jeudi 19 janvier 2012

Le maire de Namie persiste : les autorités gouvernementales Japonaises ont organisé une "espèce de meurtre"

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19/01/2012

Retour sur une évacuation ratée

Namie, 20.000 habitants, s'étend sur un territoire d'une centaine de km2 au Nord et à l'Ouest de la centrale de Fukushima Daiichi. Namie a été évacuée en 3 étapes : la moitié Sud-Est (zone de 10 km) l'après-midi du 12 mars ; la zone 10-20 km dans la soirée du même jour (19h-23h) puis la partie située au Nord-Ouest (hors-zone des 20 km) le 11 avril 2011. Nous savons maintenant qu'une partie des premiers habitants évacués s'est maladroitement dirigée - à l'aveuglette et en empruntant une zone extrêmement dangereuse - vers une zone bien plus contaminée que celle qu'ils venaient de quitter. Namie et Tomioka ont purement et simplement été "oubliées" par les autorités, leurs habitants ayant dû se débrouiller seuls, ayant parfois à subir de longs embouteillages dans une zone fortement touchée par les retombées du réacteur n°. 1 de Fukushima Daiichi qui était en train de fondre.
Le maire de Namie accuse une nouvelle fois les autorités de "meurtre"

Dans une interview accordée à la chaîne ABC Australie - souvent à la pointe de l'information sur la catastrophe Japonaise - le Maire de Namie, Tamotsu Baba, confirme les propos qu'il avait tenus précédemment dans la presse locale Nippone :

"Du fait que nous n'avions aucune information, nous avons maladroitement fait évacuer les gens vers une zone où la radioactivité était très élevée et je suis en conséquence très inquiet pour la santé de ces personnes... Je ressens de la peine mais également de la colère sur un tel ratage de la part du gouvernement... Ce n'est peut-être pas un langage approprié mais je persiste à penser que l'on peut parler de meurtre... A quoi pensaient-elles [les autorités] quand il s'agissait de se préoccuper de la dignité des gens et à la sauvegarde de leurs existences ? Je pense qu'ils ne réfléchissaient même pas en fait à ces existences."

Les autorités savaient mais c'était le "silence radio"

Il n'y a rien de pire que de se trouver abandonné dans une situation d'urgence. Ou peut-être, d'apprendre par la suite que l'on aurait pu être aidé, conseillé, dirigé mais que ceci n'a pas été fait pour des raisons obscures. L'article d'ABC nous confirme un peu plus loin que les autorités Japonaises connaissaient approximativement l'étendue et la direction du "nuage" radioactif mais qu'elles n'ont pas communiqué ces informations dans la crainte de créer un sentiment de panique dans la population locale. Les autorités Japonaises n'ont prévenu que les autorités militaires des USA au Japon...

Les forces militaires Américaines au Japon prévenues, la population Japonaise ignorée

Itaru Watanabe, responsable de la cartographie initiale au MEXT (Ministère de la Science Japonais) a d'ailleurs reconnu : "Il aurait peut-être fallu [sic] informer le public en même temps que l'armée Américaine". Au fait, pourquoi prévenir les militaires des USA ? Peut-être dans un objectif de coopération dans la gestion de la méga-catastrophe qui s'annonçait, alors que prévenir les citoyens locaux ne pouvait rien apporter de concret, sauf à créer un sentiment de panique... jugé inutile ?

USA, Ukraine, Japon... et en France, que se passerait-il si la même situation survenait demain ?

A chaque accident majeur, les autorités, quelles qu'elles soient, où qu'elles soient, ont le même réflexe : minimiser, désinformer, retarder au maximum le circuit de l'information, ne serait-ce que pour se donner le temps "d'y voir plus clair". Ce n'est pas un réflexe national, c'est une procédure "mondialisée" qui doit probablement figurer officieusement dans quelque document "Eyes only". La question se pose donc de savoir, si un tel accident se produisait demain dans un Centre National de Production Électronucléaire Français - autrement dit une "centrale" - pourquoi diable un circuit honnête et rapide de "traitement de l'information de crise" serait utilisé et pour quel motif ce qui s'est déjà produit en trois occasions - la désinformation organisée au plus haut niveau des états - ne le serait pas une nouvelle fois.

http://www.gen4.fr/blog/2012/01/le-maire-de-namie-persiste-les-autorit%C3%A9s-gouvernementales-japonaises-ont-organis%C3%A9-une-esp%C3%A8ce-de-meurtre.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook&utm_campaign=Feed%3A+Gen4-LeNuclaireBilanEtPerspectives+%28gen4+-+Le+nucl%C3%A9aire%2C+bilan+et+perspectives%29&utm_content=FaceBook

