jeudi 23 février 2012

Blog du jeudi 23 Fèvrier 2012

11 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Blog du jeudi 23 Fèvrier 2012

Ce qu'il fallait dire sur Fukushima

Rappel des faits presque 1 an après: Les centrales nucléaire de Fukushima ont subi le 11 Mars 2011 un tremblement de terre de magnitude 9 et un raz de marée ('tsunami' en japonais), sans que ni l'un ni l'autre n'endommagent les bâtiments. Mais, par cette vérité vérifiable par tous, je ne veux pas là faire croire qu'il ne s'est rien passé. Explications sur des faits tout-à-fait anodins (!): Le tremblement de terre et le ras de marée du 11 Mars n'ont fait que de déplacer les tuyauteries d'alimentation en eau entre la mer (où elle pompée) et la centrale où elle est désalinisée. C'est-tout !
Donc, cette rupture d'alimentation en eau a fait que des barres d'uranium privées tout-à-coup de cet élément indispensable ont chauffé l'intérieur des réacteurs en fondant au fond et, production alors d'hydrogène qui a explosé. D'où l'éventration des réacteurs visible sur toutes les photos.
Donc, en définitive, ce ne sont pas les centrales qui sont dangereuses et qui doivent être renforcées à coups de milliards crachés par les contribuables non instructionnés mais seulement quelques kilomètres de tuyaux en PVC à remplacer !
D'où les grands discours par tous les cons du monde sur les mesures de sécurité qui doivent être prises non pas sur les tuyauteries rigides qui se brisent (ils n'en ont jamais parlé !!), mais sur le matelas d'or fin qu'ils entendent se gonfler au plus vite avant de prendre la poudre d'escampette en 2012 vers les paradis fiscaux où seuls pays qui vivent en paix et hors crise.

23 février 2012 à 11:40  
Blogger huemaurice7 a dit...

TOUJOURS AUCUNE POSSIBILITE DE PUBLIER DES BLOGS SUR BLOGGER !!

CE PROBLEME SURVENU A BLOGSPOT DURE DEPUIS LUNDI SANS QU'UN AVANCEMENT SOIT CONSTATE.

23 février 2012 à 11:45  
Blogger huemaurice7 a dit...

L’avenir radieux de l'efficacité énergétique

Publié le 23/02/2012 | 07h22

Après Fukushima et les débats sur le nucléaire, l’économie d’énergie, la consommation raisonnée sont des thèmes à la mode. Si bien que les industriels se sont saisis de ces sujets.
Ce qu'il faut retenir
> En 2050, la consommation d'énergie mondiale va doubler
> Efficacité énergétique : un marché de 70 milliards d'euros en 2012
> Le secteur devrait créer 400 000 emplois en France
Moins d'un an après l'accident de Fukushima, le Japon a réussi ce tour de force : diminuer de 15 % sa consommation globale d'électricité. Les Japonais ont simplement changé leurs habitudes de consommation. La France s'est elle aussi engagée dans un processus d'économies d'énergie, sans pour l'instant l'ériger en "cause nationale". Les industriels ont quant à eux pris une longueur d'avance.

22 % du chiffre d’affaires global de Legrand

D'ici 2050, la demande mondiale d'énergie va doubler. Dans le même temps, les émissions de CO2 devront être divisées par 2. Seule réponse à ce dilemme : gagner en efficacité énergétique. Aujourd'hui, la chasse au gaspillage s'est imposée comme un segment essentiel de l'activité des grands équipementiers. En 2011, ce marché représentait 22 % du chiffre d’affaires global de Legrand, qui y consacre aussi une large part de son budget en recherche et développement.

Sans concurrencer l'émergence de la filière renouvelable, qui travaille aussi à plus d'efficacité énergétique, les industriels sont partis du constat que la première des énergies propres est celle qu'on ne consomme pas. En y voyant aussi évidemment un intérêt économique : selon l'agence de l'environnement et de la maitrise de l'énergie, le marché de l'efficacité énergétique va générer cette année plus de 70 milliards d'euros de chiffre d’affaires en France.

http://www.bfmbusiness.com/toute-linfo-eco/energie/l%E2%80%99avenir-radieux-de-lefficacit%C3%A9-%C3%A9nerg%C3%A9tique-134998

23 février 2012 à 11:47  
Blogger huemaurice7 a dit...

