mercredi 30 mars 2011

Particules et particules

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Le fait d'être plus nombreux sur Terre (que les dirigeants qui se diraient l'avoir conçu !) laisse là entrevoir l'image rabâchée de la fourmi auquel un pied écrase tout comme à la ruche ou des centaines milliers millions milliards d'abeilles y fabriquent les valeureux petits pots de miel auxquels seuls les apiculteurs en profitent. Cela n'est certes sans compter des têtes bien remplies qui foisonnent sur le globe et qui seraient plus nombreuses que les quelques retenues pour en asseoir la dictature du comment vivre. Et là - paraphrasant la glose - dans son attribut premier comme quoi la machette est plus coupante que les poings nus, ce n'est point la loi ou des textes hauts portés qui se peuvent de lutter contre le canon. Donc, à l'heure actuelle d'aujourd'hui où présentement il n'y aurait plus d'effluves radioactives qui viendraient à toucher nos petits poumons, nos p'tites têtes et minuscules cervelles et que les médias gouvernementaux en oublieraient même de parler que les émissions de Fukushima se seraient arrêté alors qu'elles ne cessent de croître (!) depuis le 11 mars, l'on ne peut que se demander quoi qu'il en est de ce qu'on respire.
Donc, suivant mon principe bien personnel de contribution à sauver mes couilles du pantalon de l'enfer, et présentant une addition comme quoi toutes particules ajoutées représentent un plus, et que s'il se dépose (par exemple) 10 particules par heure ici, en 10 heures cela fera 10 fois plus (si mes souvenirs sont bons) et, que depuis le 23 mars l'étendue radioactive a touché l'Europe, cela ferait un bon paquet de trucs méchants bien respirés par nous tout le monde, l'on en serait tous contaminés à crever aux jours prochains suites à des 'maladies cardiaques', 'rhumes des foins' ou d'éternuements mais non de Tchernobylisation-Fukushimaesques auquel la presse ne prête souci (!).
Ainsi, de bons droits dans les statuts sociaux où tous les immigrés seraient refoulés aux frontières et que les sans-papiers nippons même s'ils sont invisibles iraient pourrir à Guantanamo/Alcatraz ou Cayenne, l'on ne peut que se poser des questions sur leur survie quant à leurs survols des régions (déjà bien chemtraillées quotidiennement) et à la légalité de leurs visas touristiques. Cherchent-ils du travail aux morgues privées et cimetières communaux ? Comment leur expliquer que leur présence en nos sols n'est pas faite pour nos bactéries bien françaises ? Leur incidence ne peut porter (comme aux Etat-Unis) qu'à une très nette diminution du chômage vu que les dits sans emploi n'iront plus pointer et que (comme les journalistes collabos) disparaîtront en 'silence' au Grand tableau du recensement.
Sont-ils encore aujourd'hui à vouloir 'sauver leur emploi' (comme au Japon) face à la menace et l'hégémonie bien réelle qui se profile et parcourt l'hémisphère-nord ? Ces mêmes tampons (comme le sont les syndicats et avocats) sont-ils touchés par la grâce du filtre à particules pour n'entretenir qu'une barrière entre peuple et gouvernants ? Voilà bien des scholiastes qui tendent par leurs écrits à faire savoir au monde ce dont ils aperçoivent en leur fief intérieur et qui ne ne se rangent pas forcément du côté des Droits de l'Homme (comme en discutent parfois de leur existence effective !).

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