vendredi 27 janvier 2012

Le syndrome de l'éventail (El con d'or passa)

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Pourquoi tardent-ils tant (bientôt un an) à faire repartir les centrales au Japon ? Deux solutions: Soit, cette fermeture se prolonge à cause d'évènements graves détectés sur chacune d'elles qui ne demandaient pas qu'une consolidation pour être aux normes anti-sismiques, soit... ces lacunes accablant les Dirigeants montreraient qu'elles sont dues à l'imbécillité des fonctionnaires y travaillant. A la question si ces derniers auraient trouvé leurs diplômes dans un paquet de Bonux ou dans le fond d'un bol de riz comme une pierre oubliée, il semblerait que le Gouvernement japonais se prononcerait plutôt (compte-tenu de leur Q.I.) pour leur donner des éoliennes, un tas de sable, une pelle et un râteau, parce que l'on n'offre pas une voiture à quelqu'un qui n'a jamais conduit une bicyclette ! Car, dans un pays où règne le syndrome de l'éventail quoi de plus constructif que de leur demander de faire de l'électricité avec. (en France, on a un autre nom pour désigner le mal du poignet).
Donc, effectivement, le personnel des centrales nucléaire japonaises peut sortir la tête haute s'ils ont dépassé leur objectif d'après avoir des réacteurs pour faire joujou s'ils espéraient obtenir une reconversion dans les moulins à vent et que on leur offre un éventail !
N'oublions pas que si la balance commerciale japonaise a plongé dans le rouge (premier déficit depuis 30 ans), c'est que de plus en plus de personnes dans le monde se méfient des produits irradiés dont les Gouvernements ne parlent pas.

21 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Renouvelables et gaz de schiste, le programme énergétique d’Obama

27 janvier 2012 Écrit par marcook

Dans son discours sur l’état de l’Union, Barack Obama a accordé une large place à la politique énergétique. Une allocution saluée à la fois par les industriels des hydrocarbures de schiste que par ceux des énergies renouvelables.
L’arrêt annoncé par Barack Obama du projet de pipeline Keystone XL avait déclenché les foudres des républicains qui pensaient entraîner les industriels des hydrocarbures dans leur guerre contre le président américain. Cependant, les professionnels du gaz ont applaudi les déclarations de Barack Obama.
«Nous avons presque 100 ans de réserves de gaz naturel et mon administration va tout faire ce qui est possible pour développer cette énergie de façon sûre», a-t-il dit. Cela «créera des emplois et propulser des camions et des usines moins polluantes et à moindre coût, prouvant qu’on n’a pas besoin de choisir entre notre environnement et notre économie».
«J’applaudis le président Obama pour avoir fait l’éloge du gaz naturel», a déclaré T. Boone Pickens, un des grands industriels du secteur.
Barack Obama a fait l’éloge de la technique de fracturation hydraulique qui, dit-il, n’aurait pas vu le jour sans l’appui de fonds publics. Cependant, le président américain a également plaidé pour mettre un terme aux subventions à l’industrie pétrolière.
Dans le même temps, Barack Obama a insisté sur la nécessité de développer les énergies vertes moyennant une stratégie « plus propre, moins chère et génératrice de nouveaux emplois ». Il a également exprimé sa volonté d’allouer davantage de subventions aux technologies vertes, dont l’utilisation a presque doublé grâce aux investissements fédéraux, et rappelé qu’en trois ans, les États-Unis ont conquis le leadership mondial dans le domaine de la fabrication des batteries de haute technologie.
Pour résumer, il semblerait que Barack Obama mise avant tout sur l’après-pétrole qui devrait profiter, selon lui, aux énergies renouvelables et au gaz naturel.

http://lenergiedavancer.com/renouvelables-et-gaz-de-schiste-le-programme-energetique-dobama/2012/01/27/?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook

27 janvier 2012 à 14:51  
Blogger huemaurice7 a dit...

Jeudi 26 janvier 2012

« Décontamination » définie par le ministère de l'environnement n'est rien d'autre qu'un nettoyage général, approfondie à la main.

Selon Sankei Shinbun, qui a été incontestablement pro-nucléaire énergie et en faveur de la dispersion de matières radioactives dans tout le Japon via les débris de la catastrophe de partager dans le « pain ».

Le livre a un article sur la rencontre entre le ministère des responsables de l'éducation et les chefs des municipalités dans le rayon de 20 kilomètres « aucune zone d'entrée » où les têtes des municipalités ont reçu l'information du ministère sur leur lot - si ils peuvent retourner après la décontamination de travailler par le gouvernement national ou non.
Mais ce n'est pas la partie intéressante de l'article.
À la fin de l'article, il y a une section distincte que le journal écrit à propos de ce que « décontamination » est, selon le ministère de l'éducation :
Décontamination: « c'est comme un travail de nettoyage de saleté têtue ou taches » (ministère des hauts responsables environnement). Au fond, elle s'appuie sur la main-d'œuvre, à l'aide d'outils manuels comme des pelles et des brosses à récurer. Conformément aux directives publiées à la fin de l'année dernière par le ministère de l'environnement, ce qui peut être facilement supprimé, tels que les feuilles mortes, doit être enlevées à la main. Les toits sont à être lavés par laveuses à haute pression, et la surface du béton tels que l'entrée d'une maison est d'être lavée par lavage-brosses et pinceaux de pont. En ce qui concerne les prairies et le sol où les matières radioactives ont pénétré, la surface doit être renvoyée à l'aide de pelles ou diggers. Les travailleurs doivent accorder une attention à ne pas à obtenir des exposés à la radioactivité par le port de l'équipement de protection.
Il examine aussi longtemps que vous suivez ces procédures, le ministère, il appellera « décontamination » si le travail est fait par le livre. Les sous-traitants payés par les entrepreneurs généraux, qui se faire payer par le ministère.
Si vous avez cru ce que Goshi Hosono, au ministre de l'environnement, dit au sujet de la décontamination de Fukushima « Le Japon n'est pas l'Union soviétique, nous avons la technologie pour s'occuper de la contamination du rayonnement de pointe, et nous pouvons faire où ce que d'autres peuvent avoir échoué », désolé. Il n'y a rien de haute technologie sur une de ces méthodes, et ils ne fonctionnent pas encore.
Pour ce qui y a été tweeted par un villageois de Iitate-mura, la préfecture de Fukushima, l'approfondie « décontamination » emploi à la main par la Force de défense de soi à l'aide de vis conducteurs grattage de la saleté et les morts laisser atteints rien. Il est de retour à la case départ :

(suite en dessous):

27 janvier 2012 à 14:54  
Blogger huemaurice7 a dit...

