dimanche 8 janvier 2012

Fukushima ? connaît pas !

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Dès le mois de Mars (à quelques jours après la catastrophe), des journaux (étrangers au pays mais pas à l'affaire) parlaient de la possibilité réelle d'envoyer un missile sur la centrale défaillante afin d'en engloutir le corium au plus profond de la terre. Effectivement, là, il s'agit d'une solution - certes radicale - qui n'aurait pas fait traîner les choses, mais, si cette éventualité n'a pas été retenue c'est qu'elle comportait les risques de voir la ou les nappes phréatiques touchées un peu plus tôt que prévu. Car, d'une façon ou d'une autre, le résultat sera le même: les nappes phréatiques seront contaminées (comme c'est le cas aujourd'hui). Donc, en tradition japonaise 'pour ne pas effrayer le moineau', les 'actualités' îléennes se sont tues. Tues jusqu'à ce que l'internet leur mette 'le nez dans leur caca' et préviennent les habitants du danger arrivé. Suites à quoi, les Autorités... n'ont rien changé quant à la programmation ! (ce que d'autres Gouvernements en ont fait du 'copié/collé'). Les fruits et légumes et les viandes faites à partir de ont continué de se vendre et l'air de se faire respirer comme l'eau de se boire. Puis, les cartes satellites (diffusées sur le net par NILU se sont interrompues !), ce qui laissait à penser que les choses étaient plus graves que prévues, nonobstant les recommandations d'Etat (via TEPCO) que 'rien ne s'était passé' ! Donc, malgré que les internautes prennent a parti la situation qui débordait des frontières et cela tout aussi malgré que la population nippone soit au premier rang, le dramatique 'incident' se poursuivit.

Après quoi, le gestionnaire de la centrale de Fukushima intervint pour annoncer que "l'arrêt à froid" serait exécuté avant la fin de l'année. "L'arrêt à froid" ??!! Bigre ! sont-ils dieu pour intervenir contre les éléments ?? Puis, le commentaire fut rectifié en "en dessous des 100°C", ce qui porterait à croire que pareil à une plaque électrique il suffit de couper le courant !!!

Donc, "l'uranium tiède est arrivé" ! (cherchez pas, c'est nouveau !). De là à tabler sur la pale performance des éoliennes, il n'y a qu'un pas; suffit de la mettre en 'drapeau' les jours de grands vents !

Donc, nous voilà étendu pour le conte que la fée de TEPCO est 'ma sorcière bien aimée'. Re-donc, les population de l'exode sont priées de retourner vaquer à leurs occupations en cette belle ville du bord de mer. Mais là, interviennent (par leurs avocats ?) les becquerels SDF qui cherchent encore leur mère qui les allaitait jusqu'alors. Ainsi, ces 'particules chaudes à déranger le système' (invisibles, voire 'inexistantes' !) vont-elles dans les temps qui viennent refaire parler d'elles en toutes bonnes personnalités demandant le droit d'asile. Ce à quoi - diront-ils - en vues des traités internationaux, qu'ils sont les bienvenus (parait même qu'ils fortifient ce qui ont la chance d'en respirer !) et qu'il n'y a pas à chercher des poux dans la tonsure. Donc, l'affaire est classée. Fukushima ? connaît pas !

4 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Étude : Fukushima a tué au moins 14 000 personnes aux États-Unis, principalement les bébés, dans les semaines suivant la catastrophe.
Samedi 7 janvier 2012


