jeudi 3 novembre 2011

"Qu'ils crèvent !"


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Si à la présentation de plus d'informations comme il n'y en avait jamais eues auparavant chacun en saisit les concepts et tente de 'refaire le monde' avec, telle est la liberté de chacun grâce à Internet, mais, quand on voit une grosse c... de milliardaire vouloir donner aux poissons de la salade et des carottes râpées... Hahaha ! Brigitte Bardot va faire manger de l'herbe aux poissons afin qu'ils ne se bouffent plus entr'eux et puissent se multiplier en paix (sauf pour ses dizaines de chiens et de chats qui ne peuvent baiser comme elle - cause à une visite chez un vétérinaire extrapolateur !).

Quand on préfère apporter du pain, du lait et de la viande à des animaux plutôt que de les donner à manger pour sauver des humains qui en ont besoin pour vivre, on ne mérite aucun respect, c'est plutôt du dégoût voire de la répugnance qui se dégage d'un tel comportement.

A l'heure où le pétrole (gratuit) nous arrive en méthaniers à 50 cts d'euro la tonne pour 1000 km (!) et que, les Dirigeants ne seraient même pas capables de porter/transporter/apporter de la nourriture (en trop qui se jette dans les décharges cause à la mévente) à celles et ceux qui en ont besoin (fussent-elles et ils 'au bout du monde'), c'est là non pas une incompétence mais une volonté bien réfléchie de ne vouloir porter secours à son prochain. Que des gens mal intentionnés ne veuillent aider les autres est - certes, une anormalité - une orientation de petites gens aux basses conceptions encore animalières, mais que des personnes veuillent empêcher d'autres de se nourrir est là le plus grand crime de l'humanité. Ainsi, les moins que rien fussent-ils de 'notoriété publique' à montrer leur cul pour gagner quelques argents écartent-ils les abondants repas que la nature distribue gratuitement pour tenter de gagner encore quelques sous sur le dos des autres en rigolant de leur estomac vide et de leur mort pour demain (en cinémascope ?).

Cette approche lamentable d'une privée au secteur dit 'public' montre à quel point la sénilité peut faire des ravages à vouloir en calquer sa tête sur les mandatisés de l'ombre. Leur absence fait toujours plaisir à voir ! Le 'bureau des vapeurs' dépasse parfois celles de Fukushima, c'est tout dire !

Après le 'cool-biz' suggéré par les Autorités nippones, les mesures prises font de cet été comme de l'hiver prochain dans l'île Pacifique une présentation très schématique de la distribution des neurones par la dame nature auquel le doute est permis quant à la validité de ses directives venues parfois de cet au-delà envers ceux qui s'y collent d'être au 'pouvoir'. Après que les geishas se soient dénudées aux chauds rayons, voici qu'est annoncé (par voie de presse, siouplait !) que les prochains samouraïs-esquimaux aient un bâton dans le c... pour se faire sucer !! La 'haute technologie' en prend un coup ! Bref, et pourquoi pas prochainement une campagne sur 'Adoptez un petit Becquerel' et vous pourrez vivre avec autant que lui avec vous !!

14 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

mercredi 2 novembre 2011

Fukushima: La peur de la fission

Des signes d'une éventuelle fission ont été détectés dans le réacteur numéro 2 de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon. Tepco, l'opérateur du site, assure que cela ne présente pas de danger.
Tepco espérait annoncer la fin du cauchemar Fukushima avant la fin de l'année. Un nouveau rebondissement pourrait contrecarrer les plans de l'opérateur énergétique japonais. Des traces de gaz xénon ont été détectées dans le réacteur numéro 2 de la centrale de Fukushima Daiichi, celle-là même dont les incidents à répétition terrorisèrent le monde entier au mois de mars dernier. La présence de ce gaz serait un indicateur qu'une fission se produit et, selon un responsable de Tepco cité par le 'Asahi Shimbun ' que des épisodes «temporaires, à petite échelle, de criticité», se produisent. «Toutefois, parce qu'il n'y a eu augmentation ni du niveau de température, ni du niveau de pression dans le coeur du réacteur, il n'y a pas de criticité majeure», poursuit Junichi Matsumoto. Un accident de criticité est le scénario du pire pour toutes les centrales nucléaires, puisqu'il implique une réaction en chaîne incontrôlée. C'est ce qui s'était produit à Tchernobyl.
Pour Tsuyoshi Misawa, un professeur de physique à l'Institut de recherche du réacteur de Kyoto cité, si les données communiquées par Tepco sont exactes, «il est clair que la détection de xénon provient d'une fission nucléaire». Reste que, pour le «Asahi Shimbun», deux autres signes habituellement associés à la fission n'ont pas été détectés à Fukushima: ni émission d'iodes radioactifs, ni neutrons.(...)