Après décontamination (partie 1): sur le trottoir en pierre le Bureau de village qui prend de la Force de défense Self aimablement troublent décontaminer pour nous. Juste après la décontamination travaillée le 20 décembre, le niveau de rayonnement était de 1,57 microsievert/heure. Le 29 décembre, c'était à l'heure 2,87 microsieverts. Le 10 janvier, c'était à l'heure 3,26 microsieverts. Je vous avais bien dit, il est inutile. Les écarts entre les pierres sont remplis de feuilles mortes [encore].
Il n'est pas en colère que le rayonnement n'a pas baissé. Il est en colère, que le gouvernement a exposé inutilement ces jeunes soldats SDF, qui sont les bases à l'intérieur de Fukushima à des niveaux élevés de rayonnement.
Jusqu'à présent, deux travailleurs faisant exactement ce que le ministère de l'environnement avait défini comme « décontamination » sont morts dans la ville de Date et Hirono-machi, dans la préfecture de Fukushima. Les décès n'ont rien à voir avec le rayonnement, le gouvernement nous dit, sans donner d'autres détails sur la cause de leur mort.
Si le gouvernement a jamais mesuré de la densité de matières radioactives dans le sol et les feuilles mortes, qu'il fait de ces travailleurs et les soldats SDF enlevent à la main dans des endroits comme Iitate-mura et ville de Date, il n'a pas pris la peine de nous le dire.
En passant, Sankei Shinbun, catégorise les articles liés à la Fukushima 1 accident Nuke plante et les problèmes de contamination de rayonnement avec le label « Fuite de rayonnement ». Au moins Yomiuri et Asahi utilisent « Nuke plante Accident » comme leur label.

http://ex-skf.blogspot.com/2012/01/decontamination-defined-by-ministry-of.html

27 janvier 2012 à 14:55  
Blogger huemaurice7 a dit...

Premier déficit commercial depuis 30 ans

27 janvier 2012 Céline TABOU

Le déficit commercial japonais s’est élevé à 2.490 milliards de yens en 2011 soit 24 milliards d’euros en 2011. Il s’agit du premier déficit commercial du pays, depuis 1980, lorsque l’économie nippone avait été durement affectée par la flambée des prix du pétrole.
La catastrophe de Fukushima a entraîné une hausse du coût de l’énergie, à cause des importations de carburants pour pallier l’arrêt des centrales nucléaires dans le pays, qui devrait être total au mois de mai prochain. Autre conséquence de la catastrophe, les exportations ont diminué de 2,7% en 2011 et les importations ont bondi de 12%. Cette annonce soulève le doute sur la capacité du pays à s’appuyer sur les exportations pour financer un énorme déficit public, sans pour autant se tourner vers les investisseurs étrangers.
Dépendance à l’énergie nucléaire

Avant la catastrophe de Fukushima Daiichi, les centrales nucléaires approvisionnaient en électricité plus de 25% du pays. Depuis, le Japon a acheté en masse, aux Émirats Arabes Unis, au Koweït ou encore à l’Arabie Saoudite, du pétrole et du gaz naturel afin d’alimenter ses centrales thermiques qui produisent désormais la quasi-totalité du courant dans l’archipel. Ses achats de gaz naturel liquéfié (GNL) ont ainsi progressé de 37,5% en valeur.
Six mois après la catastrophe, le Premier ministre japonais de l’époque, Yoshihiko Noda, avait annoncé la définition d’une nouvelle politique énergétique d’ici à l’été 2012. N’ayant pas anticipé une telle catastrophe, le Japon, bien que novateur en matière de recherche et développement, reste encore en retrait dans le domaine des énergies renouvelables. Ce nouveau défi énergétique montre que le gouvernement n’a pas anticipé les risques d’une catastrophe naturelle, ni la nécessité d’investir dans les énergies renouvelables, en vue de réduire les émissions de gaz à effet de serre et de pallier à l’énergie nucléaire, hautement dangereuse.
Le Japon endetté à près de 200% de son PIB

La publication de ces chiffres inquiète les analystes, qui se demandent si la tendance de 2011 se répercutera également en 2012. Les entreprises japonaises, telles que Toyota, Honda et Sony, pourraient souffrir du contexte économique et financier international, dont la croissance a été revue à la baisse. Dans son dernier rapport sur les perspectives économiques, la Banque du Japon (BoJ) a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour 2011 et 2012, en raison du « ralentissement économique global et la force du yen ainsi que les effets persistants des inondations thaïlandaises ». La banque centrale a estimé une baisse du produit intérieur brut (PIB) de 0,4% en 2011, suivie d’une hausse de 2% à l’exercice 2012.
L’impact d’une monnaie forte face au dollar et à l’euro pourrait se traduire par une augmentation des délocalisations, débutée en 2011, comme ce fut le cas pour les usines Toshiba délocalisées en Chine et en Inde.
En 2011, les investissements japonais à l’étranger ont augmenté, mais ceux-ci peuvent à terme entrainer une diminution des exportations du pays. Dans un tel contexte, le déficit commercial pourrait durer et menacerait la balance des comptes courants, excédentaires de seulement 139 milliards de yens, soit 1,37 milliard d’euros en 2011, et, « par conséquent, l’avenir des comptes publics du Japon, déjà endetté à près de 200% de son PIB », a expliqué Le Monde.

http://www.temoignages.re/premier-deficit-commercial-depuis-30-ans,54391.html

27 janvier 2012 à 14:56  
Blogger huemaurice7 a dit...

Même si le Japon affirme pouvez éviter les coupures d'électricité nucléaire de l'été...

