jeudi 21 avril 2011

Y a une boulette quelque part


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Nombreuses sont les questions posées sur "l'après Fukushima". Alors que les centrales nucléaires construites répondent (en principe) aux normes élémentaires en matière de sécurité, l'une d'entr'elles, avait comme point-faible une brèche. Brèche connue de la Direction. Cette information capitale est donc apparue comme une horreur hégémonique volontaire et requalifiée en 'conflit d'intérêt' (comme il est apparu que les centrales n'étaient pas assurées). Mais, la recherche, ne doit pas s'arrêter à cette révélation. Les armes scalaires dans le monde étant opérationnelles, ce ne sont donc pas les 'conflits d'intérêt' qui peuvent manquer ! Au point de vue économique, le Japon fait figure de 'tête', tandis que les sous-traitants (Chine/Inde/etc) représentent 'les jambes'. Donc toute relance d'économie peut passer par le bon vouloir d'étêter la structure qui - bien huilée - mettait en danger divers pays hyper-endettés dont les 'reconnaissances de dettes' ne valent aujourd'hui plus grand chose.
Donc, dans un scénario de science-fiction: l'action scalaire intervenant en lieu où les fréquences de tremblements de terres sont quasi quotidiennes, suffisait donc de passer à l'action lors d'une secousse naturelle afin de 'brouiller les pistes'. Or, comme nous l'avons tous vu lors du 11 septembre, les 'vire-voltages' aériens de gros Boeing faisant penser à des Cessna dans leur maniabilité et, les tours du WTC s'effondrant 'un peu trop vite', tout donc laisse à penser que c'était des amateurs (faut bien démarrer par quelque chose, non ?) qui étaient ce jour là aux joysticks. 'Seconde' bévue: Fukushima. Nul n'était censé savoir (hormis le Directeur) que la centrale était fendue. Donc, tragédie arrivant, la Haute Direction japonaise, reconnaissant que l'action scalaire a eut lieu, choisit de... laisser courir (!). Parlant tout d'abord de maîtrise des dommages événementiels, puis, interventions clownesques sur la centrale dé-chapeautée avec des tuyaux d'eau (qui n'atteignent par les barres verticales en contrebas du réacteur surchauffant à 2000° voire 3000°), il s'ensuit donc des panaches de vapeurs d'eau radioactives s'élevant dans le ciel et portés/dispersés par les vents. Cas de figure qui n'était - semble t-il - pas 'au programme'. D'où les retombées radioactives sur la quasi totalité de l'hémisphère nord. Donc là, rien ne sert de s'enfermer aux abris souterrains vu que la vie en blockhaus pendant des décennies y serait impossible.
Donc là, même si l'on en suit les 'rumeurs' comme quoi la dépopulation du monde à 90% serait nécessaire et que - justement, par effet de 'coïncidence' - 90% des habitants sur Terre vivent en hémisphère nord, tout semblerait là 'rentrer dans l'ordre' du programme hégémonique. Mais là où l'erreur est plus qu'une grosse boulette, est que cette dépopulation vient du nucléaire. Aïe-aïe-aïe ! Radioactivité pour l'instant contenue dans l'hémisphère nord (où les vents semble t-il ne vont pas au sud) qui est sans compter avec les courants marins qui eux vont bien du nord au sud et vice versa. D'où le danger à venir pour les 10% restants. Donc: dépopulation totale pour des siècles et des siècles !
Y a une boulette quelque part. Cherchez où.

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