jeudi 26 janvier 2012

PAM !

.
Les défauts de construction qu'il peut y avoir dans le monde n'appartiennent pas (en totalité) à la science qui les a accouché mais bien aux politiques qui en ont géré les rejetons. Ainsi, en l'absence de suivi omniprésent sur les découvertes, l'on mesure très vite le grand fossé qu'il peut y avoir entre les théories et les réalités. Bon, d'accord, depuis que l'on a su que la Terre était ronde, des bateaux sont parti (échappé ?) vers la conquête de l'au-delà sur cette simple base qu'il suffisait d'en faire le tour. Or, a moins de la contourner, l'Amérique découverte par Christophe Colomb n'en serait encore au stade de rêve d'un autre monde enfoui dans les cartons à chapeaux.
Donc, la découverte de l'atome et de l'usage que l'on peut en tirer, a suscité l'envie d'en faire connaissance comme de la princesse d'un jour dont on a eu la surprise qu'il s'agissait d'un travelo. Le pire a été que des possibilités de changement de sexe pouvaient exister ! Donc, là, de nouveaux compagnons de cour ont fait leur apparition quant aux modifications que l'on pouvait y apporter/suggérer voire d'en faire une bombe sur les plateaux d'Hollywood. "Alerte à Fukushima" 3504ème épisode: La poitrine avenante y étant pour beaucoup dans la façon peu commune jusqu'alors de scotcher le téléspectateur devant le petit écran, a fait que des doublures clonées dans ce marbre ont fait leur apparition sans se soucier si les dits modèles représentaient PAM. Donc, il a fallu qu'une des artistes sur le plateau soit secouée un peu plus que nature. Suite à cela, il n'en resta qu'une. Reste à savoir s'il s'agit là du modèle de base ou d'un savant mélange de reconstruit.
La suite au printemps prochain.

8 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Obama signe un traité de Global Internet pire que SOPA

La Maison Blanche, contourne Sénat à l'accord d'encre qui pourrait permettre à la demande des entreprises chinoises les FAI de supprimer le contenu Web aux États-Unis sans aucune surveillance légale.

Paul Joseph Watson
Infowars.com
Thursday, Janvier 26, 2012

Plusieurs mois avant le débat sur la censure de l'Internet fait rage en SOPA et PIPA dominés les préoccupations des utilisateurs du Web, le président Obama a signé un traité international qui permettrait aux entreprises en Chine ou dans tout autre pays au monde à la demande les FAI de supprimer le contenu Web aux États-Unis sans aucune morale supervision que ce soit.
L'accord commercial anti-contrefaçon a été signé par Obama le 1 Octobre 2011, encore actuellement l'objet d'une pétition demandant la Maison Blanche Sénateurs être forcé de ratifier le traité. La Maison Blanche a contourné la nécessité d'avoir le traité confirmés par les législateurs en la présentant comme une "accord exécutif", bien que les juristes ont mis en évidence la nature douteuse de cette caractérisation.
Le groupe hacktiviste anonymes ont attaqué et pris hors site de la Federal Trade Commission , hier en signe de protestation contre le traité, qui a également été l'objet de manifestations à travers les grandes villes en Pologne, un pays mis à signer la convention aujourd'hui.
En vertu des dispositions de l'ACTA, les détenteurs de droits d'auteur sera accordé de vastes pouvoirs à la demande directe FAI enlever de la matière de l'Internet sur un caprice. Alors que les FAI ne sont normalement obligés de supprimer le contenu après une ordonnance du tribunal, tous surveillance légale sera abolie, un précédent qui s'appliquent globalement, rendant le pire traité dans son champ potentiel d'abus que de SOPA ou PIPA.
Un pays connu pour sa mise en application des politiques dures censure de l'Internet tels que la Chine pourrait exiger en vertu du traité que les FAI aux Etats-Unis supprimer le contenu d'un site Web ou de résilier sur son serveur tout à fait. Comme nous l'avons vu dans l'application des politiques de droits d'auteur similaires aux États-Unis, les sites Web sont parfois la cible sans aucune raison justifiable.