(Reuters) - Le Japon sera en mesure d'éviter des coupures d'électricité cet été, même si quelques derniers réacteurs nucléaires de la nation cessent d'exploitation due à des craintes de la sécurité publique après la crise de Fukushima, le gouvernement a déclaré vendredi.
Jusqu'au 11 Mars séisme et le tsunami, l'énergie nucléaire a fourni un tiers de la puissance du Japon. Mais l'anxiété du public depuis la catastrophe, qui a déclenché une crise de rayonnement à Fukushima Daiichi centrale nucléaire, a empêché le redémarrage des réacteurs fermés pour les contrôles de routine.
Seulement trois des 54 réacteurs du pays restent dans l'utilisation et toutes sont dues à aller hors ligne d'ici le printemps, malgré les efforts du gouvernement pour regagner la confiance du public dans l'industrie.
La perte de l'énergie nucléaire a suscité des craintes de rationnement de l'électricité et les pannes forcées temporaires dans la période de demande de pointe estivale, quand l'air conditionné met des tensions supplémentaires sur l'offre.
Mais le ministre du Commerce Yukio Edano dit qu'il y avait une bonne chance de survie, sans ces réductions obligatoires sur l'utilisation de l'électricité même si tous les réacteurs ont été fermés.
"Nous ne savons pas la quantité d'électricité qui sera disponible cet été car elle dépend de la question distincte de parvenir à une conclusion au sujet des problèmes de la sécurité", Edano lors d'une conférence de nouvelles.
«Nous aurions d'appeler à la conservation de l'électricité, mais il y a une excellente chance (la puissance perdue si toutes les centrales nucléaires sont fermées cet été) peuvent être surmontés sans placer des bordures sur la consommation d'électricité", a t-il ajouté.
Le gouvernement, inquiet au sujet d'un resserrement du pouvoir, fait pression sur les réacteurs à reprendre les opérations, même si elle examine le rôle du nucléaire dans le mix énergétique du pays à faibles ressources dans un nouveau programme à moyen et à long terme pour être décidé dans les prochains mois .
Le Japon a renoncé à son plan de relance de l'énergie nucléaire à plus de la moitié de son approvisionnement en électricité en 2030, mais les partisans font valoir que l'énergie atomique est essentielle pour empêcher les sociétés japonaises plus de se déplacer à l'étranger en quête de réduction des coûts et à assurer un approvisionnement stable en électricité.
L'été dernier, Tokyo Electric Power Co, l'exploitant de l'usine de Fukushima, a lutté pour répondre à la demande d'électricité, provoquant mandatés par le gouvernement des économies d'énergie par les grands utilisateurs industriels.

(suite en dessous):

27 janvier 2012 à 14:57  
Blogger huemaurice7 a dit...

Cet hiver, le gouvernement a exhorté les utilisateurs à réduire la consommation d'électricité pendant les heures de pointe à Osaka et les zones environnantes de l'ouest du Japon, couvert par Kansai Electric Power Co, et sur l'île méridionale de Kyushu principale, couverte par Kyushu Electric Power Co.
Kansai Electric et Kyushu Electric sont deux des plus Japon nucléaires qui dépendent des services publics.
Les fonctionnaires sont en train de revoir les résultats des stress tests qui utilisent des simulations informatiques pour montrer si les réacteurs peuvent résister à des événements extrêmes comme le séisme de l'année dernière et le tsunami.
Des experts de l'Agence internationale atomique qui ont visité la centrale nucléaire de Ohi au centre du Japon jeudi après l'agence de sûreté nucléaire du Japon, des tests sur les réacteurs Ohi deux ont montré qu'ils étaient capables de résister à un choc sévère. Les experts de l'ONU tiendront une réunion d'information la semaine prochaine.
Un panel d'experts japonais passera en revue les tests, avec les gouvernements locaux qui sont également nécessaire pour approuver le redémarrage du réacteur avant que les ministres donnent leur feu vert définitif.
Le maire de Ohi, cependant, a dit des éclaircissements supplémentaires sur les normes de sécurité et des stress tests ont été nécessaire.
"Nous ne pouvons pas déterminer si les réacteurs peuvent être redémarré à cette phase. Quelle doit être clarifiée sont les règlements qui peuvent prévenir les accidents graves et les normes de sécurité nécessaires, alors nous pouvons passer à la question de la relance", Ohi maire Shinobu Tokioka a déclaré à Reuters dans une réponse écrite aux questions.
"Les stress tests ont donné des cotes, mais la ville de Ohi ne peut pas l'utiliser pour décider de redémarrer les réacteurs ou non, car aucune réussite ou d'échec seuil a été fixé à ce stade."
Un choix difficile face à de nombreux gouvernements locaux que les plantes hôtes énergie nucléaire - ne permettant pas leur redémarrage peut aider à apaiser les préoccupations de sécurité, mais aussi les installations de créer des emplois et des recettes budgétaires.

http://www.reuters.com/article/2012/01/27/us-japan-nuclear-reactors-idUSTRE80Q0KC20120127

27 janvier 2012 à 14:58  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les experts mettent en doute les tests nucléaires au Japon le 'stress des plantes'.

Le gouvernement japonais a commandé des tests sur tous les réacteurs nucléaires après l'effondrement de Fukushima, et sont mis à rouvrir au moins un peu, mais les conseillers disent les tests ne prouvent pas que les plantes (centrales) soient sûres.

Par Justin McCurry , Correspondant / Janvier 27, 2012

Les conseillers au Japon de l'agence de sûreté nucléaire ont condamné des stress tests menés dans les centrales nucléaires à travers le pays que le gouvernement cherche un soutien international pour la reprise rapide des dizaines de réacteurs ralentis.

Une équipe d'experts de l'Agence internationale d'énergie atomique (AIEA) a entrepris un examen des tests de sécurité cette semaine. Bien que les inspecteurs disent que leur rôle n'est pas d'offrir des conseils, se déplacent pour obtenir les réacteurs de retour en ligne sera renforcée par une appréciation positive des tests dans le rapport de l'AIEA, à la fin du mois.

Mais deux experts nucléaires sur des stress-tests menés au Ohi et ailleurs ont été profondément viciés et soulevé des inquiétudes que le gouvernement japonais fait pression pour un retour à l'énergie nucléaire trop tôt.

"C'est un malentendu de croire que ces tests prouvent que d'une centrale nucléaire est sûre", explique Masashi Goto, un ancien concepteur de centrales nucléaires.

