mardi 8 novembre 2011

La dépendance de l'entonoir

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Quand on ignore quelque chose, on fait l'expérience de la découvrir. Ce sont soit des tests en laboratoires, soit en extérieur en se gardant de tous préjudices à autrui. Pour ce qui a été de Tchernobyl, l'expérience a été en extérieur et, 25 ans après le retour en région n'est possible. Les 200.000 personnes évacuées sont donc resté éloignées de la centrale accidentée. Pour ce qui a été et est toujours à Fukushima, non contente qu'il y ait eu 20.000 morts (tremblement de terre, raz-de-marée + émanations radioactives), cette situation conflictuelle perdure sans que la région touchée ne soit été évacuée et interdite, et la vie dans la ville et campagne est... presque comme avant ! D'où la question de la validité des informations données aux japonais (comme en d'autres pays).

Dans les campagnes (lieux d'où viennent toutes les nourritures) à l'abandon, les terrains inexploités sont en friches et, la 'nature reprenant ses droits', réaccueille les petits animaux sauvages qui viennent là où pour la plupart ils n'étaient jamais venus. D'où la prolifération également d'insectes et de maladies qui gagnent la végétation. Situation très connue dans le monde où avec l'arrivée du 'bio' l'expansion des maladies est en voie d'affamer la terre entière faute de traitements (médicaments) adéquats. Situation économique qui a pour but et résultance de développer les importations de produits qui ne sont plus cultivés sur place. Quand on cultive son jardin, l'on sait ce que l'on mange, mais quand on achète des produits d'ailleurs...

Ainsi, se place t-on dans un porte-à-faux bien malencontreux qui est (soutenu par la publicité) de dépendre des autres et de n'avoir le choix que d'un seul fournisseur (dispatché en magasins). Donc, si l'empoisonnement ne peut venir de l'eau (encore que chez certains est additionnée de fluor), ou de l'air (rempli de becquerels), il peut dès lors venir de la nourriture avec des goûts 'aussi vrais que nature' et des substances chimiques incorporées "aussi bonnes que les vaccins 'contre' la grippe" ! Ceci est déjà vu en supermarchés où les produits importés (désormais irradiés contre le pourrissement !) sont moins chers (!) que les produits locaux ! Non pas que les locaux soient vendus plus chers aux acheteurs pour grandes surfaces, mais que les prix affichés dans les rayons sont multipliés avec des marges 'plus que confortables' !

Cette mise en dépendance est comme une prise en otage des consommateurs où ne règnent désormais que des sous-marques de marques d'un seul groupe (via lobbying) qui se rempli les poches quel que soit le produit acheté.

2 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Du gouvernement: Les japonais en moyenne sont exposés à 100 microsieverts/an de rayonnement interne de Fukushima… via des aliments seuls problèmes de santé de Fukushima.
Éditorial, Japan Times, 8 novembre 2011 :
« Le ministère de la santé estime qu'au rayonnement présent, interne exposition entre les divers groupes d'âge de nourriture dans le sillage des accidents Fukushima n° 1 est sur 0,1 millisieverts par an en moyenne et que, si la nouvelle norme est appliquée, la dose de rayonnement de vie ne dépasse pas 100 millisieverts. »

http://enenews.com/govt-japanese-average-exposed-100-microsievertsyr-internal-radiation-fukushima-food-alone

9 novembre 2011 à 15:50  
Blogger huemaurice7 a dit...

Rapport du gouvernement: Le Kansas a détecté l'iode-131 dans l'herbe à plus de 2 000 pCi/kg - "attribué à Fukushima" - environ 700 % de plus que les niveaux les plus élevés signalés par l'UC de Berkeley.
Rapport de surveillance de l'environnement radiologique des environs entourant Wolf Creek centrale, Kansas Ministère de la santé et environnement, juillet 2010-juin 2011 :
Exemple : WCFV-1-A-005-2,5 Emplacement : Sharpe Type : pâturages Date: 5 avril 2011 « Échantillon contenait 2072.0 ± 72 pCi/kg 131I et 503.0 ± 29 137Cs. Ce n'était pas un résultat d'exploitation de l'étude WCGS, mais est attribué à l'incident nucléaire de Fukushima au Japon. » SOURCE : Kansas Ministère de la santé et l'environnement (voir référence) La détection la plus élevée de l'iode-131 en herbe par UC Berkeley était le 3 avril 2011, mesurée à 9,93 Bq/kg ou 268.11 pCi/kg. SOURCE : UC Berkeley. L'herbe du Kansas avait 7,7 fois plus de radioactivité de l'iode-131 que l'herbe de la baie de San Francisco. C'est un peu surprenant puisque la Californie est beaucoup plus proche de Fukushima et le Kansas a été pensé pour être plus protégé parce qu'il est derrière les montagnes Rocheuses.

http://enenews.com/just-in-govt-report-kansas-detected-iodine-131-in-grass-at-over-2000-pcikg-attributed-to-fukushima-around-700-higher-than-highest-levels-reported-by-uc-berekely

9 novembre 2011 à 16:09  

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