Elle ne pense pas quand l'homme réfléchit. Elle exécute.

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Comment une structure de recherche mise en place par des fonds publics américains a pu t-elle avoir un aval 'carte blanche' afin de développer une force de contre-pouvoir au sein même de l'Etat ? Cette prise secrète de direction du devenir de notre planète qui est aujourd'hui entre les mains des désormais 'hommes de l'ombre' de Gakona, a de quoi en inquiéter plus d'un car, elle n'est ni alignée au ministère de la Défense ni ouverte au public comme peut l'être un observatoire accueillant des universitaires en mal de formation. C'est donc là une table invisible où chacun parait faire sa tambouille sans vis-à-vis de peur d'en éventer la recette. C'est là tout l'art de la cuisine au micro-ondes et des bons coups de fourchettes dans les budgets où le peuple du monde n'a eu jusqu'à présent que les senteurs de pain brûlé.

Pressentiments de fausse-route et d'intentions douteuses que cette compagnie du-bon-savoir semble partager avec sa grande soeur soviétique dans ce jeu de morpion de la ligne droite. Comment les États du monde peuvent-ils encore tolérer ces ateliers-laboratoires du savant fou et conserver toute indépendance sous cette menace bien réelle ? La participation belliqueuse de cette technologie des ondes au comportement et droit de vivre en paix en ce monde en étonne l'humain. A savoir qu'avec cette arme suprême ils peuvent d'un trait de souris comme d'un clic provoquer toute guerre comme a y mettre fin en moins d'une seconde, pourquoi alors ont-ils ce plaisir malsain de s'amuser de l'infortune et de torturer pour passer le temps ? Intervention dans la guerre du Vietnam (qui a duré 16 ans !) comme dans celle de l'Irak et bien d'autres encore, qui n'ont fait que faire ressortir leurs cerveaux de malade qui se complaisent à tuer.

L'horreur des gens qui brûlent, qui crient et se contorsionnent. Des humains démembrés. Des souffrances/endurances/défaillances atroces acceptées. Des victimes de la croyance, de la confiance aveugle en autrui, de la marche à suivre, des échelons, de la hiérarchie et du bordel de la fonction publique. L'arme scalaire cherche des idées qu'elle n'a pas et qu'elle n'aura jamais. C'est la machine contre l'homme. Elle ne pense pas quand l'homme réfléchit. Elle exécute. Démolit. Elle est au service de l'homme.