14 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

La demande mondiale de pétrole revue à la baisse
Hydrocarbures

19 janvier 2012 Écrit par marcook

L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a annoncé avoir revu à la baisse pour le cinquième mois consécutif ses prévisions de demande mondiale de pétrole en raison de la crise économique.
D’après l’AIE, la consommation de brut s’élèvera cette année à 90 millions de barils par jour (mbj), soit 0,2 mbj de moins que prévu le mois dernier. La croissance de la demande par rapport à 2011 baissera de 0,2 mbj et ne devrait être que de 1,1 mbj (+1,2%).
Les prévisions de l’agence basée à Paris s’opposent ainsi à celles de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) qui avait pour sa part revu en très légère hausse sa prévision de demande mondiale de brut pour 2012. Néanmoins, les deux organisations arrivent à une estimation similaire, l’OPEP la chiffrant à 88,90 mbj cette année.
« Le marché à deux vitesses va perdurer, avec une croissance relativement forte en provenance des économies non membres de l’OCDE qui fera plus qu’absorber le déclin prévisible dans l’OCDE » annonce l’AIE.
La crise économique européenne est une des principales raisons expliquant cette baisse de la demande dans les pays de l’OCDE. »Des prix du brut élevés, conséquence en partie des tensions avec l’Iran, ont encore contribué à abaisser les perspectives, tout comme un début d’hiver doux dans l’hémisphère Nord », expliquent les auteurs du rapport. « Cette conjonction du ralentissement économique et de prix du brut élevés devrait continuer à freiner la croissance de la demande début 2012. »

http://lenergiedavancer.com/la-demande-mondiale-de-petrole-revue-a-la-baisse/2012/01/19/?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook
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Le prix du pétrole en baisse ? Hahaha !

19 janvier 2012 à 14:18  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le Japon se prépare à se passer de facto d'énergie nucléaire dès cet été

Afp | 19 Janvier 2012 08h18

Le ministre nippon de l'Industrie a reconnu jeudi que le Japon pourrait n'avoir plus aucun réacteur nucléaire en activité cet été à cause des réticences de la population et des autorités locales à accepter le redémarrage des nombreuses unités arrêtées.
Yukio Edano a prévenu dans un entretien accordé à l'agence Dow Jones Newswires qu'il ne pouvait s'engager sur un calendrier pour la réactivation des tranches stoppées.
"Si nous fixions une date pour la relance de réacteurs, cela signifierait que nous tirons par avance des conclusions positives sur la sécurité et, dans ce cas, nous ne pouvons pas obtenir la compréhension du peuple", a-t-il expliqué.
"Nous devons dès lors prendre des dispositions au cas où plus aucune centrale nucléaire ne serait exploitée dans les prochains mois et surtout lors des pics de consommation estivaux", a-t-il ajouté.
Sur le parc japonais de 54 réacteurs, seulement cinq restent encore en activité, mais ils doivent être stoppés d'ici à mai et nul ne sait quand les autres tranches pourront être remises en service.
A la suite du tremblement de terre et du tsunami qui, le 11 mars, ont causé l'accident à la centrale nucléaire Fukushima Daiichi (nord-est), une quinzaine de réacteurs ont été subitement arrêtés dans les centrales du nord-est, puis deux autres tranches présentant des risques à Hamaoka (centre).
Le redémarrage de tous les autres réacteurs stoppés pour une session de maintenance régulière (obligatoire après 13 mois d'exploitation), ou à cause des secousses sismiques, est conditionné à de nouveaux tests de résistance (notamment vis-à-vis des catastrophes naturelles) et à l'approbation des autorités locales, ce qui retarde l'échéancier habituel.
Les compagnies d'électricité, qui appellent la population et les entreprises à réduire leur consommation, sont forcées de remettre en exploitation des centrales thermiques afin de compenser.
Le gouvernement étudie pour sa part des plans d'urgence pour faire face à une éventuelle pénurie de courant.
"Passer l'été sans énergie nucléaire sera extrêmement difficile", a prévenu le ministre, mais il a dans le même temps souligné que les contrôles de sécurité ne pouvaient être accélérés juste pour obtenir leur redémarrage à temps.
La compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), qui exploitait les deux centrales de la préfecture de Fukushima et qui dessert la mégapole de Tokyo, estime pour sa part qu'il est quasi certain qu'aucun de ses réacteurs ne fonctionnera cet été.

http://www.rtl.be/info/economie/monde/850866/le-japon-se-prepare-a-se-passer-de-facto-d-energie-nucleaire-des-cet-ete

19 janvier 2012 à 14:20  
Blogger huemaurice7 a dit...

