du Traité d'interdiction Organisation du Traité, l'Organisation mondiale de la Santé ( OMS ) et l'Agence internationale de l'énergie atomique ( AIEA ).
Un rapport préliminaire sera fourni à la réunion annuelle de l'UNSCEAR, qui se tiendra entre 21 et 25 mai, et un rapport final à l'Assemblée générale des Nations Unies en 2013.
Fondée en 1955, l'UNSCEAR est chargé d'entreprendre des critiques éventail de sources de rayonnements ionisants et les effets sur la santé humaine et l'environnement.
Ses évaluations fournissent une base scientifique pour les agences de l'ONU et les gouvernements à formuler des normes et des programmes pour la protection contre les rayonnements ionisants.

http://ionglobaltrends.blogspot.com/2012/01/fukushima-un-experts-begin-assessment.html
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Quand on connait ce que vaut l'ONU...

31 janvier 2012 à 09:58  
Blogger huemaurice7 a dit...

La France dépend environ à 80 % du nucléaire pour ses approvisionnements en électricité.

C’est une filière d’excellence dans laquelle notre pays est parvenu au plus haut degré de savoir-faire et de compétence au niveau mondial. Les énergies de substitution que sont l’éolien ou le photovoltaï­que ne sont pas prêtes. Elles représenteraient une augmentation considérable du coût de production en électricité. Si, notamment, nous considérons le coût de construction de l’éolien par rapport au nucléaire qui est déjà tout construit, nous arrivons à des rapports inimaginables de l’ordre de quatre fois le nucléaire pour l’éolien terrestre et de huit fois le nucléaire pour l’éolien offshore. Il faut bien préciser que ces coûts sont ceux calculés par rapport au fait que le nucléaire est déjà construit alors que l’éolien est à construire. Évidemment, l’éolien une fois construit, il faudrait diviser le rapport par deux ou même trois en sorte que l’éolien offshore, par exemple, ne représenterait plus que trois fois le coût du nucléaire.
Il faut aussi considérer les aspects écologiques et esthétiques, sans parler du fait qu’au moment où nos besoins en énergie sont les plus forts, l’éolien ne fonctionne pas, car en plein hiver nous sommes en période anticyclonale et il n’y a pas de vent. On sait que l’éolien fonctionne à 30 % de ses capacités potentielles et que la durée de vie de ses matériels n’excèdent pas pour l’instant une quinzaine d’années.
La différence est encore plus grande avec le photovoltaïque qui représenterait un coût comparatif considérable qui disqualifie, en l’état de nos connaissances, cette énergie.

L’Alliance royale tient aussi à rappeler que le désengagement par rapport au nucléaire représenterait un risque important. En effet, la filière nucléaire, qui attire à elle nos meilleurs ingénieurs, ne le ferait plus à l’ave­nir dans l’hypothèse où nous programmerions son démantèlement à terme. Nos ingénieurs se détourneraient ainsi d’une carrière condamnée. Il en résulterait un risque lié à la baisse de compétence qui rendrait cette filière dan­gereuse et lui ferait perdre son niveau d’ex­cellence. Dans la conjoncture économique actuelle de notre pays, cela relève de la plus grande impéritie que de préconiser ces mutations qui compromettraient nos approvisionnements stratégiques en énergie.

L’Alliance royale propose donc de main­tenir le nucléaire qui procure aux Français l’énergie la moins chère du monde. Nous ne considérons les autres énergies que comme des voies de recherche dans lesquelles nous préco­nisons d’investir pour trouver d’autres sources d’énergie et pour maintenir notre niveau de recherche.

(BPO 67 - Bulletin périodique officiel de l'Alliance Royale n°67)

http://royalartillerie.blogspot.com/2012/01/lalliance-royale-et-la-question-nucl.html

31 janvier 2012 à 10:07  
Blogger huemaurice7 a dit...