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Environnement/Actu/Une-fission-nucleaire-serait-survenue-dans-un-reacteur-de-Fukushima-349521/

3 novembre 2011 à 09:07  
Blogger huemaurice7 a dit...

Areva repousse de un à deux ans un projet de mine d'uranium en Centrafrique.

Les travaux sont retardés en attendant une éventuelle remontée des cours, explique le groupe.
Areva a repoussé de un à deux ans les travaux d’un important projet de mine d’uranium en République centrafricaine, en raison de la chute des cours du minerai après la catastrophe de Fukushima, a-t-on appris mercredi auprès du groupe nucléaire français.
Les travaux «de mise en exploitation» de la mine de Bakouma, qui renferme selon Areva au moins 32 000 tonnes d’uranium dans l’est de la Centrafrique, ont été repoussés en attendant une éventuelle remontée des cours, a déclaré à l’AFP un porte-parole du premier producteur mondial d’uranium. (..)

http://www.liberation.fr/terre/01012369207-areva-repousse-de-un-a-deux-ans-un-projet-de-mine-d-uranium-en-centrafrique
_______________
Ce n'est donc pas une question de finance qui a empêché la Chine d'avoir des projets 'grandioses' de construction de nouvelles centrales nucléaire à la mesure de sa population, mais bien un pb avec les nouveaux propriétaires des mines qui 'feraient ce qu'ils voudraient' malgré que la Chine soit très bien implantée en Afrique et devant tous les autres !

3 novembre 2011 à 09:35  
Blogger huemaurice7 a dit...

TEPCO blâme la fission nucléaire « spontanée » et « naturelle » du xénon radioactif…

Qu'en est-il de l'augmentation de 14 000 % du Krypton-85 ? TEPCO : Le Xénon à Fukushima n'entraîne pas de réaction de nucléaire « Critique », Wall Street Journal, le 2 novembre 2011 à 11:13 h HE : « Tokyo Electric Power Co. (9501.TO), a déclaré jeudi la détection du xénon radioactif à son usine de puissance de Fukushima Daiichi sinistrée, indiquant la fission nucléaire récente, n'était pas le résultat d'une réaction en chaîne nucléaire soutenue connue comme une criticité, comme le craignait, mais une affaire de fission « spontanée », Kyodo News rapporte. » [...] « L'utilitaire connu comme Tepco a été analyse le phénomène » [...] Xénon à Fukushima n'est pas de réaction critique, Tepco Selon Bloomberg, le 3 novembre à 11 h 14 He : [...] « La découverte du xénon, a annoncé hier, à l'usine a été causée par la fission nucléaire « naturelle », Junichi Matsumoto, un directeur général à la société dénommée Tepco, dit aujourd'hui lors d'une conférence de presse à Tokyo ». [...] COMME l'EX-SKF a souligné l'augmentation de xénon ces derniers jours a été relativement mineur. C'est plutôt le 140-fold augmentation Krypton-85 au cours de la journée passée qui doit être résolu par Tepco et le Japon gouv.

http://enenews.com/just-in-tepco-claims-spontaneous-and-natural-nuclear-fission-to-blame-for-radioactive-xenon-and-the-14000-increase-in-krypton-85

3 novembre 2011 à 15:24  
Blogger huemaurice7 a dit...

TPP : le Japon s'apprête à sacrifier son agriculture
jeudi 03 novembre 2011 - 04:00