"La sûreté nucléaire à la lumière des événements de Fukushima"

Devenue une priorité nationale pour tous les acteurs du secteur, la sûreté nucléaire consiste à prendre en compte tous les risques potentiels d'une installation nucléaire et à mettre en place des dispositions permettant de faire face à chacun de ces risques.

Les cycles de développement de l'industrie nucléaire restent relativement longs. Le Commissariat à l'Energie Atomique (CEA) étudie les éléments techniques de sûreté dans les réacteurs nucléaires, en soutien aux autorités de sûreté et aux industriels.

Il explique que la mise en place dès maintenant de programmes de R&D permettront d'alimenter les études de conception de réacteur pour les prochaines décennies.

Aussi, la R&D sur les accidents graves de réacteur a pour objectifs principaux la compréhension des phénomènes physiques et la réduction des incertitudes, la modélisation prédictive fiable pour les applications aux réacteurs à eau légère. Les perspectives à moyen terme portent sur les « agressions » externes, telles que le séisme, et les mécanismes et dispositifs pour arrêter la progression de l'accident et limiter les rejets radioactifs.

Les programmes du CEA couvrent deux grands volets : le comportement des structures soumises à un séisme et le comportement des réacteurs en cas d'accidents graves.

Comportement des structures en cas de séisme :
La compréhension et la simulation de la réponse des structures en cas de séisme relèvent du domaine de la prévention des accidents. La quantification des marges est un point essentiel de la démonstration de robustesse des installations et de l'amélioration de l'appréciation de leur sûreté.

Ce champ de R&D s'appuie sur une démarche expérimentale et sur la simulation numérique. La dimension expérimentale, indispensable pour valider les modèles et faire progresser les connaissances, utilise notamment les installations du CEA situées à Saclay : la plateforme Tamaris.

Les limitations des capacités expérimentales existantes demandent à être dépassées.
Plusieurs besoins expérimentaux sont aujourd'hui identifiés, au-delà des capacités des moyens actuels : l'expérimentation sur des maquettes de grandes dimensions (avec des essais en sous-structuration), la simulation de grands déplacements et de fortes accélérations et, enfin, l'expérimentation sur maquette « multi-supportée », en couplant plusieurs tables vibrantes. C'est l'objectif du projet Extam actuellement au stade d'études préliminaires.

(suite en dessous):

23 février 2012 à 14:04  
Blogger huemaurice7 a dit...

Comportement des réacteurs en cas d'accident grave (avec fusion du cœur) :

Les événements de Fukushima sont typiquement des « accidents graves avec fusion du cœur », un domaine technique qui va bien au-delà de la formation d'un « corium » (1), et déjà très riche de connaissances et d'enseignements.

Un accident résulterait d'un cumul de défaillances d'une installation (perte de sources électriques, perte de sources froides), à l'image de ce qui s'est produit à Fukushima. L'enjeu des recherches est d'en évaluer et d'en maîtriser les conséquences. L'évaluation du risque de perte de confinement (2) consécutif à la fusion totale ou partielle du cœur du réacteur, ainsi que de qualifier les dispositifs de prévention et de mitigation (ou atténuation des effets).

Le scénario d'un accident grave avec fusion du cœur comporte plusieurs phases, avec des domaines de R&D spécifiques :

• la dégradation du cœur en cuve : la production d'hydrogène et la sauvegarde de l'enceinte, la formation de débris et du bain de corium (combustible et matériaux de structure fondus) et leur progression en cuve ;
• le relâchement et le transport des produits de fission (3);
• le percement de la cuve : il convient alors d'étudier la progression du corium hors cuve, l'interaction du corium avec le béton et avec l'eau.

La production d'hydrogène en cas d'accident grave est une spécificité des réacteurs à eau. En effet, le gainage du combustible (enveloppe métallique de l'oxyde d'uranium et des produits de fission) est réalisé en alliage de zirconium. L'oxydation du zirconium par la vapeur d'eau produit de l'hydrogène et s'accélère à la température de 1 500°C.
L'hydrogène relâché dans l'enceinte de confinement (via une brèche du circuit primaire 4) et mélangé à l'air est inflammable si sa proportion est comprise entre 4% et 75% en volume. Face au risque d'explosion et de défaillance de l'enceinte, des recombineurs catalytiques d'hydrogène sont disposés dans l'enceinte des réacteurs à eau pressurisée, réduisant significativement le risque lié à une combustion. Ce domaine nécessite toutefois une R&D sur le long terme pour mieux connaître la distribution de l'hydrogène (répartition et stratification dans l'enceinte de confinement). Il s'agit d'un enjeu majeur face à l'inflammabilité de l'hydrogène, afin de prévenir tout risque de combustion, de déflagration et, dans les cas extrêmes, de détonation risquant d'affecter l'enceinte de confinement.

