Tout propre !
Lorsque un vêtement est sale, s'il est de bons usages de le nettoyer, il n'en est rien de certains... qui ne peuvent l'être (!). Si pour un tissu blanc il est rendu propre à 90° (+ javel, autant que faire se peut) il en est loin d'être de même pour un vêtement de couleur(s) ! Donc, qu'il soit sorti d'une machine à laver, d'un pressing ou des mains énergiques et batifolantes de l'eau des rivières... il est sâââle ! (parce qu'un vêtement de couleur se salit tout autant qu'un de couleur blanche).
Donc: nous portons tous les jours... des vêtements sales ! Vêtements qui se voudraient exempt de poussières, germes, virus (transmissibles !) et bactéries pathogènes aux comparatifs des propretés chimiques ou biologiques.Encore que le terme de lavage à 90° n'inclut pas forcément la notion de bouillir - puisque c'est bien à 100° que l'eau bout (sauf à certaines altitudes), - d'où, la présence de malpropretés fussent-elles infimes.Pareil pour certains milieux de types laboratoire ou médical où l'on se doit de porter des vêtements blancs sans que la présence de vêtements de couleurs ne soit retenue en dessous ! (sous-vêtements, etc). D'ailleurs, il est très fréquent de rencontrer des chirurgiens qui portent le calot (tissu blanc ou polypropylène vert) sans que ne soit retenue l'hygiène de pilosité sur le menton (barbe) ! D'où - peut-être - la progression exponentielle de maladies dites nosocomiales qui affectent chaque année 700.000 à 1 million de personnes en France.
Évidemment, il n'est pas retenu là l'hygiène des patients qui portent en eux tous les germes de la Terre (accidents, chutes dans une flaque d'eau ou d'autre chose, etc) et qui sont illico-presto via urgences pénétrés en salles et couloirs d'hôpitaux pour un diagnostic préopératoire (en plus de l'exogènécité des lieux déjà bondés). S'il est plus facile d'apporter un degré d'hygiène respectable au personnel soignant et aux locaux, il en est de moins pour les blessés à qui l'on ne peut faire une toilette totale (y compris shampooing) avant la table d'opération.
Donc, il va sans dire que nous vivons tous dans une atmosphère infectée (que nous combattons par la présence de globules blancs, entr'autres, qui produisent des anticorps qui éliminent les microbes).
Mais, cette immunologie est loin d'être présente dans les poudres à laver, ce qui fait que la ville... sent la ville, et la campagne sent la campagne, et qu'en nettoyage des bronches des poumons l'on a pas encore trouvé mieux que... de ne pas respirer !
Donc: nous portons tous les jours... des vêtements sales ! Vêtements qui se voudraient exempt de poussières, germes, virus (transmissibles !) et bactéries pathogènes aux comparatifs des propretés chimiques ou biologiques.Encore que le terme de lavage à 90° n'inclut pas forcément la notion de bouillir - puisque c'est bien à 100° que l'eau bout (sauf à certaines altitudes), - d'où, la présence de malpropretés fussent-elles infimes.Pareil pour certains milieux de types laboratoire ou médical où l'on se doit de porter des vêtements blancs sans que la présence de vêtements de couleurs ne soit retenue en dessous ! (sous-vêtements, etc). D'ailleurs, il est très fréquent de rencontrer des chirurgiens qui portent le calot (tissu blanc ou polypropylène vert) sans que ne soit retenue l'hygiène de pilosité sur le menton (barbe) ! D'où - peut-être - la progression exponentielle de maladies dites nosocomiales qui affectent chaque année 700.000 à 1 million de personnes en France.
Évidemment, il n'est pas retenu là l'hygiène des patients qui portent en eux tous les germes de la Terre (accidents, chutes dans une flaque d'eau ou d'autre chose, etc) et qui sont illico-presto via urgences pénétrés en salles et couloirs d'hôpitaux pour un diagnostic préopératoire (en plus de l'exogènécité des lieux déjà bondés). S'il est plus facile d'apporter un degré d'hygiène respectable au personnel soignant et aux locaux, il en est de moins pour les blessés à qui l'on ne peut faire une toilette totale (y compris shampooing) avant la table d'opération.
Donc, il va sans dire que nous vivons tous dans une atmosphère infectée (que nous combattons par la présence de globules blancs, entr'autres, qui produisent des anticorps qui éliminent les microbes).
Mais, cette immunologie est loin d'être présente dans les poudres à laver, ce qui fait que la ville... sent la ville, et la campagne sent la campagne, et qu'en nettoyage des bronches des poumons l'on a pas encore trouvé mieux que... de ne pas respirer !
Bien sûr, la voiture pollue un million de fois plus qu'une cigarette, bien sûr qu'un avion pollue un million de fois plus qu'une voiture; donc, quelqu'un qui est malade ou qui meurt, la conclusion sera forcément "Fumez-vous ?" Sans que ne soit prise en compte que la personne ait pu vivre à proximité d'une autoroute, rue, boulevard ou aéroport mais seulement qu'elle aurait fréquenté des lieux publics où cette dernière aurait pu croiser incidemment des personnes qui fumaient !!
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