Alors que l’agriculture japonaise est déjà confrontée à de graves problèmes consécutifs à la contamination radioactive en provenance de la centrale de Fukushima, un autre danger suscite un important débat au Japon. En effet, le premier ministre japonais Noda Yoshihiko souhaiterait faire entrer le Japon dans les négociations du TPP (Trans-Pacific Partnership) qui auront lieu le 12 et 13 novembre prochain au sommet de l'APEC à Honolulu. Ce traité vise à faire émerger une zone de libre-échange dans la région Asie-Pacifique d’ici à 2015. Un traité anodin en apparence que le gouvernement tente de vendre à la population avec l’argument facile d’une "ouverture du Japon sur le monde".(...)
(...) Qu’est-ce que le TPP et pourquoi suscite-t-il autant de méfiance ? Le Trans-Pacific Strategic Economic Partnership est un traité de libre-échange visant à intégrer les économies de l’ensemble des pays de la région Asie-Pacifique. A l’heure d’aujourd’hui, neufs pays sont concernés par les négociations - Bruneï, le Chili, la Nouvelle-Zélande, Singapour, les Etats-Unis, l'Australie, le Vietnam, la Malaisie et le Pérou. La décision prise par le gouvernement japonais de participer à cette zone de libre-échange a surpris par sa rapidité l’opinion publique qui tente de comprendre de quoi il s'agit.
La crainte que suscite le TPP concerne avant tout l’agriculture, bien que le libre-échange concernera également les biens manufacturiers et les services. Sur ce sujet qui mêle alimentation et tradition, la réaction de la population peut être épidermique. L'agriculture japonaise reste relativement peu productiviste et bénéficie encore d’un fort cadre protectionniste qui la protège de toute concurrence. Selon les opposants au TPP, si cette zone de libre-échange voyait le jour, les régions agricoles déjà ravagées par le séisme du 11 mars et ses suites subiraient la concurrence des produits agricoles américains ou australiens. L’autosuffisance alimentaire du Japon déjà très basse pourrait alors fortement diminuer, passant de 39% à 13%, ce qui rendrait le pays dépendant des fluctuations du marché sur les produits alimentaires. (...)

http://www.nonfiction.fr/article-5155-tpp__le_japon_sapprete_a_sacrifier_son_agriculture.htm

3 novembre 2011 à 16:03  
Blogger huemaurice7 a dit...

Mainichi : Bouteille « croyait » pour contenir le morceau de radium causé le hotspot de Tokyo — pourtant le rayonnement reste élevé en 15 endroits autour de supermarché, jusqu'à 12 uSv/h Le 3 novembre —

Le mystère d'où viennent les matières radioactives, découvert par un supermarché à Setagaya Ward de Tokyo est arrivé de « peut avoir été craqué » avec la découverte de 2 novembre d'une bouteille de 500-millilitre enfouie contenant une masse de matière rouge-brun sombre "croit pour être radium-226″, rapports Mainichi

Bien que plusieurs autres mesures sont donnés fournies, il n'y a aucune mention du niveau de rayonnement émise de la bouteille. Cependant, les niveaux de rayonnement des notes Mainichi autour du supermarché restent élevées : « Même après que la bouteille et le sol environnant ont été enlevés, cependant, un balayage de la propriété de supermarché trouvé 12 endroits dedans et à l'extérieur de l'édifice émettant des rayonnements relativement élevés d'entre 0,2 et 12 microsieverts par heure. » « De plus, il y trois spots sur les routes bordant la propriété qui a enregistrée les doses de rayonnement de 0,3 à 2 microsieverts par heure. Airborne rayonnement autour du supermarché oscillait autour de 0,1 microsieverts par heure". Selon Mainichi, le ministère de la science et les autres autorités disent qu'ils « continueront leur examen de la zone. » (...)

http://enenews.com/mainichi-bottle-believed-to-contain-radium-caused-tokyo-hotspot-yet-radiation-remains-high-in-15-places-around-supermarket-up-to-12-usvh

3 novembre 2011 à 16:11  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima : possible réaction de fission nucléaire localisée

Un mélange composé d'eau et d'acide borique a été injecté en prévention dans le réacteur numéro 2 de la centrale nucléaire nipponne de Fukushima où "une nouvelle réaction de fission nucléaire pourrait s'être produite" a déclaré mercredi l'opérateur Tokyo Electric Power (TEPCO).
"Nous ne pouvons pas écarter la possibilité d'une réaction de fission nucléaire localisée", a précisé le porte-parole de la compagnie, Hiroki Kawamata. Avant d'ajouter : "Même si une réaction de fission est en cours, elle est d'une ampleur extrêmement faible et le réacteur est dans l'ensemble dans une situation stable."