Actuellement, seuls 3 des 54 réacteurs du Japon sont en fonctionnement, 10 mois après la Fukushima accident a forcé la fermeture de réacteurs actifs pour les contrôles de sécurité. La dernière fermeture est venu vendredi, quand un réacteur dans une usine près de la mer du Japon a été fermé pour subir des inspections régulières.

Le gouvernement fait pression pour le redémarrage précoce de réacteurs au ralenti pour conjurer une pénurie d'électricité possible pendant le long été humide.

Le ministre du Commerce et de l'industrie, Yukio Edano , a déclaré vendredi qu'il croyait le Japon serait capable de faire face sans pour autant imposer des coupures d'électricité, même si les 54 réacteurs ont été déconnecté pour l'été, un mouvement populaire pour le public.

M. Edano a déclaré dans une interview avec le journal Asahi Shimbun que toutes les mesures d'économie d'énergie n'affecterait pas l'industrie. «L'année dernière, l'industrie automobile a changé ses jours off et les travailleurs ont été invités à mettre en place avec les désagréments», a t-il dit. «Nous ne pouvons pas permettre la même chose se produise cette année. Il y a encore place pour la société dans son ensemble pour économiser l'électricité."

(suite en dessous):

27 janvier 2012 à 18:49  
Blogger huemaurice7 a dit...

Après la catastrophe de Fukushima au Japon abandonné les plans de générer plus de la moitié de son approvisionnement en électricité grâce au nucléaire d'ici 2030, mais le Premier ministre, Yoshihiko Noda , a déclaré que le pays a besoin de conserver certaines centrales nucléaires jusqu'en sources d'énergie alternatives sont développées.
L'attention est désormais centrée sur une usine dans la ville de l'ouest du Japon Ohi, qui pourrait être le premier à reprendre les opérations depuis la catastrophe de Fukushima.
Son opérateur, Kansai Electric Power , a déclaré que deux des réacteurs de l'établissement sont capables de résister à des séismes et le tsunami beaucoup plus forts que prévu pour la zone, une vue aurait approuvé par l'organisme national de sécurité nucléaire et industrielle.
Mais M. Goto, et d'autres ont trouvé à redire à la cadence et la méthode des inspections
«La réalité est que les inspecteurs seulement regarder la conception des réacteurs et facteur de possibles problèmes tels que les séismes et le tsunami d'une certaine taille», dit-il. "Ils ne prennent pas en compte les dysfonctionnements divers qui peuvent conduire à une catastrophe, y compris l'erreur humaine et défaillance de l'équipement. "
Hiromitsu Ino, professeur émérite à l'Université de Tokyo et membre Fellow de l'agence de sécurité nucléaire panel consultatif, a déclaré que les tests ne devraient pas avoir été introduit jusqu'à ce que tous les faits de la catastrophe de Fukushima soient été connus.
«Les tests sont présentés comme une étude complète de la sûreté des centrales nucléaires du Japon, mais la réalité est très différente," M. Ino dit. «Ils ne regardent que les problèmes potentiels dans l'isolement, et le processus de test est exactement le même que ce qu'elle était avant le tremblement de terre en Mars."
Ino et Goto disent qu'ils sont les deux seuls dissidents à la commission consultative, qui comprend des experts qui effectuent des recherches financées en partie par l'industrie nucléaire.
Au "Japon village nucléaire" est si fort que la collusion est autorisé à prospérer», a déclaré Ino. «Les professeurs qui effectuent des recherches et promouvoir l'industrie nucléaire sont également d'agir comme conseillers auprès de l'agence de sûreté nucléaire. Il n'y a pas d'indépendance."
Goto et Ino dit qu'il serait impossible d'apprécier les causes et les conséquences de la catastrophe de Fukushima, sauf l'opérateur de la centrale, Tokyo Electric Power (TEPCO), les rejets de toutes les données pertinentes qui seraient ensuite utilisées pour effectuer une simulation, dont il a été notamment réticents à faire.
Ino dit qu'il avait peu confiance dans l'équipe de l'AIEA, qui est pressenti pour présenter son dernier rapport à la fin du mois.
«La dernière fois que les inspecteurs de l'AIEA est venu au Japon ils ont simplement inspecter des sites et des documents et est parti en disant que tout allait bien. Ils ont présenté un rapport fragile et je crains que la même chose sera le cas cette fois."

http://www.csmonitor.com/World/Asia-Pacific/2012/0127/Experts-cast-doubt-on-Japan-nuclear-power-plant-stress-tests/(page)/2

27 janvier 2012 à 18:50  
Blogger huemaurice7 a dit...

(...) "Alors que Tchernobyl a été un énorme désastre sans précédent, il ne s'est produite qu'à un réacteur et rapidement fondu. Une fois refroidi, il a pu être recouvert d'un sarcophage de béton qui a été construit avec 100.000 travailleurs. Il y a une stupéfiante 4400 tonnes de barres de combustible nucléaire à Fukushima, qui nains grandement la taille totale des sources de rayonnements de Tchernobyl ". (Niveaux de rayonnement extrêmement élevés au Japon: des chercheurs de l'Université Data Challenge officiel , Global Research, le 11 avril 2011). (...)

(...) L'immersion de l'eau hautement radioactive dans l'océan Pacifique constitue un déclencheur potentiel d'un processus de contamination radioactive mondiale. Les éléments radioactifs ont été non seulement détectés dans la chaîne alimentaire au Japon, l'eau de pluie radioactive n'a été enregistré en Californie (...)

Du césium radioactif dépassant la limite légale a été détecté dans le thé fait dans une usine de la ville de Shizuoka, à plus de 300 kilomètres de la Fukushima Daiichi nucléaire usine. Préfecture de Shizuoka est l'un des plus célèbres du thé zones de production au Japon.

Un distributeur de thé à Tokyo rapporté à la préfecture qu'il a détecté des niveaux élevés de radioactivité dans le thé expédiés de la ville. La préfecture a ordonné l'usine de s'abstenir d'expédition hors du produit. Après l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, la contamination radioactive de feuilles de thé et transformés a été trouvé sur une large zone autour de Tokyo. (Voir 5 Entreprises Plus de détecter les radiations dans leur thé-dessus des limites légales Plus de 300 km de Fukushima , Juin 15, 2011). (...)