30/01/2012

Le point sur l'eau contaminée à Fukushima-Daichi

Dans un document publié le 19 janvier, le consortium Japonais de promotion de l'industrie nucléaire (JAIF) fait le point sur de nombreux paramètres y compris sur les quantités d'eau contaminée stockée dans les sous-sols des bâtiments réacteur et des réservoirs de stockage installés un peu partout sur le site. Certains observateurs pensaient, en se basant sur les déclarations initiales de Tepco, que le problème des stocks d'eau contaminée seraient totalement résolu à la fin de l'année 2011.

Force est de constater que c'est loin d'être "plié". Certes, les unités de décontamination ont traité plus de 200.000 m3 d'eau mais il semble impossible de faire baisser le solde d'eau hautement contaminée en-dessous d'un certain niveau. En outre, il est très probable qu'une partie de l'eau contenue dans les égouts de Fukushima ne se répande directement dans le sol, ce qui a d'ailleurs amené l'opérateur à réaliser un confinement supplémentaire sous la forme d'un mur métallique de 800 m de long sur 25 m de hauteur au niveau des quais du site. Les travaux de réalisation de ce mur se poursuivront jusqu'à la fin 2013. Cette construction vise à tenter de contenir la contamination côté océan - suite à des inquiétudes bien légitimes de certains pays voisins dont la Chine - mais ne peut évidemment pas agir sur l’extension de la contamination côté "Japonais", bien au contraire.(...)

http://www.gen4.fr/blog/2012/01/le-point-sur-leau-contamin%C3%A9e-%C3%A0-fukushima-daichi.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook&utm_campaign=Feed%3A+Gen4-LeNuclaireBilanEtPerspectives+%28gen4+-+Le+nucl%C3%A9aire%2C+bilan+et+perspectives%29

31 janvier 2012 à 10:14  
Blogger huemaurice7 a dit...

La polémique sur l'avenir du nucléaire devrait rebondir dans les prochains jours avec la publication de plusieurs rapports importants.

Ainsi, la Cour des Comptes doit rendre aujourd'hui son travail sur le coût global de la filière nucléaire en France. Selon des informations de presse, cet audit, demandé au printemps dernier par le gouvernement après la catastrophe de Fukushima, devrait confirmer le caractère compétitif de l'électricité nucléaire par rapport aux autres sources d'énergie. Mais il soulignerait aussi la difficulté à évaluer avec précision les futurs coûts du nucléaire, liés au renforcement de la sécurité, au démantèlement des vieilles centrales et à la gestion des d échets finaux.

Ce son côté, le Commissariat à l'Energie atomique (CEA) estime que le remplacement de l'énergie nucléaire par des énergies renouvelables coûterait entre 352 et 560 Milliards d'Euros de plus qu'un statu quo énergétique en France. L'administrateur général du CEA, Bernard Bigot, commente ce matin cette étude dans un entretien aux 'Echos'. Selon lui, une sortie totale du nucléaire avec un arrêt progressif des centrales jusqu'en 2025 pourrait être réalisée en faveur " d'un bouquet composé de 40% d'éolien terrestre, 20% d'éolien offshore, 12% de photovoltaïque, 12% d'hydraulique et 16% de cycles combinés au gaz. On aurait dans ce cas un surcoût de l'investissement compris entre 352 et 560 Milliards d'Euros ". Cela correspondrait à un coût de production de 124 Euros par MWh en 2025, contre 62 Euros dans un scénario de statu quo (et environ 40 Euros actuellement), estime M. Bigot.

Le patron du CEA n'exclut pas une baisse progressive de la part du nucléaire à 50% (contre 75% actuellement) de la production électrique, mais " pas de manière précipitée. Ce serait trop rapide de le faire d'ici à 2025 dans le contexte budgétaire et technique ".