(suite en dessous):

26 janvier 2012 à 21:48  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les groupes de pousser le traité voudraient aussi donner aux détenteurs de droits d'auteur avec la capacité d'exiger que les utilisateurs qui violent les droits de propriété intellectuelle (sans procédure légale)et qui ont résilié leurs connexions Internet, une peine qui ne pouvait jamais être correctement appliquées par la création d'un individu carte d'identité sur Internet pour chaque utilisateur Internet, un système qui est déjà en chantier.

"Les mêmes groupes détenteur des droits de l'industrie qui soutiennent la création de l'ACTA ont également appelé à obligatoires au niveau du réseau de filtrage par les fournisseurs de service Internet et des fournisseurs de services Internet pour mettre fin à la connexion Internet des citoyens sur des allégations répétées de violation de copyright (le" Three Strikes "/ Diplômé Réponse) donc il y a raison de croire que l'ACTA va chercher à accroître la responsabilité des intermédiaires et exigent ces choses des fournisseurs de services Internet », les rapports de la Electronic Frontier Foundation.

Le traité sera également le mandat que les FSI divulguent des informations personnelles de l'utilisateur au titulaire le droit d'auteur, tout en fournissant les autorités à travers le monde avec des pouvoirs plus étendus pour rechercher des ordinateurs portables et Internet appareils compatibles aux postes frontières.

En présentant l'ACTA comme un «accord international» plutôt que d'un traité, l'administration Obama a réussi à contourner le processus législatif et éviter d'avoir à obtenir l'approbation du Sénat, une méthode interrogé par le sénateur Wyden.
«Cela dit, même si Obama a déclaré l'ACTA un accord exécutif (alors que ceux de l'Europe insistent que c'est un traité contraignant ), il y a une très réelle question constitutionnelle ici: peut-il réellement être un accord exécutif ", demande Techdirt. «La loi est claire que les seules choses qui peuvent être couvertes par des accords exécutifs sont des choses qui impliquent des éléments qui sont exclusivement sous le mandat du Président. Autrement dit, vous ne pouvez pas signer un accord exécutif que les impacts des choses Congrès a le contrôle sur. Mais voici la chose: la propriété intellectuelle, à l'article 1, section 8 de la Constitution, est une question donnée au Congrès, et non pas le président. Ainsi, il y a un argument assez fort que le président peut légalement pas signer d'accords sur la propriété intellectuelle comme un accord exécutif et, au contraire, doit les présenter au Sénat.".

26 Etats européens membres de l'Union avec l'UE se sont mis à signer le traité lors d'une cérémonie tenue aujourd'hui à Tokyo. D'autres pays qui souhaitent signer l'accord ont jusqu'en mai 2013 pour le faire.
Les critiques sont exhortant ceux qui s'inquiètent de la décision d'Obama de signer le document sans surveillance législative à la demande du Sénat sera obligé de ratifier le traité.

http://www.infowars.com/obama-signs-global-internet-treaty-worse-than-sopa/

26 janvier 2012 à 21:50  
Blogger huemaurice7 a dit...

26/01/2012
Un ex-diplomate américain vide son sac : "Non, Fukushima n'est pas stabilisé"

Kevin Maher, 57 ans, en poste à l'ambassade des USA à Tokyo de 1980 à 2011, n'y va pas par quatre chemins en critiquant sévèrement l'action du gouvernement Japonais suite à la catastrophe nucléaire de Fukushima Daiichi et en réfutant fermement la déclaration "d'arrêt à froid" effectuée le 16 décembre par le premier ministre Noda.

Ce Japon qui "ne peut se décider"
M. Maher a publié un livre en Japonais (1) qui a été diffusé à plus de 100.000 exemplaires et figuré plusieurs semaines en tête des ventes de littérature, à la plus parfaite surprise de son auteur ; ce livre évoque l'indécision chronique d'un Japon qui ne parvient pas à décider sereinement de son avenir. L'accident de Fukushima est la cerise sur le gâteau : la gestion déplorable et complétement en demi-teinte de la crise par les autorités, le gouvernement tentant de déporter sa part de responsabilité sur un opérateur lui-même complétement dépassé par les événements.