Combien l’Allemagne va-t-elle payer pour sortir du nucléaire ?

C’est la catastrophe de Fukushima qui avait poussé la chancelière Angela Merkel à décider de se passer de l’atome progressivement.
1700 milliards d’euros d’ici 2030. C’est le prix que devra payer l’Allemagne pour prendre son indépendance face au nucléaire.
Une estimation réalisée par Siemens, qui précise : les investissements visant à compenser l’abandon de l’atome seront à la charge "soit de la clientèle soit du contribuable".
Pour parvenir à ce chiffre, Siemens a pris en compte à la fois le remplacement des centrales nucléaires par d'autres moyens de production, l'aménagement des réseaux ainsi que le démantèlement des installations existantes.
Huit réacteurs sur 17 ont déjà été arrêtés en Allemagne.
C'est la catastrophe de Fukushima au Japon qui avait décidé la chancelière allemande à entamer un retrait progressif du nucléaire.

http://www.atlantico.fr/pepites/combien-allemagne-payer-nucleaire-270387.html

19 janvier 2012 à 14:21  
Blogger huemaurice7 a dit...

Électricité : Pourquoi votre facture va (beaucoup) augmenter

Selon le président de la commission de régulation de l'énergie, le prix de l'électricité devrait bondir dans les années à venir.
Gros temps en vue sur les prix de l'électricité. Selon Philippe Ladoucette, le président de la commission de régulation de l'énergie (CRE), les Français doivent s'attendre à des hausses massives de prix pour les années à venir. Invité d'un colloque mardi, il a averti que l'électricité pourrait augmenter de 30% d'ici 2016 si le cadre de fixation des prix actuel était maintenu. Mercredi, c'est le médiateur national de l'énergie qui est monté au créneau, pour alerter sur une probable hausse rapide des prix dans les années à venir. Selon lui, les investissements massifs à venir dans le parc de production d'électricité français vont faire grimper les dépenses d'EDF, « dont le coût se retrouvera immanquablement dans les factures ».
Plusieurs explications justifient cette hausse. Il y a d'abord le développement des énergies renouvelables. Depuis plusieurs années, le gouvernement met l'accent sur la production d'énergies alternatives. Pour inciter les particuliers et les entreprises à installer des panneaux sur leurs toits, de nombreuses aides et financements ont été mis en place. Or ce système est facturé in fine au consommateur, par le biais de la contribution au service public d'électricité (CSPE) inscrite sur la facture. Selon le médiateur de l'Énergie, cette CSPE représentera en 2012 66 euros en moyenne par consommateur, deux fois plus pour les ménages qui se chauffent à l'électricité. Selon le président de la CRE, la CSPE pourrait connaître une augmentation forte les prochaines années.
L'effet Fukushima
Le prix de l'électricité nucléaire pourrait également connaître une hausse importante dans les années à venir. Pendant longtemps, cette énergie produite à peu de frais a permis de maintenir des prix bas pour les ménages. La catastrophe nucléaire de Fukushima l'an dernier a cependant changé la donne. L'Autorité de sûreté nucléaire a publié dernièrement un rapport sur l'État des centrales françaises, dans lequel elle demande 10 milliards d'euros de travaux supplémentaires pour renforcer leur sécurité.
Enfin, comme la France, EDF a perdu cette semaine son triple A. Ce qui signifie que l'entreprise, qui finance ses investissements en empruntant sur les marchés, devra payer plus pour acquérir la même somme. Un surcoût qui pourrait également être refacturé aux clients.

http://www.francesoir.fr/actualite/economie/electricite-pourquoi-votre-facture-va-augmenter-175678.html?google_editors_picks=true
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D'où viennent les 'aides' sinon... du contribuable qui paie deux fois l'énergie 'gratuite' !

19 janvier 2012 à 14:23  
Blogger huemaurice7 a dit...

Technique : l'endoscopie du n°.2 serait terminée -

mise à jour
D'après le mainichi daily de ce jour, l'opération de visualisation de l'intérieur du confinement de l'unité n°. 2 de Fukushima-Daiichi serait terminée. Nous ignorons à cette heure si cette opération a été couronnée de succès ou non, Tepco semble juste estimer que l'état du combustible ne pourrait peut-être pas être défini par cette expérimentation, ce qui laisse la porte ouverte à toutes les spéculations. L'opérateur estime par contre que ceci en apprendra forcément un peu plus sur les conditions actuelles du "réacteur" [sic].

http://www.gen4.fr/blog/2012/01/technique-lendoscopie-du-n2-serait-termin%C3%A9e-mise-%C3%A0-jour.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook&utm_campaign=Feed%3A+Gen4-LeNuclaireBilanEtPerspectives+%28gen4+-+Le+nucl%C3%A9aire%2C+bilan+et+perspectives%29&utm_content=FaceBook

19 janvier 2012 à 14:25  
Blogger huemaurice7 a dit...