Enfin, un troisième rapport sur le nucléaire est en préparation, commandé par le ministre de l'industrie Eric Besson. Attendu pour le 13 février, ce document, dont le site 'Mediapart' publie une version provisoire, conclurait que l'extension de la durée de vie des centrales existantes serait la solution la moins coûteuse d'ici à 2035-2040 par rapport à la construction de nouvelles centrales ou leur remplacement par d'autres moyens de production...

A moins de trois mois de l'élection présidentielle, les candidats auront donc à leur disposition une quantité abondante d'avis d'experts pour alimenter leurs points de vue... Alors que Nicolas Sarkozy estime que le recours au nucléaire est dans " l'intérêt supérieur de la France ", son principal adv ersaire socialiste, François Hollande, prône la fermeture de la centrale de Fessenheim et la réduction de 75% à 50% de la part du nucléaire dans la production d'électricité d'ici à 2025.

http://bourse.challenges.fr/news.hts?menu=news_actualites&urlAction=news.hts%3Fmenu%3Dnews_actualites&idnews=FPS120131_20468446&numligne=0&date=120131

31 janvier 2012 à 13:17  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le coût de l'électricité nucléaire revu à la hausse

Le rapport de la Cour des comptes publié mardi vise à identifier les «vrais» coûts du nucléaire. En affichant un coût moyen de 49,5 euros le mégawattheure (MWh), la Cour espère dépassionner le débat. Rien n'est moins sûr.
Le premier ministre François Fillon avait commandé ce rapport très attendu en mai, quelques semaines après la catastrophe de Fukushima, donnant satisfaction à une demande d'organisations écologistes.
Le chiffre central: le coût moyen de production
Combien coûte exactement le mégawattheure (MWh) d'origine nucléaire? Le chiffre calculé par la Cour des comptes était particulièrement attendu. La méthode employée, dite du coût courant économique, intègre la rémunération du capital et prend en compte le cycle complet de cette industrie, incluant donc les charges futures liées au démantèlement et à la gestion des déchets. Le MWh ressort ainsi à 49,5 euros. Soit plus de dix euros supplémentaires que les estimations de la Commission Champsaur, l'année dernière, qui ont servi de base à l'Accès réglementé au nucléaire historique (Arenh), c'est-à-dire le prix auquel EDF vend son électricité à ses rivaux pour stimuler la concurrence. Celui-ci a finalement été établi à 42 euros le MWh.
Une différence de taille toutefois: Champsaur tient compte de l'amortissement du parc, ce qui n'est pas le cas de la Cour des comptes. Dans son calcul, celle-ci indique que la courbe des investissements de maintenance pèse bien davantage que les dépenses liées à la déconstruction.
Le coût de Fukushima
À la suite de la catastrophe nucléaire de Fukushima, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) française a publié, le 3 janvier, un rapport dans lequel elle exige une série de travaux dans toutes les centrales d'EDF afin d'en améliorer la résistance en cas d'événements extrêmes. EDF estime à quelque 10 milliards d'euros la facture de ces futurs travaux.
D'après le rapport, la moitié de ces investissements serait déjà prévue dans le programme d'investissements d'EDF pour la période 2011-2025 qui vise à prolonger la durée de vie des centrales et à en améliorer la disponibilité. Cette enveloppe, d'un montant de 50 milliards d'euros, correspond à 3,3 milliards par an soit un doublement par rapport aux investissements actuels de maintenance.
Le surcoût post-Fukushima porterait ce montant à 3,7 milliards annuels. Cette évolution des investissements prévus ajoutés à ceux prescrits par le gendarme du nucléaire alourdirait de 10% de coût de production du nucléaire qui passerait ainsi de 49,5 euros à 54 euros le MWh.