Les soupçons d'un redémarrage de fission nucléaire sont apparus après la découverte d'un gaz rare, le xenon 133 et 135, dans le réacteur numéro 2. Plusieurs hypothèses peuvent expliquer la présence de ce gaz. La première serait que la fission a été provoquée par des pièces de combustible ayant fondu dans les premiers jours de l'accident. Kazuhiko Kudo, Professeur d'ingénierie nucléaire à l'université de Kyushu, pense ce cas improbable car de nombreux facteurs doivent se combiner dans "un rapport équilibré pour que la fission se produise".
La seconde hypothèse émise serait que de minuscules éléments radioactifs générés lors de l'accident initial soient entrés en collision, émettant des neutrons, puis divisant des noyaux d'uranium, et déclenchant de "petites fissions."

Comme le Xenon possède une durée de vie radioactive courte, cela signifie que le processus de fission serait intervenu il y a peu de temps (5 jours pour le xenon 133 et 9 heures pour le xenon 135). (...)

http://www.enerzine.com/2/12905+fukushima---une-reaction-de-fission-nucleaire-localisee+.html

3 novembre 2011 à 16:19  
Blogger huemaurice7 a dit...

Mainichi : Emplacement du combustible fondu obscur — Pourquoi tester le xénon lorsque les détecteurs de neutrons peuvent en indiquer directement la criticité ? Le 3 novembre —
Extraits et faits saillants d'aujourd'hui l'éditorial en Mainichi : surveillance plus étroite et plus d'explications des réacteurs de Fukushima nécessaires « Xénon a été détecté dans le bâtiment de confinement du réacteur n° 2 de l'usine et la conclusion a été confirmée par l'Agence demi-canton Japon sur l'énergie atomique » « La découverte suggère que la fission nucléaire se produit dans le réacteur » « Le gouvernement et TEPCO besoin de savoir pourquoi la fission s'est produite et de prendre les réponses appropriées » « La possibilité qu'il pourrait atteindre criticité a certainement causé les anxiété au public » « Au moins un expert dit qu'il ne serait aucun surprenant que la fission nucléaire ait eu lieu depuis bien avant ces derniers résultats » « Le gaz à l'intérieur les vaisseaux de confinement de l'usine Fukushima n° 1 et 3 (réacteurs) n'a pas encore été analysé » « Les fonctionnaires devraient envisager un équipement qui peut détecter les neutrons, car ils peuvent être utilisés comme un indicateur direct de savoir si la criticité s'est produite » « La découverte du xénon en bâtiment de confinement du réacteur n° 2 suggère que la fission nucléaire se produit même si on pense que la température au fond du bâtiment ait une pression au-dessous de 100 degrés Celsius — elle soulève des questions quant à savoir si un tel réacteur peut être considéré comme stable, même si c'est sous ce seuil de température » « Les conditions et les emplacements de combustible fondu dans les réacteurs de n° 1 à 3 de l'usine ainsi que les détails des dommages pour les réacteurs demeurent floues » (...)
http://enenews.com/mainichi-why-test-for-xenon-when-neutron-detectors-which-can-directly-indicate-criticality-location-of-melted-fuel-unclear

3 novembre 2011 à 16:29  
Blogger huemaurice7 a dit...

NHK : Les matières radioactives détectées dans la baie de Tokyo à la limite légale de 15 fois plus :
Tokyo pour commencer la combustion des gravats de zone sinistrée comme les premiers trains de marchandises arrivent Le 3 novembre —
Matières radioactives ont été détectés dans la baie de Tokyo, NHK rapporté hier « Les eaux usées déversées dans la baie de Tokyo provenant d'une usine de ciment ont trouvé contenir le césium radioactif à des concentrations beaucoup plus élevées que la limite de gouvernement-ensemble pour l'élimination ». « Il trouve respectivement du césium radioactif à des niveaux de 1 103 becquerels par kilogramme et 1 054 becquerels par kilogramme. » « Les niveaux sont 14 à 15 fois plus élevés que la limite fixée par la Commission de la sécurité nucléaire du pays ».
SOURCE : NHK Sur une note connexe, Tokyo a commencé disposant de 500 000 tonnes de moellons de la zone sinistrée, rapports NHK « Les trains de marchandises a apporté les décombres de la préfecture d'Iwate vers une installation de Tokyo. » « Les fonctionnaires effectuant des vérifications au hasard de rayonnement sur les décombres dit un échantillon avait une lecture ci-dessous le niveau maximal admis fixés par Tokyo à 0,01 microsieverts par heure ». « Les décombres seront éliminé sur les terres en baie de Tokyo après être brûlés. » (...)