Asahi : Manger plus de rayonnement, ne met pas en danger les personnes — 96 % de Fukushima résidents ont ingéré du césium le 4 décembre et 56 % dans la région de Tokyo-étude

Titre : les gens de Fukushima mangent plus de césium, mais ne sont pas en danger, selon l'étude

Source : AJW par le Asahi Shimbun
Date : 19 janvier 2012

L'apport quotidien médian du césium radioactif de repas consommés par les familles dans la préfecture de Fukushima est 11 fois plus le


SOURCE : Asahi AJW
niveau dans la région de Kanto, près de Tokyo, mais encore bien en deçà des normes de sécurité, selon une étude de.

L'apport médian de trois repas par jour dans la préfecture de Fukushima, foyer de la centrale nucléaire de Fukushima n°1 estropiée, était 4.01 becquerels comparativement à 0,35 becquerel dans la région de Kanto autour de Tokyo, selon l'étude conjointe de l'Asahi Shimbun et ministère de la santé de l'Université de Kyoto et Sciences de l'environnement. [...]

L'Asahi Shimbun et l'Université de Kyoto, a réalisé l'étude sur la base
des échantillons, fournis par des 53 ménages, de tous les éléments de nourriture et de boisson consommées par un membre du ménage, le 4 décembre. [...]

Cependant, il n'existe actuellement aucune frontière nette au-dessous de laquelle effets sur la santé des doses de rayonnement faible aient été exclus par les scientifiques. [...]
Akio Koizumi, professeur à Graduate School of Medicine l'Université de Kyoto qui a réalisé l'étude

•« Même le niveau de césium dans la préfecture de Fukushima est suffisamment faible. »
•« Il a fait pas se pour révéler si élevé que donnent naissance à des inquiétudes au sujet de ses effets sur la santé »
•« La teneur en césium total repas tend à être éclaircis, parce que les ingrédients alimentaires qui circulent dans le marché proviennent d'une variété de régions »
•« Les chiffres les plus récents ne sont pas tellement gros qu'on devrait revoir immédiatement le choix des ingrédients alimentaires »
•« Il est essentiel d'avoir une alimentation équilibrée pour disperser les risques »
Selon le graphique, 25, 26 personnes à Fukushima ingéré césium, 9 des 16 dans Kanto (zone de Tokyo) et 1 de 11 dans l'ouest du Japon.

Le test a regardé seulement 3 repas consommés sur 4 décembre 2011.

Il semble que les familles était au courant de la mise à l'essai avant de préparer leurs repas.

Aucune mention d'autres radionucléides libérés de Fukushima, comme le strontium-89 ou -90

http://enenews.com/asahi-people-eating-more-radiation-but-not-in-danger-96-of-fukushima-residents-ingested-cesium-on-dec-4-56-in-tokyo-area-study

19 janvier 2012 à 14:26  
Blogger huemaurice7 a dit...

Kyodo : L'endoscope caméra pénètre à l'intérieur de Fukushima réacteur no 2 — difficulté de combustible fondu ?

Titre : TEPCO utilise un endoscope à regarder à l'intérieur du réacteur de Fukushima estropié – Mainichi Daily News
Source : Kyodo
Date : 19 janvier 2012

[...] Le résultat de l'enquête de 70 minutes dans le réacteur no 2 devrait être annoncé plus tard dans la journée. Confirmant l'État du combustible fondu est susceptible d'être difficile par le biais de l'enquête, mais l'utilitaire peut être capable de recueillir plus d'informations sur les conditions du réacteur. [...]
L'endoscope industriel, 8,5 millimètres de diamètre, devait avoir été insérée dans les contenants primaires du réacteur à travers un trou situé à environ 2,5 mètres de l'étage du bâtiment abritant le réacteur.
On croit que le carburant à l'intérieur les réacteurs des n° 1 à 3 ont fondu à travers les récipients sous pression et de s'accumuler dans les contenants primaires externes [...]

http://enenews.com/kyodo-camera-endoscope-enters-inside-fukushima-reactor-2-difficulty-finding-melted-fuel

19 janvier 2012 à 14:27  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les sondes creusent profondément dans le désastre de Fukushima
Par Daniel Leussink


TOKYO - au Japon, une demi-douzaine commissions publiques et privées ont été créées afin de déterminer la cause exacte de l'accident à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, y compris la première commission d'enquête indépendante, mises en place par le Parlement dans l'histoire du gouvernement japonais. Cette semaine, il a tenu sa première réunion à Tokyo.