(...) La question fondamentale est de savoir si la vaste gamme de produits industriels et des composants "made in Japan» - y compris les composants Salut Tech, de la machinerie, l'électronique, les véhicules automobiles, etc - et dans le monde sont contaminés exportés ? Si cela devait être le cas, l'ensemble du proche et du Sud-Asiatiques base industrielle, qui dépend fortement des composants japonais et technologie industrielle, serait affecté. Les impacts potentiels sur le commerce international serait une grande portée. À cet égard, en Janvier, les responsables russes ont confisqué irradiés automobiles japonaises et de pièces dans le port de Vladivostok à vendre dans la Fédération de Russie. Inutile de dire que les incidents de cette nature dans un environnement concurrentiel mondial, pourrait conduire à la disparition de l'industrie automobile japonaise qui est déjà en crise.

Alors que la plupart de l'industrie automobile est au centre du Japon, l'usine de moteurs de Nissan à Iwaki ville est à 42 km de Fukushima Daiichi l'usine. Est-ce la force de travail Nissan touchée ? Est-ce l'usine de moteurs est contaminée ? L'usine se trouve à environ 10 à 20 km de la "zone d'évacuation» du gouvernement à partir de laquelle quelque 200.000 personnes ont été évacuées (...)

(...) Au Japon, à la hauteur de la catastrophe, «l'industrie nucléaire et les organismes gouvernementaux [étaient] de brouillage pour empêcher la découverte des installations de recherche de bombe atomique cachée à l'intérieur du Japon des centrales nucléaires civiles" 0.1 (Voir Yoichi Shimatsu, programme secret d'armes à l'intérieur de Fukushima Centrale nucléaire? Global Research, le 12 avril 2011). (...)

http://www.pakalertpress.com/2012/01/27/fukushima-a-nuclear-war-without-a-war-the-unspoken-crisis-of-worldwide-nuclear-radiation/

27 janvier 2012 à 18:51  
Blogger huemaurice7 a dit...

Je ne comprends pas que cette information circule sur le net où il est mentionné que la TEPCO a utilisé de l'eau de mer (en tant que telle ?) pour alimenter les réacteurs. L'eau de mer a toujours été employé par la TEPCO après désalination. D'où la question, en quoi l'eau douce peut-elle être corrosive pour les réacteurs ?
Je pense qu'ils ont simplement constaté (d'après les photos de l'intérieur du réacteur) que l'intérieur du blindage avait été attaqué. D'ailleurs, pourquoi ne le serait-il pas au contact de la masse coriumique a 3000°C. Quant à se servir directement dans la bassine, pourquoi pas ? après tout, le réacteur étant perdu...

27 janvier 2012 à 21:19  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les zones les moins polluées de venir premier calendrier / Govt de décontamination pour les communiqués de la Préfecture de Fukushima

Le Yomiuri Shimbun

Le gouvernement donnera la priorité à des travaux de décontamination dans les domaines de la préfecture de Fukushima où le niveau annuel d'exposition aux radiations est de 20 millisieverts ou moins, dans le cadre des efforts visant à permettre aux résidents de ces zones de rentrer chez eux dès que possible, conformément à un calendrier publié par l'environnement ministère.
Le ministère a dévoilé jeudi son calendrier pour les opérations de décontamination dans les zones d'évacuation sans entrée et élargi à la préfecture. La participation est limitée dans ces zones après le déclenchement de la crise nucléaire à Tokyo Electric Power Co. 's Fukushima n ° 1 des centrales nucléaires.
Les zones d'évacuation sans entrée et élargi ont été jugées «zones de décontamination spécial" pour être décontaminés sous le contrôle direct du gouvernement. Ils doivent être réorganisés en trois zones compter du 1er avril, conformément à leurs niveaux annuels d'exposition aux radiations.
Les nouvelles catégories seront les suivantes:
- Zones en cours de préparation pour le retour des résidents. L'exposition aux radiations annuelle est de 20 millisieverts ou plus bas, et les résidents devraient être en mesure de retourner à l'issue de la décontamination.
- Zones avec de résidence restreint. L'exposition aux radiations annuelle est de 20 millisieverts à 50 millisieverts, et les résidents devraient être en mesure de retourner dans quelques années.
- Les zones où la résidence est interdite pour une période prolongée. L'exposition aux radiations annuelle est plus de 50 millisieverts, et on s'attend à plus de cinq ans avant que les résidents puissent rentrer chez eux.
Le gouvernement prévoit d'achever les travaux de décontamination dans les zones à l'exposition aux radiations annuelle de 20 millisieverts à 50 millisieverts par l'abaissement du niveau de 20 millisieverts ou moins - un niveau où la résidence est autorisée - par Mars 2014.
Cependant, le ministère n'a pas présenté de plan concret pour les zones avec des niveaux de rayonnement annuel de plus de 50 millisieverts.

(suite en dessous):

27 janvier 2012 à 21:20  
Blogger huemaurice7 a dit...