En cas de rupture ou de fusion des gaines combustibles, une partie de la radioactivité contenue dans le cœur du réacteur est susceptible d'être transférée dans l'enceinte de confinement, voire dans l'environnement. L'étude du relâchement et du transport des produits de fission, en cas d'accident, est très importante pour évaluer les risques de rejets radioactifs, ou pour caractériser la situation par une confrontation de la simulation et des mesures.

(suites en dessous):

23 février 2012 à 14:05  
Blogger huemaurice7 a dit...

Les études menées jusqu'à présent ont permis d'acquérir une bonne connaissance du comportement des différentes familles de produit de fission selon leur volatilité pour les combustibles actuels à l'oxyde d'uranium. L'un des objectifs est d'acquérir la même connaissance expérimentale pour les combustibles MOX.

Enfin, le comportement du corium met en jeu des phénomènes complexes.

Son exploration nécessite des installations expérimentales telles que celles du CEA à Cadarache (plateforme Plinius). L'étude de l'interaction du corium avec l'eau dans la cuve et le puits de cuve est importante pour prévenir les risques d'explosion vapeur affectant l'intégrité de l'enceinte de confinement. On étudie aussi l'interaction du corium avec le béton du radier (5), en cas de percement de la cuve. Ces phénomènes physiques demandent toujours à être explorés plus profondément. L'enjeu de ces recherches est de garantir le non-percement de la cuve ou du radier, ce qui constituerait une perte de l'intégrité de la 2e ou de la 3e barrière de confinement.

La plateforme PLINIUS
(Platform for Improvements in Nuclear Industry and Utility Safety)

PLINIUS est la seule plateforme expérimentale européenne consacrée à l'étude des accidents graves utilisant de grandes masses de corium « prototypiques » (mélanges fondus à hautes températures contenant des oxydes d'uranium appauvris, caractéristiques du mélange fondu qui pourrait surgir pendant des hypothétiques accidents graves).

Cette plate-forme expérimentale implantée au CEA Cadarache est constituée de quatre installations :

VULCANO est une installation constituée d'un four dans lequel 50 à 100 kilogrammes de corium peuvent être fondus. Le corium fondu est versé à l'intérieur d'une section d'essai (soit sur une section d'essai d'étalement, soit dans un creuset) instrumentée spécifiquement.

(suite en dessous):

23 février 2012 à 14:06  
Blogger huemaurice7 a dit...

KROTOS est une installation dédiée à l'étude des interactions entre le combustible et le fluide réfrigérant (explosions de vapeur) afin de valider des codes de calcul. Le transfert thermique entre le combustible fondu et l'eau est si intense et rapide que le temps de transfert thermique est plus court que le temps nécessaire à la décompression, avec pour conséquence la formation d'une onde choc. Cette onde de choc s'intensifie en fonction de la quantité de mélange et de la diminution des temps de transfert d'énergie. Dans l'installation KROTOS, 4,5 kgs de corium ou 1kg d'alumine peuvent être fondus et versés dans une section d'essai remplie d'eau. Les phases de prémélange et d'explosion peuvent ainsi être étudiées. Dans les deux cas les explosions se sont produites spontanément et ont pu être observées dans KROTOS.

COLIMA est une installation dans laquelle quelques kilogrammes de corium peuvent être fondus par chauffage à induction (150 kWe disponibles). Le creuset est installé dans une enceinte de 1,5 m3. Ses murs sont à température contrôlée jusqu' à 160°C. Ce dispositif permet la simulation d'un accident grave et ses conséquences sur l'atmosphère dans l'enceinte du réacteur (air + vapeur, 5 bars-150°C) ou d'atmosphères réductrices.