« Nous aimerions travailler avec les gens du Japon pour qu'il soit clairement ce qu'il y à apprendre de l'accident, », a déclaré le chef de commission Kiyoshi Kurokawa au cours d'une conférence de presse tenue dans le Musée parlementaire dans le district de gouvernement Kasumigaseki. « Notre objectif est solidement vérifier ce qui est arrivé dans l'accident ».

La commission vise à établir que les directs et indirects causes de l'effondrement de mars 2011 - la pire accident nucléaire depuis Tchernobyl dans l'ancienne Union soviétique avant - de 25 ans que 100 000 personnes déplacées les gens dans l'ensemble de la préfecture de Fukushima de leurs maisons et conduit à la contamination radioactive de l'air, du sol et mer. La catastrophe a été déclenchée par un séisme sous-marin au tsunami de mars 2011 et subséquentes qui battues les rives du Japon.

La commission sera également étudier l'efficacité des mesures prises en réponse à l'accident et venir avec des suggestions concrètes qui devraient être adoptées pour prévenir les accidents futures centrales nucléaires au Japon sujette aux tremblements de terre.

Un objectif de non-reconnaissance de la commission parlementaire est à définir lui-même Hormis une commission nommée par le gouvernement qui ressemblait ce qui n'a pas fonctionné dans la foulée de l'accident à l'à l'usine, y compris la réponse du Bureau d'urgence du gouvernement. Cette commission a déjà publié un rapport intérimaire de 507-page, publié le mois dernier, pour lequel il a interrogé plus de 400 personnes.

La commission parlementaire s'appuiera sur les efforts de cette commission nommée par le gouvernement pour éviter de doubler votre travail.

Mais il fera également ses propres demandes de matériaux provenant du gouvernement et de la Tokyo Electric Power Company, exploitant de l'usine. « Il y a des obstacles quant à combien capacité d'enquête, la commission a, » dit Kurokawa, un jeune âgé de 75 ans professeur émérite en médecine de l'Université de Tokyo. « Mais malgré cela, nous allons rendre le processus extrêmement utile. »

(Suite au dessous):

19 janvier 2012 à 14:30  
Blogger huemaurice7 a dit...

Il effectuera également ses propres entrevues. « Il y avait les politiciens en faveur d'interroger des témoins sous serment et a demandé si c'est possible au Japon. Aux États-Unis, le président doit faire prêter serment dans le cadre de la constitution de cette nation. Mais y tel un sentiment de valeur au Japon?"a demandé à Kurokawa. « Je ne crois pas que nous serons capables d'introduire un tel système, mais nous ferons de notre mieux avec les contraintes que nous avons. »

Les interviews ne peuvent jamais être communiqués au public pour des raisons de confidentialité. La commission de neuf membres comprend certaines des critiques plus virulents du Japon de l'énergie nucléaire.

Le déménagement au moment où le Japon de plans stimuler les exportations nucléaires civiles. « La raison pourquoi Japon prend ces mesures dangereuses [exportations] est d'acquérir des occasions d'affaires et l'influence diplomatique avec les pays en développement, » a expliqué Yuki Tanabe, un expert du Centre du Japon pour un environnement durable et la société, l'inter Service (IPS) signalés.

Le mois dernier, les projets de loi afin de permettre l'exportation de centrales nucléaires au Vietnam et en Jordanie, dans le cadre de la coopération bilatérale, ont été approuvés par la Commission des affaires étrangères des Chambre des représentants, IPS ajouté. (Voir XXXXXXXXXXXXX, Asia Times Online, 20 janvier 2012.)

Parmi les membres de la commission est Katsuhiko Ishibashi, un expert de sismologie et professeur émérite de l'Université de Kobe qui démissionne de son poste dans un panneau de sécurité nucléaire sous l'aile du ministère du commerce un certain nombre d'années. Il a été crédité pour avoir inventé le terme Genpatsu-Shinsai, un tremblement de terre combiné et catastrophes nucléaires.

