"On ne prête qu'aux riches"
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Avec cette phrase 'on ne prête qu'aux riches', l'attention n'est portée qu'à l'image de gros tas de fric qui pourraient couvrir le remboursement du dépôt. Effectivement, l'argent du salaire est prêté à des organismes qui feraient en principe office de coffres-forts (d'où la sûreté) et qui apporteraient (en remerciements) quelques menus intérêts (inspirés de chez "Radin 2.0"). Pareillement que pour les banques susnommées, l'on ne prête regard qu'aux belles choses avec bien sûr cet objectif d'être un jour le ou la semblable qui monte sur scène et fait son show, et/ou qui possède voilier, belles voitures et demeures au bord de l'eau. "Tant que c'est gratuit, on regarde !". Mais, comme tout a un prix, il est parfois demandé d'ouvrir le portefeuilles pour s'en remplir les mirettes et emporter ce souvenir avec son mouchoir par dessus.
Or, si la fortune des banques vient de l'argent déposé, les intérêts y sont loin d'y être en rapport, d'où donc le peut-être intérêt d'y introduire une participation à l'entreprise (comme dans certaines qui acceptent ce terme de coopératives), effectivement là, ce type d'investissement 'vaudrait le coup' à l'heure où les capitaux chez certains débordent des poches. Mais, lorsque l'on parle de 'participation au capital' l'on ne pense qu'aux larges bénéfices qui pourraient nous envahir (Whoooââh !), mais, pourtant, les banques chez qui l'on est (comme chez celles où l'on est pas !) nous font désormais gracieusement participer (contribuer de force, ouais !) à leurs placements autant obscurs qu'hasardeux (secret défense ?) qui se seraient soldés par des pertes sèches et faillites en tous genres !
Que celui qui a déjà vu un 'banquier faire la manche dans la rue' me jette la première pierre (-précieuse, siouplait !). Ainsi donc, la presse se fait elle étalagiste en couvertures d'escrocs fortunés tout sourire et dents blanches montrant leurs bagouzes aux photographes ébahis. Ne cherchez pas d'où vient cette fortune si entre vos mains vous feuilletez un magazine ! D'où le désormais 'payer pour voir' (pour toucher, c'est un peu plus). C'est faire contre mauvaise fortune, bon coeur, exemple même du type qui s'est fait avoir aux 'miroirs aux alouettes' ou de la bécasse qui s'est faite pigeonner.
Donc là, est arrivé le terme de 'renflouement' ("la remontée du Titanic"), ce terme audacieux et rempli de délicatesses ne s'applique pas au peuple qui lui en a le plus besoin mais n'est dirigé qu'envers ceux qui ont tout et veulent aussi le reste ! (Ô Grèce ! ô désespoir ! Ogresse ennemie !...).
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Poches percées
Le fait de bientôt vouloir taxer les ventes sur Internet montre bien jusqu'où peut aller l'Administration pour ruiner le peuple. Que seraient les achats/ventes non taxés ? Des clients avec plus d'argent a disposition. Que feraient les clients de 'tout cet argent' ? Ils le dépenseraient. Ces achats créent des emplois que les gouvernements ne sont ni à la hauteur de construire (çà se saurait !), ni à la hauteur de reconnaître ! Ce que veulent les dirigeants c'est prendre l'argent aux mains du peuple pour ne pas le lui rendre. Ainsi, s'il y a quelques personnes qui sont soucieuses de transparence dans la comptabilité envers les entreprises, il n'en est comme il n'en a jamais été de même envers les comptes publics. Trésor public bien caché/masqué aux vues des citoyens qui banquent sans savoir ni pour quoi ni pour qui. C'est ce qui aujourd'hui est rappelé en Grèce par le 'tonneau des Danaïdes' (http://www.expressio.fr/expressions/le-tonneau-des-danaides.php) où chacun doit s'évertuer à remplir un coffre qui ne peut l'être !
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