VITI est une installation haute température destinée à étudier les propriétés des matériaux, principalement leur viscosité et leur tension superficielle. L'installation permet l'utilisation d'uranium appauvri contenu dans du corium. Le chauffage par induction autorise un chauffage sans contact et la mesure de l'échantillon.


1 Corium : cœur du réacteur en fusion/fondu. Le corium est un magma complexe hautement
radioactif, composé principalement d'oxyde d'uranium, de produits de fission, de zirconium (gaines
du combustible) et d'acier (éléments internes de la cuve).

2 Le confinement est le dispositif de protection destiné à contenir les produits radioactifs à l'intérieur d'un périmètre déterminé fermé.

3 Produits de fission : produits issus de la fission des atomes d'uranium et de plutonium : césium, strontium, iode, xénon…

4 Le circuit primaire est le circuit fermé dans lequel circule un fluide caloporteur (de l'eau sous
pression pour un REP) afin d'extraire la chaleur du cœur du réacteur. Cette chaleur est ensuite
transmise à un autre circuit, le circuit secondaire, pour produire de la vapeur puis de l'électricité.

http://www.enerzine.com/2/13530+la-surete-nucleaire-a-la-lumiere-des-evenements-de-fukushima+.html

23 février 2012 à 14:08  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima a changé le regard des Belges sur le nucléaire

Cinquante-huit pour cent des Belges sont favorables au maintien du nucléaire en Belgique, selon un sondage réalisé en décembre dernier pour le compte du Forum nucléaire, une plate-forme rassemblant les principaux acteurs de l'industrie nucléaire. Avant la catastrophe de Fukushima, ils étaient 62% à prôner le maintien de cette forme d'énergie.

Quelle alternative?
Les événements survenus au Japon le 11 mars dernier semblent avoir plus marqué les francophones puisque 49% d'entre eux sont aujourd'hui opposés au maintien du nucléaire, contre 39% lors de l'enquête 2010. Près de deux tiers des francophones estiment que la part d'énergie nucléaire doit diminuer (52% en 2010).

Par ailleurs, sept Belges sur dix sont conscients qu'il est difficile de trouver un remplaçant adéquat à l'énergie nucléaire. La première forme d'énergie de substitution avancée est l'éolien (42%) devant l'énergie solaire (19%).

Interrogés sur les inconvénients du nucléaire, 42% des répondants retiennent avant tout le risque d'accident, le risque d'explosion recevant 38% des suffrages.

Polluant, le nucléaire?
Par rapport à 2010, les Belges avancent plus facilement le nucléaire (30%) comme une énergie polluante, du même ordre que le charbon (32%) mais encore en deçà du pétrole (41%). "Etonnant alors que la production d'énergie nucléaire n'émet pas de CO2", commente-t-on au Forum nucléaire.

"Pour des éléments plus rationnels, l'attitude des gens vis-à-vis du nucléaire change", relève Jan Drijvers responsable études chez TNS Media, auteur de l'enquête. Le caractère inépuisable de l'énergie nucléaire et des prix moins chers sont les premiers avantages cités pour cette forme d'énergie.

Méconnaissance du sujet
Quant à l'information sur le nucléaire, le public est, dans l'ensemble, un peu moins mal informé qu'en 2010 (63% de peu ou mal informés en 2011 contre 67% en 2010) mais "le déficit de l'information" est toujours plus important chez les francophones (73%) que chez les néerlandophones (55%).

Le sondage a été réalisé par téléphone auprès de 1.006 Belges âgés de 15 ans au moins.

(belga/acx)
23/02/12 13h00

http://www.7sur7.be/7s7/fr/2765/Environnement/article/detail/1398850/2012/02/23/Fukushima-a-change-le-regard-des-Belges-sur-le-nucleaire.dhtml

23 février 2012 à 14:14  
Blogger huemaurice7 a dit...

L'Asie nucléaire se cherche un avenir après Fukushima

Article publié le 23 février 2012

En Malaisie, la conférence internationale "Nuclear Power Asia" se prépare à accueillir des centaines d’experts venus du monde entier pour réfléchir à l’avenir du nucléaire dans la région. Durant deux jours, les 31 janvier et 1er février prochains, conférences et ateliers vont se succéder pour penser l’après-Fukushima.