Science journaliste et ancien ingénieur Mitsuhiko Tanaka est un autre membre de la commission. Il dit, il a aidé à dissimuler un déficit de fabrication à l'usine de Fukushima sinistrée comme employé dans les années 1970. Il dit également que la plante peut ont été endommagée par le tremblement de terre de magnitude 9.0 avant que les vagues du tsunami assommé son système de refroidissement, déclenchant un triple effondrement.

La commission est pris en charge par un personnel de six de supérieures et inférieures de chambres de la diète, quatre personnes de la Bibliothèque nationale de la diète et environ 50 personnes du secteur privé.

Le résultat de l'enquête est présenté pour les deux chambres de la diète, le Parlement japonais, au milieu de 2012.

Préparation
Diverses autres commissions sont à le œuvre, vérifier les causes exactes de l'accident nucléaire, ce qui reflète une tendance culturelle au Japon sujettes aux catastrophe de faire tout ce que l'on peut éventuellement faire pour éviter les accidents naturels et anthropiques.

(Suite au dessous):

19 janvier 2012 à 14:31  
Blogger huemaurice7 a dit...

Cela inclut un ensemble par l'opérateur d'usine Tepco, l'un du ministère de la Science à la recherche en surveillance des rayonnements et la publication de ses résultats grâce à un système de million dollar appelé SPEEDI et une commission indépendante créée par Yukio Hatoyama, ancien premier ministre.

Hatoyama a envoyé des ondes de choc à travers communauté nucléaire du Japon le mois dernier après l'appel de la nationalisation de l'usine dévastées dans la Nature magazine scientifique britannique. C'est le résultat de le œuvre par l'équipe B, la commission créée par Hatoyama en réponse à l'accident.

L'équipe B a été créé pour fournir un compte rendu de l'accident nucléaire qui est indépendant du gouvernement, Tepco et la surveillance du nucléaire dans le cadre du ministère du commerce, l'Agence de la sécurité nucléaire industrielle. Il a appelé à la création d'un scénario du pire des scénarios pour la centrale nucléaire de sinistrée Fukushima Daiichi.

« Tant que l'usine n'est pas nationalisée, la Tokyo Electric Power Company a le droit de conserver secrets, a déclaré Tomoyuki Taira lors d'une interview avec Asia Times Online de son bureau. L'âgé de 52 ans a d'abord législateur chefs équipe b à terme et co-auteur de l'article de Nature avec Hatoyama.

« Comme un ancien ingénieur, l'idée de 'fail safe' est indispensable pour moi », a-t-il dit. « Avec qui j'entends que même dans l'affaire quelque chose va mal, et un accident fonctionne, tout doit être fait afin de protéger la vie humaine et l'environnement. »

L'équipe B a été formée de nécessité et non comme une critique du gouvernement, dit Taira. Une autre raison était un manque de transparence de la part de Tepco. La compagnie d'électricité retardée de rendre publiques les manuels d'instructions qui ont été utilisées dans la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi au moment de l'accident pendant des mois, d'abord refusant complètement et ensuite manipuler plus noircis.

« Le gouvernement peut limiter la divulgation de renseignements dans le cas où la centrale nucléaire était sous sa juridiction tout comme Tepco ne, mais ensuite Parlement pourrait pression sur le gouvernement en plus difficile de communiquer les renseignements, » dit Taira. « Dans le cas d'un accident grave, je suis opposé au fait que son emplacement reste entre les mains d'une entreprise privée. »

L'équipe B envisage également de publier un rapport sur l'accident nucléaire de cette année.

Un débat sensible
Le débat de quelle façon Japon devrait continuer en s'appuyant sur l'énergie nucléaire est passée à une vitesse supérieure après l'annonce par le gouvernement qu'il repoussera pour une durée de vie de 40 ans sur les centrales nucléaires du Japon, soulignant la sensibilité de la question en jeu.

(Suite au dessous):

19 janvier 2012 à 14:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

L'Asahi Shimbun, une gauche leaning national tous les jours, a critiqué le gouvernement du Parti démocratique du Japon du premier ministre Yoshihiko Noda au pouvoir pour ne pas réduire la dépendance sur le nucléaire assez rapide.

« Définissant une durée de vie juridique de 40 ans pour les centrales nucléaires réduira pas dépendance du Japon à l'énergie atomique assez rapide », le quotidien écrit dans un éditorial, le 7 janvier. « Nous avons demandé à la casse non seulement âgé de réacteurs nucléaires, mais aussi de réacteurs qui sont situés dans des zones qui sont susceptibles d'être touchées par les tsunamis et les grands tremblements de terre. Nous avons soutenu que centrales nucléaires devraient également être fermés s'il est difficile d'élaborer un plan réaliste d'évacuation d'urgence. »

Yomiuri Shimbun a pris un taquet différente de Asahi. Le papier, le plus influent du Japon, a poussé pour l'introduction de l'énergie nucléaire dans les années 1950, lorsque le premier budget du Japon pour la construction d'une centrale nucléaire est affecté. Sa position est contre la révision de la proposition de loi pour limiter la durée de vie des centrales nucléaires.