http://enenews.com/nhk-radioactive-materials-detected-tokyo-bay-15-times-legal-limit-plus-tokyo-begin-burning-rubble-disaster-area-first-freight-trains-arrive

3 novembre 2011 à 16:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Rapport : Les entreprises nucléaires ont infiltré les universités
Papier : Frankfurter Rundschau Date: 2 novembre 2011
Titre : Le lobby nucléaire infiltre les universités Rapport : Les sociétés nucléaires allemandes financent environ 30 professeurs - et donc déterminent en grande partie, ce qui est discuté dans les universités. [...] D ie finance quatre plus grand allemand énergétique des entreprises pour plus d'informations sur ce journal dans les universités du pays environ 30 chaires de dotation. Les universités sont financées en partie connues pour des études sur le débat sur l'énergie nucléaire, la phase nucléaire et les frais d'énergie renouvelable. [...] [T] il énergie Groupe EnBW détient des chaires dotées d'onze universités allemandes. [...] [I] n de l'année écoulée, l'IME [une université ?] a été donné conjointement avec d'autres institutions du gouvernement fédéral chargé d'examiner l'avenir de l'énergie de l'Allemagne offre - un rapport d'une importance vitale. [...] « L'IME ressemble à un furtif sous-traitants [nucléaire entreprises] Eon et RWE, » explique le vice chef du groupe des verts au Bundestag, Baerbel Hoehn. [...] « Avec le financement de plus de 30 chaires dotées essayé les utilitaires pour influencer le débat public. [...]”
Vous avez à le faire si bien renforcés d'activités PR secrète et de spin, parce que les sociétés nucléaires seraient difficilement perçues comme crédible, dit Hohn.(...)

http://enenews.com/report-nuclear-companies-infiltrated-universities-industry-not-perceived-to-be-credible-so-they-had-to-do-it-lawmaker

3 novembre 2011 à 20:51  
Blogger huemaurice7 a dit...

Areva signe un partenariat avec le groupe nucléaire chinois CNNC

PARIS - Le groupe nucléaire français Areva a annoncé jeudi avoir signé un nouvel accord de coopération avec le groupe d'Etat chinois de nucléaire civil et militaire CNNC, visant à améliorer les centrales de CNNC et à faire un retour d'expérience de la catastrophe de Fukushima.

La collaboration doit contribuer à améliorer la performance d'exploitation et les opérations de maintenance des réacteurs existants, indique Areva dans un communiqué.

Aucun détail financier n'a été dévoilé pour cet accord, qui vient s'ajouter à un partenariat déjà noué entre les deux groupes nucléaires.

La Chine est un des principaux marchés d'avenir pour le nucléaire, désormais tiré essentiellement par les pays émergents.(...)

http://www.romandie.com/news/n/_Areva_signe_un_partenariat_avec_le_groupe_nucleaire_chinois_CNNC031120111711.asp
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(...) nucléaire civil et militaire (...) ! 'militaire' ?... comme au Japon ?
Voilà une nouvelle qui coupe l'herbe sous les pieds de pas mal d'autres !
"Les affaires sont les affaires".

3 novembre 2011 à 20:57  
Blogger huemaurice7 a dit...

NHK : Curium-242 et -244 à blâmer pour la fission nucléaire "spontanée" du réacteur n° 2, pas d'uranium
- Tepco Le 3 novembre -

TEPCO dit jeudi que le xénon-135 détecté au réacteur n° 2 "est le résultat de la fission nucléaire spontanée de curium-242 et -244 radioactifs" « La quantité de xénon-135 détecté presque raccorder le montant qui aurait été produit si le curium radioactif dans le combustible avait subi une fission spontanée ». Regardez ici, les segments vidéo de la NHK Si, en ce qui concerne le 147-fold augmentation Krypton-85 au réacteur, qui est utilisée pour détecter les séparations de plutonium ?

http://enenews.com/nhk-curium-242-244-blame-spontaneous-nuclear-fission-reactor-2-tepco

3 novembre 2011 à 21:03  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le Point.fr - Publié le 03/11/2011 à 17:11 - Modifié le 03/11/2011 à 17:25