En ce qui concerne les zones en cours de préparation pour le retour des résidents, le gouvernement envisage de procéder à la décontamination des zones avec des niveaux plus élevés d'exposition aux rayonnements. Il va commencer la décontamination des zones les plus hauts niveaux d'exposition aux radiations, à partir de 10 millisieverts à 20 millisieverts, en commençant autour de Mars et vise à compléter l'opération d'ici la fin de cette année.
Le gouvernement va commencer à travailler dans des zones à l'exposition aux radiations annuelle de 5 millisieverts à 10 millisieverts fois un certain nombre de conditions sont remplies, telles que gagner l'approbation des habitants. Il prévoit de lancer ces opérations sur une base à grande échelle autour de Juin, et continuer à Mars 2013, selon le calendrier.
En ce qui concerne les zones ayant les plus faibles niveaux de radiation - de 1 millisievert à 5 millisieverts - travaux de décontamination à grande échelle commencera à partir de autour de l'été, et est prévu pour être achevé à la fin de Mars 2014.
Cependant, le gouvernement donnera la priorité à la décontamination dans les écoles, les parcs et autres endroits où les enfants se réunissent, et densément peuplé des quartiers urbains et les hôpitaux.
En ce qui concerne les zones en cours de préparation pour le retour des résidents, le gouvernement prévoit d'inciter les gens à revenir après l'abaissement du niveau de rayonnement, autant que possible.
En attendant, le gouvernement envisage de commencer une opération de décontamination à grande échelle dans les zones à résidence restreint à partir d'environ automne et se terminent à la fin de Mars 2014.
Sur la base des résultats des travaux de décontamination menées à la fin de l'année dernière par les Forces d'auto-défense, le gouvernement croit qu'il est possible de réduire l'exposition aux radiations annuelles dans les zones à 20 millisieverts ou moins, selon le ministère.
Cependant, le calendrier n'a pas précisé les niveaux cibles finales du rayonnement dans les zones.
«Nous menons un projet de modèle afin de vérifier l'effet de la décontamination. Après avoir vu les résultats, nous prévoyons d'intégrer un niveau cible de rayonnement dans le calendrier par Mars de cette année," un fonctionnaire du Bureau du ministère de management environnemental déclaré.
En ce qui concerne les zones où la résidence est interdite pour des périodes prolongées, le gouvernement dit qu'il envisage d'étudier les mesures de décontamination et autres mesures.
"En menant un projet de modèle pour la décontamination, nous prévoyons de mettre en place des technologies de décontamination efficace et efficiente des mesures pour assurer la sécurité des travailleurs», dit l'officiel.
Réaliser les opérations de décontamination des zones devrait être extrêmement difficile. Le gouvernement envisage d'acheter ou de location de terres par des résidents de ces zones.
«Un projet pour les résidants ont retourner chez eux après une crise nucléaire de cette ampleur est sans précédent dans le monde, alors nous avons à surmonter des obstacles assez élevés. Nous allons porter un jugement prudent sur le calendrier pour les résidents de retourner chez eux après avoir examiné les opinions des chefs de gouvernement locaux et des habitants, «ministre de l'Environnement Goshi Hosono dit.

( 28 janvier 2012 )

http://www.yomiuri.co.jp/dy/national/T120127006480.htm

27 janvier 2012 à 21:21  
Blogger huemaurice7 a dit...

Je ne comprends pas cette attitude des autorités locales et nationales à vouloir a tout prix faire retourner les gens chez eux ! Ne peuvent-ils pas patienter ? Le terrain manque t-il tellement au Japon ? Pourquoi ces travaux précipités de décontamination (faisant courir les dangers mortels de la radioactivité sur les kamikazes désignés), alors que, le temps passant, il pourrait être porté un tout autre regard sur la situation dans quelques années ?

27 janvier 2012 à 21:22  
Blogger huemaurice7 a dit...

Bétail suspect encore non testé / Le lieu de près de 3000 vaches effrayées du rayonnement reste inconnu

Le Yomiuri Shimbun

Le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales a été incapable de suivre les itinéraires de distribution de près de 3000 vaches dont la viande est soupçonnée de contenir des niveaux élevés de césium radioactif, ont dit les responsables du ministère.

Le ministère a voulu inspecter la viande de 4626 bovins de boucherie à partir de 15 préfectures, car il soupçonne que les animaux aient été nourris de paille de riz contaminés par des substances radioactives rejetées lors du déclenchement de la crise à Fukushima n° 1 centrale nucléaire.
La viande de 1630 vaches - environ 35 pour cent - a été inspectée dès mercredi, mais le ministère indique que les voies de distribution des 2996 animaux restants demeure inconnue.
Le ministère a ordonné des inspections en Juillet de l'année dernière, après avoir découvert que le boeuf provenant de bestiaux expédiés de la préfecture de Fukushima contenaient des niveaux élevés de césium radioactif.
Plus tard ce mois, le ministère a demandé aux gouvernements préfectoraux de mener des inspections et de libérer les numéros d'identification des vaches qui étaient suspectées d'avoir été nourris avec de la paille de riz dépassant la limite gouvernement provisoire de 300 becquerels par kilogramme. Les gouvernements locaux ont effectué des inspections basées sur des informations sur les ventes de bétail par les concessionnaires et les grossistes.
Mais le ministère estime que certaines - de bœuf parmi les 2 996 bovins - avaient déjà été consommées en Juillet. Il estime également que le boeuf suspect a été consommé instructions suivantes pour tester la viande, parce que les chèques n'ont pas été effectués dans le temps.
La viande de 4626 vaches est connue pour avoir été expédiée à partir de 15 préfectures s'étendant de Hokkaido à la préfecture de Shimane.
De Juillet à Octobre, les carcasses de 1585 animaux ont été inspectées, et la viande provenant d'un autre 45 animaux a été testé en Novembre, selon les rapports des autorités préfectorales. Mais il n'y a pas eu d'inspections de bœuf provenant de bovins restants.
Les résultats des inspections montrent la viande à partir de 105 bovins de six préfectures - 6,4 pour cent des 1 630 animaux testés - avait du césium radioactif dépassant la limite provisoire du gouvernement de 500 becquerels par kilogramme.
En préfecture, 54 des 105 vaches ont été élevés à Miyagi et 21 ont été expédiés depuis Fukushima. Iwate en avait 16, suivie par Tochigi avec 10. Deux ont été à chaque départ de Yamagata et Akita.

(suite en dessous):

27 janvier 2012 à 21:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

Bétail suspect encore non testé / Le lieu de près de 3000 vaches effrayées du rayonnement reste inconnu

Le Yomiuri Shimbun

Le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales a été incapable de suivre les itinéraires de distribution de près de 3000 vaches dont la viande est soupçonnée de contenir des niveaux élevés de césium radioactif, ont dit les responsables du ministère.