M. Maher se rappelle ainsi s'être longuement interrogé sur l'attitude des autorités Japonaises :

"Mais qui diable est aux commandes du Japon ? Le gouvernement ne lève pas le petit doigt ! Kan [l'ancien premier ministre] a juste fait un petit tour [à Fukushima-Daiichi] puis il s'est envolé pour rapidement rebrousser chemin."
Une paralysie habituelle du gouvernement Japonais qui se démultiplie en cas de crise majeure
D'après l'ex-diplomate, les États-Unis semblaient visiblement terrifiés en observant l'image du frêle hélicoptère emportant une charge d'eau ridicule et tentant de viser "au jugé" les piscines en ébullition. "Est-ce vraiment là tout ce qu'ils peuvent faire ?" se demandait-il pendant qu'aux USA, l'ambassadeur du Japon était convoqué devant un gouvernement américain médusé. Les USA estimaient que l'incident était extrêmement sérieux et qu'il ne savaient absolument pas ce qui allait se produire. En fait il semble que le gouvernement américain ait été totalement terrifié lors du déroulement de la phase aiguë de l'accident !

M. Maher a été "remercié" le 10 mars 2011 (sic) pour ses trente années de service à Tokyo mais il est resté à son poste durant la phase critique, tentant de coordonner la réponse locale d'une centaine d'experts et de militaires américains face au désastre nucléaire se déroulant au Japon. A priori assez peu affecté par cette décision brutale, M. Maher a cependant critiqué ouvertement l'ambassadeur des USA au Japon John Ross et le secrétaire d’État Adjoint Jim Steinberg qui n'auraient pas cherché à savoir si ce qu'il rapportait était vrai ou faux et qui se sont contentés de faire taire la source de ces critiques.

(suite en dessous):

26 janvier 2012 à 22:03  
Blogger huemaurice7 a dit...

Un encouragement dans les actions récentes de M. Noda

M. Maher voit dans les prises de position récentes du nouveau premier ministre Japonais Noda briller une lueur d'espoir : l'augmentation annoncée des taxes ainsi que l'annonce de la négociation de nouveaux accords commerciaux avec les États-Unis.

Retour aux sources traditionnelles
M. Maher estime que la société Japonaise traditionnelle que l'on trouvait encore au cours des années 80 au Japon s'est inversée : en 1980, si une société commerciale Japonaise faisait faillite, même si son dirigeant était parfaitement honnête, il arrivait qu'il commette seppuku, le suicide rituel traditionnel Japonais. Aujourd'hui, estime Kevin Maher, c'est tout le contraire : même s'ils sont responsables d'un fait avéré, les autorités Japonaises écartent toute responsabilité. Cette prise de position a valu à M. Maher la sympathie de certains milieux traditionnels Japonais et explique peut-être en partie le succès de ses publications...

http://www.gen4.fr/blog/2012/01/un-ex-diplomate-am%C3%A9ricain-vide-son-sac-non-fukushima-nest-pas-stabilis%C3%A9.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook&utm_campaign=Feed%3A+Gen4-LeNuclaireBilanEtPerspectives+%28gen4+-+Le+nucl%C3%A9aire%2C+bilan+et+perspectives%29&utm_content=FaceBook

26 janvier 2012 à 22:04  
Blogger huemaurice7 a dit...