Fukushima: jamais sans mon compteur Geiger

À Tokyo, nombreux sont les habitants qui ne sortent plus sans leur dosimètre. Conséquence : ils font parfois d'étranges découvertes.
Au Japon, il y a, ne serait-ce qu'un an, personne ou presque n'en avait. Aujourd'hui, ils sont des milliers à posséder un "gaiga kaunta" (compteur Geiger) et à ne plus s'en séparer. Depuis l'accident de la centrale nucléaire de Fukushima, provoqué le 11 mars par le violent séisme et l'effroyable tsunami qui ont ravagé les côtes nord-est du Japon, nombre de citoyens nippons, apeurés par des informations contradictoires et ne sachant plus à quelle source se fier, se sont dotés d'appareils de mesure de la radioactivité. Le commerce et l'usage de ces dosimètres par les citoyens lambda réservent cependant bien des surprises...
Compteurs menteurs et arnaqueurs
Tapez en japonais "gaiga kaunta" sur les sites internet marchands japonais et vous verrez que vous n'êtes pas le premier à vous renseigner. Une bonne douzaine d'instruments de mesure de radiations sont proposés à des tarifs allant de 16 000 à 100 000 yens (145 à 950 euros). Mais gare à l'arnaque, car l'angoisse nucléaire est pain bénit pour des firmes sans scrupules. Un organisme public de sécurité des consommateurs a vite mis en garde contre les résultats fantaisistes donnés par certains engins vendus en ligne, à la suite de quelque 400 plaintes de clients troublés par les chiffres farfelus affichés par leurs appareils. Neuf équipements ont été passés au crible, dont six de provenance inconnue et trois venant de Chine. Tous ont révélé des résultats différents et totalement hors des clous. Les explications données sur les sites de vente étaient en outre trompeuses, sans compter que certains contrevenaient aux normes de sécurité électrique en vigueur au Japon.
A contrario, l'anxiété des familles a aussi suscité un élan de générosité de la part de quelques entreprises nippones, dont la société S.T. qui a développé spécialement un dosimètre de poche pour particuliers à prix mini. Initialement, le tarif était fixé à près de 16 000 yens (150 euros), mais il a été finalement abaissé à moins de 10 000 yens (95 euros) quelques jours avant la mise en vente. Reste que l'appareil en question, appelé Air Counter, est quasi impossible à trouver, car pour le moment produit en trop petite quantité et réservé en priorité aux commerces de la préfecture de Fukushima. Il s'en trouve bien quelques exemplaires disponibles sur Amazon et d'autres sites, mais... au double du prix officiel !

(suite en dessous):

3 novembre 2011 à 22:11  
Blogger huemaurice7 a dit...

http://www.lepoint.fr/monde/fukushima-jamais-sans-mon-compteur-geiger-03-11-2011-1392293_24.php
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Attention quand même de ne pas employer le mot (marque déposée) de 'Geiger' à toutes finalités. En effet, la vulgarisation de cette référence en matière de radioactivité peut porter à conséquences comme peuvent l'être les marques 'Frigidaire, Mobylette, Caddy, etc'
N'est pas Geiger qui veut et l'étalonnage des compteurs diffère (!!!?) suivant les marques. Donc, s'en tenir à l'officiel plutôt qu'à des articles dangereux de bazars qui semblent profiter de la détresse nippone (et de tous les pays hémisphère nord) pour grapillonner quelques sous-sous.
Ils ont même été à distribuer 'gratuitement' (!) aux écoliers des morceaux de plastique avec ficelle pour s'attacher autour du cou, qui se 'colorent' en cas d'alerte !!

3 novembre 2011 à 22:20  
Blogger huemaurice7 a dit...

JUSTE dans l'acide borique fonctionne apparemment ne pas d'arrêter les réactions en chaîne de fission parce que le xénon est encore d'être détecté -

Tepco dit ceci explique pourquoi ils prétendent fission"spontanée", criticité pas soutenue Xénon Fukushima de désintégration spontanée monde nucléaire News *, 3 novembre 2011 à 10 h 30 He : Extrait

« Tepco dit il, a considéré comme la source du xénon à fission spontanée sur ces motifs qu'il avait injecté de l'acide borique au bâtiment du réacteur pour réduire le risque de réactions de fission de chaîne, mais qu'il était encore capable de détecter le xénon. » World News nucléaires « est pris en charge sur le plan administratif et des conseils techniques par la World Nuclear Association » ; L'UIC "appuyer une industry"(...) nucléaire-mondialisation rapide

http://enenews.com/boric-acid-apparently-working-stop-chain-fission-reactions-because-xenon-being-detected-tepco-reason-claim-spontaneous-fission-sustained-criticality

3 novembre 2011 à 22:32  

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