« Ailleurs dans le monde, il est rare pour un pays, sauf pour les partisans de l'abandon de la production d'énergie nucléaire, de stipuler, par la Loi, la durée de vie d'une centrale nucléaire, » dit le papier. « Pendant ce temps, discussion est toujours en cours au sein du gouvernement à quel genre d'alimentation la nation doit avoir à l'avenir. Il semble trop brusque pour le gouvernement à venir avec une telle politique maintenant ».

Législateur Taira, a déclaré qu'il espérait que la limite de 40 ans proposée sur la durée de vie des centrales accélérerait le déplacement de l'énergie verte, alors qu'en même temps dire que le Japon doit garder un réacteur unique à des fins de recherche. « Cette révision de la Loi est une étape très importante », dit-il.

Taira rapidement ajoutés à plusieurs reprises qu'il n'est pas opposé à la centrale nucléaire de principe, soulignant la sensibilité du débat nucléaire au Japon. « C'est très facile de tenir une pancarte à votre main disant que vous êtes contre l'énergie nucléaire », dit-il. « Certaines personnes sont sont opposés à l'énergie nucléaire à des fins politiques. »

Daniel Leussink est un journaliste néerlandais à Tokyo.

http://www.atimes.com/atimes/Japan/NA20Dh02.html

19 janvier 2012 à 14:32  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima un « blip temporaire » pour le soutien de l'UK 18 Janvier 2012

Soutien à l'énergie nucléaire au Royaume-Uni a renvoyé aux niveaux observés quelques mois avant l'accident de Fukushima au Japon, indique un nouveau sondage d'opinion publique. Un sondage similaire mené en juin 2011 avait montré une baisse significative de soutien suite à l'accident.

Un sondage en face à face de 993 adultes britanniques menée par Ipsos MORI entre 2 et 8 décembre 2011 a montré que 40 % des répondants avaient un avis favorable de l'industrie de l'énergie nucléaire, exactement la même part comme dans une enquête menée en novembre 2010. Cependant, un sondage en juin 2011 - trois mois après l'accident de Fukushima - a montré que le soutien était tombée à seulement 28 %, son plus bas niveau depuis le début des années 1990. Les répondants disant qu'ils avaient un avis défavorable de l'industrie est passé de 17 % en novembre 2010 à 24 % en juin 2011, mais a depuis chuté pour retrouver vers le bas à 19 %. Soutien du public pour le nucléaire nouvelle construction au Royaume-Uni a rebondi après l'accident de Fukushima. Cliquez ici pour agrandir (Image : Ipsos MORI) Ipsos MORI dit ce sentiment antinucléaire après l'accident de mars 2011 "désormais regards comme fluctuer pas plus que temporaire,.", comme l'amélioration de l'année sur l'autre en soutien a repris
Lorsque demandé s'ils pris en charge ou qu'il s'est opposé à la construction de nouvelles centrales nucléaires au Royaume-Uni pour remplacer ceux étant fermé dans les prochaines années, 50 % des personnes interrogées approbation exprimée - un niveau encore supérieur à celui constaté qu'avant l'accident japonais, avec 47 % montrant l'approbation en novembre 2010. Soutien pour la construction de nouveaux réacteurs avait chuté à 36 % en juin. Tandis que l'opposition à la construction de nouvelles centrales a atteint 28 % en juin, elle a maintenant retombés à 20 %, seulement légèrement jusqu'à 19 % en novembre 2010. « Global net soutien pour la nouvelle construction est maintenant supérieur à celui de novembre 2010 », a souligné Ipsos MORI.
Le soutien à nucléaire chez les hommes britanniques reste beaucoup plus élevée chez les hommes que chez les femmes, avec 55 % des hommes maintenant en faveur de l'industrie, comparé à seulement 26 % des femmes, presque le même niveau de soutien chez les deux sexes avant de Fukushima. En juin 2011, soutien chez les hommes est tombé à 42 %, tandis que seulement 16 % des femmes approuvé de l'industrie. De même, soutien pour la construction de centrales nucléaires de remplacement est plus élevée chez les hommes, avec 62 % maintenant dans l'approbation, tandis que 39 % des femmes soutiendrait le déménagement.
Ipsos MORI a déjà mené UK sondages d'opinion publique sur l'énergie nucléaire au nom de l'Association de l'industrie nucléaire (NIA). Cependant, la dernière enquête a été menée par la compagnie à ses propres frais, mais il a utilisé la même méthodologie des enquêtes pour le NIA.