Rapport: Des contenants de bébés morts et parties du corps trouvés sur le site de déchets radioactifs - "Même leurs membres amputés et des fœtus posent un danger pour autrui"

Titre: 29 fœtus trouvés au site d'uranium
Source: Moscow Times
Date: 26 Janvier 2012

Des travailleurs ont mis au jour trois grandes cruches remplies avec les corps des 29 fœtus ainsi que d'autres parties du corps et des organes assortis lors de la fouille d'un site de déchets radioactifs dans le Kazakhstan, le journal Express K a rapporté mercredi.
Plus d'informations
Trouvé par des ouvriers d'usine à l'usine métallurgique Ulbinsky
Les enquêteurs trouvent les dossiers des patients dans un centre médical sur les lieux de l'usine
Contenu [...] incluent mort-nés, les bébés avortés et abandonnés, des membres amputés et des organes retirés
Les médecins de l'établissement ont déclaré aux policiers que les pratiques funéraires ont commencé après qu'il fut découvert que les travailleurs avaient été exposés à des niveaux dangereux de l'uranium
Même leurs membres amputés et le fœtus posent un danger pour autrui.
Cette découverte a incité le centre médical pour commencer à sceller le fœtus et les parties du corps enlevés chirurgicalement dans des cruches et de les enterrer.

http://enenews.com/paper-large-containers-filled-dead-babies-body-parts-found-radioactive-waste-site-amputated-limbs-fetuses-posed-danger-others

26 janvier 2012 à 22:06  
Blogger huemaurice7 a dit...

Comment l'eau de mer pourraient endommager le combustible nucléaire

26 janvier 2012

Le Japon a utilisé l'eau de mer fraîche au combustible nucléaire qui a frappé Fukushima Daiichi-centrale nucléaire après le tsunami en Mars 2011 - et ce fut probablement la meilleure action à prendre à l'époque, explique le professeur Alexandra Navrotsky de l'Université de Californie, Davis.
Mais Navrotsky et d'autres ont depuis découvert une nouvelle voie dans laquelle l'eau de mer peut corroder le combustible nucléaire, en formant des composés d'uranium qui pourraient parcourir de longues distances, soit en solution ou en tant que de très petites particules. L'équipe de recherche a publié ses travaux le 23 janvier dans la revue Actes de l'Académie nationale des sciences.

"C'est un phénomène qui n'a pas été pris en compte avant", a déclaré Alexandra Navrotsky, éminent professeur de céramique, terre et environnement chimie des matériaux . "Nous ne savons pas combien cela va augmenter le taux de corrosion, mais c'est quelque chose qui devra être pris en compte dans l'avenir."
Le Japon a utilisé l'eau de mer pour éviter un accident beaucoup plus grave à l'usine de Fukushima Daiichi-et Navrotsky dit, à sa connaissance, il n'existe aucune preuve de la longue distance contamination à l'uranium de l'usine.

L'uranium dans les barres de combustible nucléaire est une forme chimique qui est "assez insolubles" dans l'eau, Navrotsky dit, à moins que l'uranium est oxydé à l'uranium-VI - un processus qui peut être facilité lorsque le rayonnement transforme l'eau en peroxyde, un agent oxydant puissant.
Peter Burns, professeur de génie civil et de sciences géologiques à l'Université de Notre Dame et un co-auteur du nouveau papier, avait déjà fait sphériques grappes peroxyde d'uranium, un peu comme le carbone "buckyballs", qui peut dissoudre ou exister en tant que solides.

Dans le nouveau document, les chercheurs montrent qu'en présence d'ions de métaux alcalins comme le sodium - par exemple, dans l'eau de mer - ces clusters sont suffisamment stables pour persister dans une solution ou de petites particules, même lorsque l'agent oxydant est retirée.
En d'autres termes, ces grappes peuvent se former sur la surface d'une barre de combustible exposée à l'eau de mer pour être ensuite transportée loin, survivant dans l'environnement pendant des mois ou des années avant de revenir à des formes plus communes de l'uranium, sans peroxyde, et le règlement au fond du l'océan. Il n'y a pas encore de données sur la vitesse de ces grappes de peroxyde d'uranium va se décomposer dans l'environnement, Navrotsky dit.

Fourni par l'Université de Californie - Davis

http://www.physorg.com/news/2012-01-seawater-corrode-nuclear-fuel.html

26 janvier 2012 à 22:30  
Blogger huemaurice7 a dit...