(NaturalNews) Pour la première fois, une étude scientifique publiée dans une revue par les pairs est venue avec une solide estimation du nombre total de décès causés par la catastrophe nucléaire de Fukushima dans les semaines qui suivent. L'épidémiologiste Joseph Mangano, dit qu'au moins 14 000 personnes aux États-Unis ont été tués pendant les 14 semaines suite à la catastrophe de Fukushima, et la plupart de ces décès étaient chez les enfants de moins d'un an.
Publié dans l'International Journal of Health Services, étude du Mangano a examiné les taux de mortalité infantile et adultes pendant le temps où Fukushima a eu lieu, ainsi que dans les derniers mois et années. Pendant 14 semaines avant Fukushima, par exemple, la mortalité infantile avait diminué de 8,37 %, tandis que dans les semaines suivant la catastrophe, elles ont augmenté de 1,8 %. Chez les adultes, un taux de mortalité de 4,46 % a été observé dans les semaines de Fukushima, comparé à 2,34 %, qui est environ la moitié de ce taux, un an avant. « Cette étude de dangers pour la santé Fukushima est le premier à être publié dans un journal scientifique, a déclaré Mangano. « Il soulève des préoccupations et suggère fortement que les études sur la santé continuent de comprendre l'impact réel de Fukushima au Japon et dans le monde entier. Ces conclusions sont importantes pour le débat actuel de savoir si, pour la construction de nouveaux réacteurs et combien de temps pour garder le vieillissement dans l'opération. » Durant les premiers mois lors de la catastrophe de Fukushima était dépliement, NaturalNews signalés sur les pointes de rayonnement dans le lait (), l'eau de pluie () et dans l'alimentation générale, tant aux États-Unis qu'à l'étranger. Bien que des lésions corporelles chez les humains n'était pas forcément évidente à l'époque, il semble maintenant que cette intoxication systémique traduite en des milliers de morts connus et susceptibles de dizaines de milliers de plus de cas de cancer et d'autres maladies. « Basée sur notre recherche permanente, le compte des morts réels ici peut être aussi élevé que 18 000, avec la grippe et la pneumonie, qui ont augmenté de quintupler dans la période en question comme cause de décès, "ajouté Mangano. « Les décès sont vus à travers tous les âges, mais nous continuons à trouver que les bébés sont les plus durement touchés parce que leurs tissus se multiplient rapidement, ils ont peu développé le système immunitaire et les doses de radio-isotopes sont proportionnellement plus élevées que pour les adultes ».

http://www.naturalnews.com/034586_Fukushima_USA_fatalities.html
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9 janvier 2012 à 10:42  
Blogger huemaurice7 a dit...

Il est trop tôt pour enterrer des réacteurs nucléaires. A la tête de Rosatom État énergie atomique Corporation Sergei Kiriyenko. La Russie estime que le nombre de centrales nucléaires dans le monde devrait doubler au cours des 20 prochaines années. Toutefois, il a reconnu que les prévisions de pre-Fukushima pour l'industrie de l'énergie nucléaire ont été beaucoup plus optimistes. La ventilation nucléaire de Fukushima au Japon conduit à des fermetures temporaires de réacteur dans certains pays européens au milieu des appels à renoncer à l'énergie nucléaire au total. Deux mois après Fukushima, la Russie a lancé des tests de stress sur ses installations d'énergie nucléaire. Voici Nikolai Kukharkin, directeur du Centre national de la recherche Institut Kourtchatov : « Toutes nos centrales nucléaires et les réacteurs ont été examinés du point de vue des nouveaux facteurs de risque. Nous avons cela approché très au sérieux, tenant compte de chaque nuance. Les événements de Fukushima nous a incités à examiner plus à fond de nos centrales nucléaires, mais il n'y a aucune question de l'abandon de la centrale nucléaire de la Russie. » Jusqu'à présent, l'Allemagne est le seul pays à opter pour la fermeture complète de toutes ses installations nucléaires. D'autres États membres de l'Union européenne ont promis ne pas de construire de nouveaux réacteurs après l'expiration de la durée de vie de ceux existants. Le spécialiste en investissement Andrei Rubinov pointe vers un ralentissement nucléaire dans le sillage de Fukushima. « Le ralentissement économique est évident. Tout à fait un certain nombre de projets peut-être maintenant être annulé, par exemple en Amérique où les centrales nucléaires peuvent être facilement remplacés par le charbon. » En fait, il y a seulement deux alternatives - le charbon ou le gaz. Ici, il est important de tenir compte de l'impact sur l'environnement. Les centrales à charbon émettent trois fois plus de dioxyde de carbone et produisent deux fois moins d'électricité, par rapport à leurs analogues de gaz. Anatoly Rubinov : « Sauf les centrales hydroélectriques, le gaz semble être la seule alternative et les signes sont qu'il va être utilisé sur une échelle plus large en Amérique et en Europe. Les émissions de gaz à partir de centrales au charbon sont en effet trop lourdes.

