Le chaud et le froid

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Quand c'est l'été, qu'il fait beau, que fait-on ? On travaille. Chacun vaque à ses occupations. Il y a donc plus de productivité l'été que l'hiver. Donc, tout est dans le cadre de vie, le confort étant incidenciel au bon développement de toutes économies. Si en des pays tropicaux l'on passe l'année en short/t-shirt/tongs et bob sur la tête, le budget se tournera plutôt vers des produits locaux exempts de pétrole (fioul) comme de vêtements importés. Avec la douceur climatique tout pousse mieux dans les champs & jardins. C'est pourquoi, dans des pays aussi septentrionaux que la Hollande en Europe, se bâtissent a perte de vue des serres gigantesques dans lesquelles il y fait encore bon de produire. Épanouissements des cultures qui font appel aux grands renforts de gazcarbonique pour leur développement dont les plantes en sont friandes et rejettent d'autant oxygène que nous profitons tous. La combustion parfaite entre l'homme et la nature où chacun vit de l'autre comme il en est ainsi depuis des millénaires.

Donc, parler d'une baisse obligée du gazcarbonique est de mettre en place une politique hégémoniste désireuse de priver l'humain d'oxygène. Notons au passage qu'une déforestation nécessaire en Amazonie est un viatique d'appoint parce que les plants de tomates ou melons se consomment mieux que les arbres aussi recherchés soient-ils pour en faire des meubles. Et qu'aussi, les arbres repoussent plus vite en zones ensoleillées que dans les pays proches des pôles. Ainsi donc, le conflictuel commercial cher aux pays 'développés' se résumerait-il à demander de faire aux autres ce qu'ils ne jugent primordial à faire chez eux !

Tout étant résumé dans une affaire (de gros sous) de transport (bois, pétrole et marchandises diverses) dont chacun peut très bien se passer en développement local. Ainsi donc, les donneurs d'ordres comme de leçons, se remplissent-ils les poches sans produire d'eux-mêmes quoi que ce soit. Ce sont là des extravagances continuelles et quotidiennes que nous observons en tous lieux avec des tomates d'Afrique du sud vendues aux marchés de Rotterdam, comme des automobiles venues de plusieurs milliers de kilomètres et le cher pétrole bon marché vendu à prix d'or à la pompe.

Politiques misérabilisantes soutenues par 'les verts' qui se refusent à faire remarquer que 16 porte-containers polluent autant que toutes les voitures du monde.

http://huemaurice7.blogspot.com/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html