«Comme une forme de drogue» - Pro-Nuke politicien ne plus faire confiance à des sociétés d'énergie nucléaire, mais "c'est une société où nous ne pouvons pas facilement prendre la parole"

Titre: FONCTION-japonais de dépendance ville sur la critique centrale nucléaire fait taire
Source: Reuters
Date: Thu 26 janvier 2012 09h51 HNE

La catastrophe nucléaire du Japon a érodé la confiance dans les services publics et montré les résidents de la rurale, la région montagneuse de Fukui le risque de radiations [...]

Les résidents de Ohi se demandent maintenant si l'opérateur de leur usine peut faire confiance. Mais peu sont prêts à exprimer de tels doutes.
Un politicien sans nom qui soutient l'industrie nucléaire dans la ville de Ohi au centre du Japon le long de la côte de Fukui, connu comme le "Arcade atomique"
"Considérant la tendance de Tokyo Electric pour cacher l'information, je pense que Kansai Electric peut aussi être une entreprise qui ne peut pas faire confiance"
"Mais nous avons des raisons pourquoi nous devons"
«Nous avons recruté un peu l'usine connaissant les risques, mais le degré de dépendance à l'égard elle a grandi, à la fois financièrement et en termes d'emploi"
«C'est une société où nous ne pouvons pas facilement parler"
Tetsuen Nakajima, un moine bouddhiste dans un temple flanc de colline dans la ville d'Obama
«J'ai un sentiment de crise que les promoteurs de l'énergie nucléaire et le public japonais ne sera pas en mesure de se repentir à moins d'une seconde Fukushima a lieu et je veux absolument éviter que"
«Après avoir reçu de l'argent lié à la centrale nucléaire comme une forme de médicaments, de la capacité de cette région pour nourrir son économie de manière indépendante et active a diminué"

http://enenews.com/like-a-form-of-drugs-pro-nuke-politican-no-longer-trusting-of-nuclear-power-companies-but-its-a-society-where-we-cant-easily-speak-up

26 janvier 2012 à 22:38  
Blogger huemaurice7 a dit...

Ahmadinejad prêt pour des négociations nucléaires

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a dit Téhéran est prêt à des pourparlers avec les puissances occidentales sur son programme nucléaire.
Le leader de la république islamique a également déclaré que les sanctions imposées par l'UE contre l'industrie pétrolière de l'Iran ne sera pas la blesser. Ahmadinejad a fait ces remarques à Kerman, sud de l'Iran jeudi.
L'Iran est sous la pression croissante de l'Occident sur son programme nucléaire controversé. Les étrangers accusent Téhéran de secret construire une arme nucléaire, une allégation que l'Iran nie fermement.

Dans la dernière ronde de ce différend, les États-Unis et l'UE ont émis un embargo sur le pétrole iranien, ainsi que les sanctions contre la banque centrale du pays.
Le mouvement, a pour but de paralyser le budget de l'un des premiers exportateurs mondiaux de pétrole brut de premier plan, peut être soutenu par certains grands acheteurs dont le Japon et la Corée du Sud. Chine et l'Inde, qui tous deux représentent de gros morceaux de commerce du pétrole de l'Iran, cependant, ont refusé de le rejoindre.

Iran maintient qu'il ne sera pas à céder à la pression, menaçant de paralyser le trafic pétrolier dans le Golfe Persique en bloquant le détroit de Ormuz. Dans la dernière réponse à des sanctions, Téhéran est lorgne approvisionnement en suspension de pétrole vers l'Europe en vertu de contrats permanents, qui se traduirait par une pénurie de carburant dans les pays de l'UE.

http://bluebeerriver.blogspot.com/2012/01/ahmadinejad-ready-for-nuclear-talks.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Bluebeerriver+%28Bluebeerriver%29

26 janvier 2012 à 22:47  

Enregistrer un commentaire

Abonnement Publier les commentaires [Atom]

<< Accueil