Le ministère a voulu inspecter la viande de 4626 bovins de boucherie à partir de 15 préfectures, car il soupçonne que les animaux aient été nourris de paille de riz contaminés par des substances radioactives rejetées lors du déclenchement de la crise à Fukushima n° 1 centrale nucléaire.
La viande de 1630 vaches - environ 35 pour cent - a été inspectée dès mercredi, mais le ministère indique que les voies de distribution des 2996 animaux restants demeure inconnue.
Le ministère a ordonné des inspections en Juillet de l'année dernière, après avoir découvert que le boeuf provenant de bestiaux expédiés de la préfecture de Fukushima contenaient des niveaux élevés de césium radioactif.
Plus tard ce mois, le ministère a demandé aux gouvernements préfectoraux de mener des inspections et de libérer les numéros d'identification des vaches qui étaient suspectées d'avoir été nourris avec de la paille de riz dépassant la limite gouvernement provisoire de 300 becquerels par kilogramme. Les gouvernements locaux ont effectué des inspections basées sur des informations sur les ventes de bétail par les concessionnaires et les grossistes.
Mais le ministère estime que certaines - de bœuf parmi les 2 996 bovins - avaient déjà été consommées en Juillet. Il estime également que le boeuf suspect a été consommé instructions suivantes pour tester la viande, parce que les chèques n'ont pas été effectués dans le temps.
La viande de 4626 vaches est connue pour avoir été expédiée à partir de 15 préfectures s'étendant de Hokkaido à la préfecture de Shimane.
De Juillet à Octobre, les carcasses de 1585 animaux ont été inspectées, et la viande provenant d'un autre 45 animaux a été testé en Novembre, selon les rapports des autorités préfectorales. Mais il n'y a pas eu d'inspections de bœuf provenant de bovins restants.
Les résultats des inspections montrent la viande à partir de 105 bovins de six préfectures - 6,4 pour cent des 1 630 animaux testés - avait du césium radioactif dépassant la limite provisoire du gouvernement de 500 becquerels par kilogramme.
En préfecture, 54 des 105 vaches ont été élevés à Miyagi et 21 ont été expédiés depuis Fukushima. Iwate en avait 16, suivie par Tochigi avec 10. Deux ont été à chaque départ de Yamagata et Akita.

(suite en dessous):

27 janvier 2012 à 21:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

«Il a fallu du temps pour que les gouvernements locaux menent des inspections lorsque plus d'une préfecture a été impliquée dans l'expédition du boeuf et de distribution", dit un responsable du ministère.
Un facteur important contribuant à l'échec des gouvernements locaux pour spécifier les circuits de distribution pour un tel grand nombre de bovins a été probablement le fait que les inspections ne sont pas juridiquement contraignantes, a ajouté le responsable.
Le gouvernement d'Iwate préfectoral n'a pas déterminé les itinéraires de plus de 60 pour cent des 529 vaches il a été ordonné à inspecter. «En tant que plus le temps passe, nous sommes confrontés plus de difficultés dans le suivi de ces bovins, où ont été distribués", un fonctionnaire du gouvernement préfectoral dit. "Mais nous allons continuer nos inspections dans le cadre des efforts visant à garantir la sécurité alimentaire."
Hisa Anan, le chef du secrétariat du Comité national de liaison de l'Organisation des consommateurs, a déclaré: «Il est irrémédiablement endommager que certaines personnes ont consommé du bœuf inspecté. Le gouvernement devrait fournir une explication précise pour les consommateurs.".
Hideaki Karaki, un expert en sécurité alimentaire et professeur émérite à l'Université de Tokyo, ledit système de la nation la viande de distribution rend difficile pour les autorités à mener des enquêtes parce que les carcasses sont découpées en plusieurs parties qui sont envoyées à différents domaines. «Pour aggraver les choses, les inspections ont été retardées et n'ont commencé que quatre mois après la crise nucléaire", a t-il dit.
Mais Karaki dit que les gens devraient être calme malgré les craintes que les consommateurs ont mangé du boeuf contaminé. «Les gens ne subirait aucun dommage de la santé à moins qu'ils consomment une quantité considérable de viande", a t-il dit.

( 27 janvier 2012 )

http://www.yomiuri.co.jp/dy/national/T120126006317.htm

27 janvier 2012 à 21:49  
Blogger huemaurice7 a dit...

Telegraph: Accident à la Chine un réacteur nucléaire au Japon, dit Gouv - Alarme sur perspective de fuite radioactive - utilise de l'uranium hautement enrichi Cover-up refusé

Titre: La Chine nie accident nucléaire
Source: Telegraph
Auteur: Par David Eimer
Date: 15:14 GMT le 27 janvier 2012

Un rapport de l'Agence japonaise de l'énergie atomique a déclaré que le réacteur expérimental en Chine Rapide (CECR) a arrêté la production d'électricité en Octobre suite à un accident. [...]
L'alarme a déclenché l'incident [au Japon] et en Corée du Sud face à la perspective d'un rayonnement qui s'échappe du CECR. Ces craintes ont été renforcées par l'échec de Pékin pour signaler l'accident ou de libérer les détails de ce qui s'est passé, selon un journal de Tokyo, qui a cité l'enquête de l'Agence de l'énergie atomique japonaise.
Le même rapport souligne d'inquiétantes défaillances de la sécurité à l'Institut chinois de l'énergie atomique (ICEA) en dehors de Beijing, qui abrite le CECR. Les normes de sécurité ont été dites à «très faible», avec un manque de dispositifs permettant de mesurer les fuites de rayonnement potentiel, tandis que la salle de commande principale du réacteur a été équipé avec des lits, qui reposait sur les travailleurs quand ils étaient en service.
Wan Gang, directeur de l'ICEA, a nié qu'il y avait eu un accident ou de toute dissimulation. [...]

http://enenews.com/telegraph-accident-at-china-nuclear-reactor-says-japan-govt-alarm-over-prospect-of-radiation-leak-cover-up-denied
------------------------
Hahaha ! Toute la différence est là: 'incident' au Japon et 'accident' en Chine. Donc, comme un 'accident' est plus grave qu'un 'incident', la Chine battrait le Japon. A quand le match retour ?

"L'alarme a déclenché l'incident" !!? Ne serait-ce pas plutôt le contraire ? " l'accident a déclenché l'alarme"

("while the main control room of the reactor was equipped with beds which workers rested on when they were on duty.")
" tandis que la salle de commande principale du réacteur a été équipé avec des lits, qui reposait sur les travailleurs quand ils étaient en service." !!!!? Voilà une façon très communiste de travailler ! Des lits dans la salle de commande ! Restez couché on s'occupe de tout !

27 janvier 2012 à 22:08  
Blogger huemaurice7 a dit...