(suite en dessous):

31 janvier 2012 à 13:18  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le coût du démantèlement des centrales
Les comparaisons internationales effectuées par la Cour des comptes aboutissent à une fourchette très large allant d'une grandeur de 1 à 3. EDF se situe dans la partie basse de la fourchette. Son ampleur s'explique notamment par des périmètres très différents.
En France, le coût du démantèlement n'intègre pas la gestion des déchets radioactifs, à la différence d'autres pays. En outre, note-t-on à la Cour des comptes, le fait que le parc nucléaire français soit standardisé, avec 58 réacteurs de la même technologie, pourrait contribuer à des économies d'échelle et donc à un coût de déconstruction inférieur à celui de pays (Grande-Bretagne par exemple) au parc plus hétérogène.
Pour prendre en compte l'incertitude qui demeure sur le coût du démantèlement, les magistrats de la rue Cambon ont calculé différents scénarios. Si les charges de démantèlement augmentaient de 50%, le coût moyen de production serait rehaussé de 2,5% (soit 50,7 euros le MWh). Si ces charges doublaient, le mégawattheure nucléaire serait alourdi de 5%, soit un coût de 52 euros.
Le coût des déchets radioactifs
La France a choisi d'enfouir profondément les déchets les plus radioactifs, issus des combustibles usés. Le laboratoire de Bure, en Haute-Marne, préfigure le futur site de stockage qui accueillera, pas avant le milieu du siècle, les déchets vitrifiés à La Hague dont certains mettront des centaines de milliers d'années à perdre leur radioactivité. Combien coûtera la gestion de ce legs? L'Agence nationale de gestion des déchets radioactifs (Andra) évoquait jusque récemment un coût de 15 milliards d'euros, creusement du site avec cent ans de gestion compris. L'agence publique a revu à la hausse son devis, qui a carrément doublé.
Cette facture de 32 à 34 milliards d'euros est vigoureusement contestée par EDF et Areva qui estiment le projet technique de l'Andra surdimensionné. Partant néanmoins de ce chiffre récent, la Cour des comptes a calculé que ce surcoût n'augmenterait le coût de production du nucléaire que de 1%, car cette charge se répartit sur plus d'un siècle.
Le coût de l'EPR
Même si le réacteur de troisième génération représente l'avenir de la filière nucléaire française, la Cour des comptes ne s'attarde pas sur le dossier: «Ces deux réacteurs (en France et en Finlande) étant encore en construction, les chiffrages ne peuvent être que des estimations.» Deux fois revu à la hausse par EDF, le coût du chantier de Flamanville (Manche) s'élève désormais à 6 milliards d'euros, contre 4 milliards à l'origine.

(suite en dessous):

31 janvier 2012 à 13:18  
Blogger huemaurice7 a dit...

Compte tenu de l'allongement des délais et de l'inflation de la facture, la Cour évalue le coût de production de l'EPR entre 70 et 90 euros le MWh, avec une durée de fonctionnement de soixante ans. Mais elle le fait d'autant plus prudemment qu'il s'agit d'un prototype. Les magistrats de la rue Cambon envisagent que les coûts de l'EPR de série puissent être inférieurs mais, là encore, sans aucune estimation à la clé.
D'autres coûts difficiles à chiffrer
La Cour des comptes le reconnaît sans fard: plusieurs coûts du nucléaire ne font pas l'objet actuellement d'une «dépense identifiée». Ces «externalités» recouvrent d'abord les impacts sur l'environnement (production de gaz à effet de serre, rejets de produits dans l'eau et dans l'air…) et les impacts sur la santé humaine.
Se pose également la problématique du risque nucléaire et des assurances. La Cour fait référence aux catastrophes passées (Three Mile Island, Tchernobyl), et rappelle qu'en France «des scénarios d'accident ont été bâtis» mais que «les évaluations financières (…) sont encore insuffisantes». À titre indicatif, l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) table sur 70 milliards d'euros pour un accident modéré sur un réacteur et oscille entre 600 et 1000 milliards pour des épisodes gravissimes comme Fukushima.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/01/30/20002-20120130ARTFIG00716-electricite-nucleaire-le-cout-revu-a-la-hausse.php

31 janvier 2012 à 13:19  
Blogger huemaurice7 a dit...

