mardi 5 juillet 2011

Nuclear forever


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Pour ce qui est du nucléaire, il se présente 2 alternatives: soit la centrale est au bord de l'eau d'une rivière (pompe en amont l'eau fraîche et relâche en aval l'eau chaude), soit, elle se situe au bord de mer. Le problème avec le Japon est que - en l'absence de fleuve sur l'île - l'eau pompée pour refroidir les réacteurs se trouve a proximité (les vagues intervenant) des buses... de vidange ! Là est le danger. Car, lorsqu'il y a un accident (qui n'avait pas été prévu !! voir "Aréva", "EdF Energy" et "Westinghouse") cette eau destinée au refroidissement est mêlée avec les émissaires de rejet !! (d'où la peut-être problématique avec Anne Lauvergeon à la tête d'Arèva*).
Pour ce qui est de la centrale en bordure de fleuve (de type "Fort Calhoun au Nébraska), s'il y a 'dysfonctionnement' (pour une raison quelconque), il peut ou doit y avoir rejet de matières radioactives dans le courant du fleuve (Missouri), d'où la gravité qu'il peut en être de pomper l'eau du fleuve en aval pour irriguer les cultures et de la présence non-lessivée de particules en bordures.
Mais, à voir la "levée de boucliers" face au désormais nucléaire, il est bon d'ajouter/de rectifier le tir que, même s'il n'y avait sur Terre plus aucune centrale nucléaire (désormais centrales au charbon ou au fioul), il n'en demeure pas moins que le nucléaire ne cessera pas moins d'exister ! Car, il existe (toujours) des bombes. Et, aussi lointainement puissent-elles être (celles d'aujourd'hui - malgré les faux programmes de 'désarmement'' - n'ont plus rien à voir avec les 'bombinettes' d'Hiroshima ou de Nagasaki), s'il en venait à en péter une (fut-elle à "l'autre bout du monde"), on en recevrait tous les particules radioactives, sans parler de "l'Uranium Appauvri" qui nettoie l'Irak et l'Afghanistan autant qu'aujourd'hui la Libye. U.A. qui irradie jusqu'à... 2000 km ! Ce qui laisse à penser de ce que peut en être l'avenir de l'Afrique du nord et du bassin méditerranéen !
Donc, la question du jour a se poser est: "que faire aujourd'hui avec Fukushima" ? Car, maintenant que le mal est fait, il ne s'agit plus de tergiverser à tirer des plans sur la comète et des "si j'avais su" et des "il aurait fallu". La question cruciale se pose aujourd'hui à plus de 3 mois après l'explosion des réacteurs du 'comment faire'. Aux vues des p... d'organisations mises en place depuis le 11 mars 2011, l'on est à se demander si "ce type de problème touchait la France et/ou les Etats-Unis, qu'en serait-il des mesures prises pour contrer/stopper les radiations ?"
Nous voyons tous de nos jours que le 'big problème' qu'il soit à Tahiti, Madagascar ou au pôle nord: nous touche tous ! Or, nous constatons (les bras croisés jusqu'aux prochaines élections où se seront les mêmes qui reviendront pour n'en avoir fait du sujet leurs campagnes) qu'aucune nation du monde se bouge le cul pour intervenir ! Faute de solutions radicales ou de collaboration avec l'ennemi ?
 
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Ceci n'est pas une accusation de l'ex P-D.G car les motifs de son réel renvoi (ou de sa non-reconduction) sont bien obscurs à ce jour.

1 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

L'emballage des sachets de thé est du papier de la marque "PQ".
L'on y retrouve d'ailleurs à l'intérieur la même merde de partout puisque désormais: les radiations touchent la totalité de l'hémisphère nord et que les savantologues de Fukushima ou d'ailleurs ont du mal (depuis le 11 mars) à tirer la chasse.

6 juillet 2011 à 08:04  

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