A débattre 28/01/2012 à 11h31
Le Web se mobilise contre un poison nommé Acta

Négocié comme un accord commercial contre le piratage, Acta inquiète au-delà des défenseurs d'un réseau libre. La France a signé, au tour du Parlement européen.
La semaine dernière, le Web américain se levait comme un seul homme pour protester contre les lois Sopa et Pipa. Avec succès, puisque ces deux textes vont probablement rester lettres mortes.
A peine Internet a t-il repris son souffle que le traité Acta (Anti-counterfeiting trade agreement) vient à nouveau jouer les épouvantails.
Ce traité, dont les négociations se sont déroulées pour la plus part sous le sceau du secret, effraie les défenseurs des libertés sur Internet depuis son apparition sur les écrans radar en 2008.
22 pays ont ratifié le traité Acta
Jeudi, des représentants de 22 pays de l'Union européenne (dont la France) ont signé au Japon le traité Acta, rejoignant les huit pays qui l'avaient déjà signé en octobre – l'Australie, le Canada, le Japon, la Corée du Sud, la Nouvelle-Zélande, Singapour et les Etats-Unis.
Il ne reste qu'une ultime étape avant l'adoption : le passage devant le Parlement européen, pas avant le printemps.
Spot des anti-Acta
Passer la souris sur la vidéo et cliquez sur « subtitles » pour activer les sous-titres français.
Cette ratification a été immédiatement suivie par la démission du rapporteur du projet auprès du Parlement, le socialiste français Kader Arif. Il a dénoncé « une mascarade » :
« Je tiens à dénoncer de la manière la plus vive l'ensemble du processus qui a conduit à la signature de cet accord : non-association de la société civile, manque de transparence depuis le début des négociations, reports successifs de la signature du texte sans qu'aucune explication ne soit donnée, mise à l'écart des revendications du Parlement européen pourtant exprimées dans plusieurs résolutions de notre assemblée. »
Que prévoit exactement ce texte ?
Ce traité entend renforcer la coopération internationale dans la lutte contre la contrefaçon. Il ne se limite aux médicaments et aux produits de luxe, et vise également à combattre le téléchargement illégal (musique, films, logiciels...).

(suite en dessous):

28 janvier 2012 à 13:31  
Blogger huemaurice7 a dit...

Juridiquement, il a été négocié en tant qu'accord commercial, ce qui lui permet d'être adopté plus rapidement et de faire l'objet de moins de débats. Mais ce traité met en place des sanctions judiciaires, ce qui est très inhabituel pour un text de ce type.
Il prévoit notamment une « collaboration » accrue entre fournisseurs d'accès à Internet et les ayants droit. Ce que dénonce la Quadarture du Net, organisation de défense des libertés sur Internet :
« Cela signifierait que les missions de police (surveillance et collection de preuves) et de justice (sanctions) puissent être confiées aux acteurs privés, contournant ainsi l'autorité judiciaire et le droit à un procès équitable. »
« Systèmes de surveillance automatique »
Même inquiétude du côté de Marietje Schaake, députée européenne et membre de la commission des affaires étrangères et de celle du commerce international, interrogée par Owni :
« [Les fournisseurs d'accès et les sites Internet] pourraient avoir besoin de mettre en place des systèmes de surveillance automatique des comportements de leurs utilisateurs. »
Le traité évoque également la lutte contre les échanges « à échelle commerciale », et pas seulement « à visée commerciale » : un terme très flou. Cela pourrait –comme les lois Sopa / Pipa – rendre responsable les entreprises d'éventuels contenus illicites présents sur leurs serveurs, créant un risque juridique très important.
Certains craignent également que les moyens pour contourner la surveillance d'Internet (et donc des dispositifs que mettrait en place Acta) soient rendus illégaux par le traité.
L'accès aux médicaments génériques menacé
Outre ses dispositions relatives à Internet, le traité pourrait notamment ralentir et compliquer l'acheminement de médicaments génériques vers les pays du Sud.
C'est ce qu'a dénoncé l'ONG Oxfam, qui qualifie Acta de « vrai danger » qui « renforce délibérément l'amalgame entre faux médicaments et médicaments génériques » et « donne un pouvoir abusif aux douanes européennes ».
Certains grands pays dits « du Sud » – et notamment la Chine, la Russie ou l'Inde, qui ne sont pas associés aux négociations – sont eux aussi très méfiants vis-à-vis de ce traité. Le Brésil étudie même une loi « anti-Acta », qui renforcerait les droits sur Internet, la vie privée et la liberté d'expression.

(suite en dessous):

28 janvier 2012 à 13:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

Une parodie du film « Robocop » par les anti-Acta
Reporters sans frontières a pointé les atteintes « à la liberté d'expression » et « l'opacité » dans laquelle a été négocié le traité.
Même le Parlement européen, dans une étude, a estimé que les avantages d'Acta pour les citoyens seraient négligeables et a souligné les nombreuses incompatibilités entre le traité et le droit européen existant.
Les Anonymous ont également prévu de se jeter dans la bataille, et prévoient une « énorme » opération pour protester contre ACTA. En Pologne, des manifestations anti-Acta ont réuni plusieurs milliers de personnes, et certains députés de gauche ont même enfilé les masques de Guy Fawkes en signe d'opposition.
Seule une voix manque, celle qui a amené les parlementaires américains à reconsidérer la loi Sopa : celles des « géants du Web », qui restent étrangement silencieux sur ce dossier.

http://www.rue89.com/2012/01/28/internet-un-poison-nomme-acta-228792

28 janvier 2012 à 13:33  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les FAI sont comme des supermarchés, bienvenus pour casser les prix mais qui doivent distribuer ce que les centrales d'achat ont décidé. Ainsi, nul ne peut prospérer sans contribuer à céder leur place de 'patron' face aux pressions qui vont désormais avec. Ce sont 'les inscrits d'office' sur la liste des contributeurs comme le sont les adhérents à l'ONU etc sans qu'un 'Droit de véto' n'apparaisse ! Ce sont donc des proies de marché qui sont développées en toute indépendance mais que donc des directives (sorties de nulle part) les obligent à en céder la direction 'dès que les affaires marchent'. Voir entr'autres le cas de la Libye où le Président Kadhafi redistribuait au peuple les richesses de la nation, et bien d'autres affaires nées du '9-11'.
Cette direction tend à supprimer (à court ou moyen terme) cette voix du peuple que représente l'internet au profit des médias gouvernementaux dont on n'en doit discuter la provenance de l'information. Ce sont des règles, des lois non votées par le peuple qui gèrent donc le troupeaux observé par satellites.

28 janvier 2012 à 13:33  

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