Rapport: "High nuage radioactif niveau" détecté passant sur la ville de Nouvelle-Zélande - Peaks atteint une «incroyable» 1,89 microSv / h

Titre: Nuage de détection des radiations Dunedin en Nouvelle-Zélande

Source: Peter Daley
Date: 29 Janvier 2012

J'ai été en contact avec une personne en Nouvelle-Zélande qui vient de m'envoyer des informations d'une détection d'un nuage radioactif de haut niveau passant au-dessus de Dunedin en Nouvelle Zélande. Vous trouverez une copie de sa correspondance par courriel ci-dessous. Ce tableau est le niveau de fond enregistré de rayonnement lors de cet événement. L'observation visuelle a vu les pics atteignent un incroyable 1,89 uS / h ! [...]

http://enenews.com/report-high-level-radiation-cloud-detected-passing-new-zealand-city-peaks-reached-incredible-189-microsvh

31 janvier 2012 à 13:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

Asahi sur "inhabituel" Fukushima informations de version: Réacteur n ° 5 avait une protection inadéquate séisme - Officiel pour mener une enquête approfondie après que la Tepco n'ait pas trouvé «claire» des dommages

Titre: Canalisations à Fukushima réacteur jugé insuffisant pour résister séisme
Source: Asahi AJW
Auteur: Eisuke SASAKI
date: 31 Janvier, 2012

Tuyauterie et structures d'appui à la n° 5 du réacteur de l'estropiée Fukushima n ° 1 centrale nucléaire n'a pas eu suffisamment anti-séisme force sous les normes du nouveau gouvernement révisée en 2006.
Certains équipements pourraient avoir été frappé avec une force autant que 4,3 fois supérieur aux normes de sécurité si un séisme d'une prévision d'échelle pour l'usine avait frappé. [...]
Il est inhabituel que l'information soit publiée qui démontre la possibilité de la force de sécurité insuffisante dans les équipements avant le travail de renforcement a été complété.
En profondeur
Les fonctionnaires du CSRN inclus ces résultats dans un projet de rapport qui a été présenté à une réunion d'experts le 30 janvier
Les enquêtes menées par Tepco et le CSRN après le grand séisme East Japan en Mars 2011 n'a pas découvert clairs les dommages visibles
Représentants du CSRN mènera une enquête plus approfondie
Dernières informations concerne les résultats de l'anti-séisme des calculs pour les équipements importants dans le réacteur
Les calculs couvrent certaines sections d'équipement qui n'ont pas été renforcés.
Les calculs ont montré que la force de 1,2 à 4,3 fois les normes anti-séisme serait appliqué à la tuyauterie d'alimentation d'eau principale ainsi que l'appui pour sept systèmes de tuyauterie si le séisme devrait selon les nouvelles normes frapper le réacteur

http://enenews.com/asahi-on-unusual-govt-release-reactor-no-5-had-inadequate-quake-protection-nisa-to-conduct-thorough-investigation

31 janvier 2012 à 13:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

Employé de Tepco: Que font-ils ? Ils avaient prédit que les tuyaux gèleraient entraînant des fuites d'eau - Maintenant 23 points de fuite - Tepco: «Il est difficile pour l'homme de garder le pouvoir "

Titre: Tepco a été en ignorant le risque de gel des tuyaux
source: Journal de Fukushima
Date: 31 janvier 2012

Via Tokyo Shimbun ( 1 , 2 )

Tepco a admis que leurs employés ont proposé de couvrir les tuyaux ou de les chauffer ensemble pour ne pas laisser les tubes se congelés, mais ils ont gardé de l'ignorer depuis l'été dernier.
Un employé soupirs "Les tuyaux sont exposés à l'extérieur. Il était prévu que les tuyaux gelés provoqueraient des fuites d'eau. Que font-ils .. "
Comme le résultat de ne rien faire pendant plusieurs mois, au moins 23 points ont été trouvés par les fuites d'eau 30/01/2012. [...]
Tepco avait été en ignorant les risques, car «il était difficile pour l'homme de garder le pouvoir » [...]

