Du blé plein les poches !

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Tant que les candidats aux 'prochaines élections' sont en campagne et parcourent les villes de meeting en meeting, ils se disent 'concernés', 'prêts à tout faire pour s'en sortir', ce sont là des promesses politiques qui ne seront jamais remontées en surface par les journalistes qui les interrogent, vu que les médias sont gouvernementaux et qu'ils s'entendent comme cochons. Ainsi, pour peu que l'on ait eu quelques notions d'agriculture dans son petit jardin, l'on a appris que les graines germent avec un peu de chaleur et d'eau et qui leur aient besoin de soleil dès qu'elles 'émergent' de terre. Ensuite, leur développement est conséquent a ce qu'elles trouvent à manger en bout de racines. Il en est ainsi depuis des millions d'années. Le blé, le riz et le maïs étant les 3 céréales les plus cultivées au monde. Le blé tendre ("Froment"/Nord Europe et Canada) est utilisé pour faire le pain, tandis que le blé dur ("Gluten"/Sud Europe) est réservé aux pâtes. Donc, chacune des variétés a un coefficient multiplicateur de reproduction de par leur(s) épis. Même si celui-ci demeure théorique dans la mesure où ce ne sont pas tous les grains qui germent, chaque épi peut permettre une multiplication par 10 à 1000 (voire plus). Ce qui contribue à nourrir plus que largement les populations quelles qu'elles soient.

Donc: il ne devrait y avoir de famine.

Or, que voyons-nous ? L'on observe toujours dans le monde de mauvaises récoltes (dues aux climats, intempéries) parfois aussi sujettes aux maladies et/ou invasions d'insectes, un manque d'engrais et, et surtout un manque d'eau alors que les semences se font généralement en régions irrigables. Pourquoi de tels problèmes font-ils leur apparition alors que ce sont des substances vitales pour tous qui se doivent de remplir les champs ? Incompétence des agriculteurs ? Que nenni ! Ils connaissent leur métier qui se perpétue généralement de génération en génération. Mais alors... serait-ce les 'politiques' ? Effectivement, alors que tout devrait être mis en place et facilité par le 'gouvernement' pour que le peuple puisse consommer, les ressources gratuites en eau que la terre nous donne se trouvent soudainement et étrangement compromises par 'de nouvelles directives' émanant de gens incompétents et escrocs pour la plupart qui cherchent à détourner les canaux d'alimentation et/ou à faire payer ce qui est gratuit ou à justifier des hausses d'impôts et taxes diverses par des travaux de 'mise en conformité' superfétatoires mais qui ont pour but de plomber les finances des céréaliers en particulier de façon à empêcher leur développement par l'achat de terres, de machines et de fournir plus d'emplois.

Les marchés verrouillés

Ce n'est pas là un avis tout personnel cherchant la polémique envers les dirigeants mais une constatation que tout le monde peut faire. Il s'agit là d'un regard situationnel sur l'ensemble de la gestion du monde agricole (qui nourrit la planète) et sur les chefs d'Etats et mesures politiques qui contribuent à conserver - voire amplifier - le mal-être planétaire, au travers de disettes annoncées, guerres préparées, ruines programmées et maladies nouvelles visant à être développées. Effectivement, c'est toujours le domaine alimentaire qui est touché et qui semble - comme étant la clef de tout - pouvoir maîtriser le monde. Car si certaines personnes peuvent se passer de travailler, aucune au monde ne peut vivre sans manger. Sur quoi viennent se greffer des hausses de coût énergétique qui ne sont que 'poudre aux yeux' et 'bla-bla-bla' vues que les prix au départ en pays producteurs... n'ont pas véritablement changé depuis des décennies ! Ce qui fait que les pays qui ont des réserves d'or noir ne sont généralement pas plus riche pour autant ! (alors que leur population devrait n'être occupée que par des multimillionnaires, c'est le plus souvent une situation de famine et de misère qui parcourt les rues comme les campagnes). Ce qui montre bien une fois de plus qui sont ceux qui s'enrichissent au dépend des consommateurs et qui ont pour but de surveillance de maintenir le monde dans la pauvreté.