(La suite en dessous):

9 janvier 2012 à 10:58  
Blogger huemaurice7 a dit...

De nouvelles technologies de combustion du charbon sans émissions sont actuellement développées, mais elles feront les centrales au charbon beaucoup plus chères. » On parle beaucoup plus récemment du gaz de schiste comme une source d'énergie bon marché. Mais les scientifiques de l'Université Cornell aux États-Unis ont prouvé que les centrales au gaz de schiste seront encore plus dangereuses en raison de grandes quantités de méthane émis par la combustion. Sergei Pikin, directeur de la Fondation de développement énergétique, met en garde contre un commutateur hâtif à la source d'énergie de remplacement : « Les pays qui possèdent des ressources de carburant ou qui ont la possibilité d'importer du combustible pour leurs centrales nucléaires sur une base à long terme sont moins dépendantes des fluctuations de prix de carburant que les pays qui utilisent du gaz ou du charbon. Une transition de masse probablement commencera dans le thermonucléaire. "La consommation mondiale d'électricité est régulièrement à la hausse, les espoirs sont été épinglés sur la sécurité de centrale nucléaire plus élevée et plus large qui utilisent des réacteurs à neutrons rapides qui sont 100 fois plus économes en carburant que leurs analogues existants. Un tel réacteur est à la centrale nucléaire de la Russie Beloyarskaya.

http://english.ruvr.ru/2012/01/08/63526333.html

9 janvier 2012 à 11:07  
Blogger huemaurice7 a dit...

09/01/2012
Fukushima Daini (n°. 2) : une cuve aurait été endommagée par le séisme du 11/3
Source : ex-skf
Crédibilité : 8/10
Date : 8/1

Selon le Pr. Hiromutsi Ino, titulaire d'une chaire émérite de science des métaux à l'université de Tokyo, la cuve PCV d'au moins l'une des unités de production de Fukushima-Daini aurait été endommagée par le séisme du 11 mars. La cuve PCV, encore appelée confinement ou DryWell est la cuve secondaire qui entoure la cuve réacteur RPV.

Une fumée blanche avait été aperçue le 30 mars au niveau de l'unité n°. 1 de FD ; d'après Tepco, l'origine aurait été située sur une pompe du BT (bâtiment turbine) et non dans le BR (bâtiment réacteur).

Le Pr. Ino estime que l'une des cuves PCV serait "brisée". Une discussion est ouverte à ce sujet sur le canal ustream (langue Japonaiss, longue pub ustream au début de chaque vidéo) :

La cuve de confinement PCV d'un réacteur à eau bouillante est l'ultime barrière radiologique isolant le combustible nucléaire de la biosphère ; bien plus fragile que la cuve réacteur RPV car moins épaisse (2 à 6 cm contre 17 cm pour la cuve réacteur), elle vise principalement à isoler de manière la plus étanche possible l'environnement d'éventuels rejets du circuit primaire du réacteur. L'enceinte de confinement est composée de deux parties : une cuve métallique (le drywell 1) qui est entourée d'un confinement en béton (2) qui est appelé pedestal ou basemat dans sa partie inférieure renforcée (3) qui atteint plusieurs mètres d'épaisseur. Les confinements de tupe Mark1 ont été longtemps critiqués pour leur faiblesse relative et leur manque de sécurité. Il était généralement estimé que le confinement de telles unités n'avait que 10% de chances de sortir intact d'une fusion de combustible
Pour la petite histoire il resterait une trentaine d'unités de ce type en service dans le monde dont la majorité aux USA.(...)

http://www.gen4.fr/blog/2012/01/fukushima-daini-n-2-une-cuve-aurait-%C3%A9t%C3%A9-endommag%C3%A9e-par-le-s%C3%A9isme-du-113-1.html#tp

9 janvier 2012 à 11:38  

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