Maintenant, le tuyau est à l'extérieur, long de 10 kilomètres, les fuites d'eau vont se passer au quotidien.
Ils ne peuvent tout simplement envelopper les tuyaux avec du matériel à la traîne, mais toujours des pièces à tenir le coup ne peut pas être emballé et finissent par provoquer des fuites d'eau. Ils ont besoin de mettre au chaud et de l'entourer de murs temporaires.

http://enenews.com/tepco-employee-predicted-pipes-freeze-causing-water-leakage-doing-23-points-found-leaking
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D'après un rapport antécédent, il s'agirait de tuyaux en PVC, d'où la difficulté de colmatage adéquat vis à vis de la pression intérieure. Donc, comme il en est pour les lignes électriques souterraines enfermées dans des tuyaux PVC, il eut été préférable d'en protéger contre le froid par des laines de verre etc, le tout enfermé dans un autre tuyau de diamètre supérieur contre les intempéries pouvant attaquer les isolants posés.

31 janvier 2012 à 16:00  
Blogger huemaurice7 a dit...

Un rapport juge inévitable de prolonger les centrales françaises

(...) L'association de consommateurs UFC Que Choisir a de son côté demandé aux pouvoirs publics de "lancer sans attendre un débat transparent, basé sur des données objectives, sur l'avenir de la politique énergétique française, notamment sur la construction des prix de l'électricité et sur les éventuels arbitrages technologiques à réaliser".

http://www.lepoint.fr/fil-info-reuters/un-rapport-juge-inevitable-de-prolonger-les-centrales-francaises-31-01-2012-1425841_240.php
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C'est vrai qu'aucun politique (en campagne ou pas) ne s'avance à chiffrer le coût de l'électricité. Quant aux coûts des énergies dites gratuites...
Hahaha !

31 janvier 2012 à 16:18  
Blogger huemaurice7 a dit...

From: ubu3@wanadoo.fr
To: ubu3@wanadoo.fr
Subject: TR: Alerte UFC QUE CHOISIR
Date: Tue, 31 Jan 2012 13:58:26 +0100

Date : 24 janvier 2012 10:56:19 HNEC
À :
Objet : Alerte UFC QUE CHOISIR
L'U.F.C. QUE CHOISIR, organisme très sérieux, demande à ses adhérents de faire circuler le message suivant :

"Une lettre est déposée à votre domicile par la compagnie PDS -service de colis- indiquant qu 'ils sont dans l' impossibilité de livrer un colis et que vous devez les contacter au 09066611911."

N' appelez pas ce numéro !

Il s' agit d' une arnaque émise depuis le bélier (Amérique Centrale).

Si vous appelez et que vous commencez à entendre le message enregistré, vous serez immédiatement facturé de 315 € pour cet appel ! »

Je fais suivre ce message à tous mes contacts, faites-en de même . Merci

31 janvier 2012 à 16:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Prix de l'énergie dite 'gratuite':

Eolienne (9m) 2 Kw: 12 à 16.000 € !
Eolienne(16m) 10 kw: 35 à 50.000€ !

Notons que pour égaler des factures EdF à 16.000 ou 50.000€, il faut un paquet d'années !
Le pire est que le vent ne souffle pas toujours et même moins fort en hiver lorsque l'on en a le plus besoin, d'où la dépendance continuelle à l'EdF pour les 'appoints' d'électricité !
Donc: double facture (crédit éolienne + EdF), sans compter les cas de problèmes sur l'éolienne, la ou les batteries, onduleur, etc. Disons que les montants des frais dépassera de beaucoup le temps de la garantie.

http://www.eoliennesatoutprix.be/default.cfm?source=economique

31 janvier 2012 à 17:05  

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