http://www.world-nuclear-news.org/NP-Fukushima_a_temporary_blip_for_UK_support-1801124.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook

19 janvier 2012 à 14:34  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le "nein" allemand au nucléaire dope les exportations françaises d'électrons

La France est redevenue en 2011 exportatrice nette d'électricité vis-à-vis de l'Allemagne, profitant ainsi à plein de la sortie du nucléaire décrétée Outre-Rhin après la catastrophe de Fukushima, selon le bilan annuel publié jeudi par le gestionnaire de réseau RTE.
"L'arrêt de sept réacteurs nucléaires allemands a fait passer le solde des échanges entre la France et l'Allemagne d'importateur à exportateur", a souligné dans son "bilan électrique 2011" RTE, filiale d'EDF qui gère le réseau d'électricité haute tension français, et supervise à ce titre les échanges transfrontaliers d'électrons.
Dans le détail, la France a exporté 10,8 térawattheures (TWh) vers son voisin, et en a importé 8,4, soit un bilan positif de 2,4 TWh. Et, tous pays confondus, le solde net des échanges d'électricité de la France a presque doublé, à +55,7 TWh, retrouvant ainsi son niveau de 2007.
Habituellement, "on a tendance à être importateur avec l'Allemagne durant l'hiver et en demi-saison, et exportateur durant l'été, mais l'an dernier, on a eu un solde exportateur d'avril à septembre", a expliqué le président de RTE Dominique Maillard au cours d'une conférence de presse.
Deux grands facteurs expliquent, selon lui, ce changement de tendance : d'une part, "la disponibilité pour exporter était moindre Outre-Rhin", et d'autre part, à "l'écart de prix entre l'Allemagne et la France" s'est inversé en cours d'année.
Des phénomènes directement imputables à la décision prise par le gouvernement allemand après la catastrophe nucléaire de Fukushima au Japon. L'Allemagne a immédiatement mis à l'arret ses 8 plus vieux réacteurs nucléaires (dont un ne fonctionnait déjà plus), et a choisi de condamner les 9 autres d'ici la fin 2022.
Résultat, la capacité de production d'énergie allemande, et donc sa capacité exportatrice, a été amputée, mais cela a aussi joué sur le différentiel entre les prix de l'électricité de part et d'autre du Rhin.

(suite en dessous):

19 janvier 2012 à 17:00  
Blogger huemaurice7 a dit...

Selon RTE, le prix au comptant de l'électricité allemande est devenu supérieur au prix français dès le 15 mars, date du moratoire qui a conduit à l'arret des réacteurs allemands les plus vieux, tandis que l'écart sur le marché à terme s'est progressivement inversé en faveur de la France à partir de la décision finale de sortie du nucléaire, annoncée le 30 mai.
Difficile pour l'instant de dire combien cela a pu rapporter à EDF, RTE ne mesurant que les flux d'électrons transitant par son réseau, et non les prix auxquels ils s'échangent.
Interrogé par l'AFP, EDF n'a pas fait de commentaires sur cette question. Mais on pourrait en avoir une idée à la mi-février, lorsque l'opérateur historique présentera ses résultats annuels.
Cependant, les échanges d'énergie avec l'Allemagne ne sont pas en sens unique. Celle-ci a continué d'exporter de l'électricité vers la France en saison froide, bien qu'à une échelle moins importante qu'en 2010. Il s'agit en grande partie d'électricité d'origine renouvelable.
Si elle a été pénalisée par la décision gouvernementale de sortir du nucléaire, la production d'électricité allemande conserve en effet un atout par rapport à la France : les nombreuses fermes éoliennes et autres centrales solaires photovoltaïques installées Outre-Rhin produisent à certaines périodes une énergie abondante, que l'Allemagne peut exporter notamment durant l'hiver, lorsque la consommation d'énergie des Français est à son maximum.

http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/p-1911-redir.htm?&rub=7&xml=newsmlmmd.1b441fc566c38994b9366198e6e87364.901.xml
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"Difficile pour l'instant de dire combien cela a pu rapporter à EDF" !!?
Quand il faut des sous pour EDF, le montant est affiché. Quand EDF gagne des sous... 'on sait pas combien' !!

19 janvier 2012 à 17:00  

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