L'Asie reste pour la plupart des acteurs mondiaux un marché potentiel majeur du fait de la croissance de ses besoins énergétiques, y compris au-delà des puissances nucléaires installées : hors Chine, Corée et Japon, une quinzaine de réacteurs sont en effet en cours de production.

Au-delà des controverses idéologiques, la question centrale est bien celle de la formation des personnels intervenants dans la production de cette énergie nucléaire, tant il s'avère qu'un certain nombre de défaillances humaines est à l'origine du désastre au Japon. C'est un français, Claude Guet, Directeur pour les Affaires Internationales de l'I2EN (Institut International de l'Énergie Nucléaire), qui animera l’atelier sur les meilleures pratiques dans l'enseignement et la formation pour l'industrie nucléaire. Considérant que de fait, un certain nombre de pays émergents engagent leur propre programme d’énergie nucléaire, la France, qui produit environ 75 % de son électricité par ce biais, propose des formations profitant des dernières avancées scientifiques et du retour d'expérience industrielle. Parallèlement à l'exportation de technologies nucléaires proprement dites, une offre large en matière de formation en liaison directe avec les acteurs de la recherche et de l'industrie constitue certainement un des meilleurs leviers pour accompagner l'Asie dans la gestion de l'après-Fukushima..

J. Yster

http://www.naturavox.fr/energies/article/l-asie-nucleaire-se-cherche-un
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"tant il s'avère qu'un certain nombre de défaillances humaines est à l'origine du désastre au Japon."
Ah ! On approche ! Avant, c'était le 'tsunami et autres tremblements', maintenant ce serait 'un certain nombre de défaillances humaines' !
" la formation des personnels intervenants"
Visent-ils par ces mots l'empereur sur son trône ?

23 février 2012 à 15:07  
Blogger huemaurice7 a dit...

Le Koweit abandonne son programme nucléaire après les retombées de Fukushima

Le Koweït a abandonné son programme nucléaire cette semaine sur le dos de la catastrophe de Fukushima l'an dernier, selon les médias.
Les fonctionnaires d'un corps koweïtien de recherche du gouvernement a déclaré au Times que le Japon avait mis au rebut Etat du Golfe de ses plans pour construire quatre réacteurs nucléaires d'ici à 2022, suite à la crise au Japon en Mars dernier.
Le pays a annoncé son intention d'investir dans l'énergie nucléaire dès 2009 dans le but de préserver son pétrole, a également signé des accords avec les États-Unis, la France et la Russie pour renforcer la coopération dans l'énergie atomique.
En Septembre 2010, du Koweït Comité national de l'énergie nucléaire a déclaré à Reuters, il a été l'examen des options pour quatre réacteurs planifiés de 1000 mégawatts, et permettrait de dégager une «feuille de route" pour développer l'énergie atomique en Janvier 2011.
Toutefois, en Juillet, l'an dernier, seulement quatre mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima 1 qui est venue après le 11 Mars séisme et le tsunami, l'émir Sabah Al Ahmed Al Sabah a ordonné que le comité sera dissous.
Les fonctionnaires ont déclaré que la catastrophe du Japon avait suscité des préoccupations quant à la nécessité pour les réacteurs au Koweït, et des questions au sujet de l'emplacement de stockage des déchets radioactifs.
Le Koweït est l'un des plusieurs pays du Moyen-Orient qui, auparavant, a annoncé ses intentions de poursuivre un programme nucléaire, dans l'espoir de mieux répondre aux besoins énergétiques et la flambée de protéger la région de ses réserves de pétrole existantes.
Les Émirats arabes unis, dont les plans ont été surnommé «l'étalon-or", est en train de construire quatre réacteurs nucléaires dans une région éloignée en dehors d'Abu Dhabi, avec le premier devrait avoir terminé en 2017. Il sera le premier pays arabe à développer une telle usine.
L'Arabie Saoudite, la Jordanie et le Qatar ont également exprimé leur intention de devenir une puissance nucléaire, avec les deux anciens pays devraient faire des progrès rapidement.
Les analystes estiment que d'autres pays du Golfe sont peu susceptibles d'être influencés par la décision du Koweït d'abandonner ses plans, étant donné la gamme des attitudes envers le nucléaire dans la région.
"Il en a été de l'annonce y a quelques mois en arrière que le Koweït a été de repenser ses plans nucléaires", a déclaré, basé à Dubaï énergie analyste Robin Mills. "Mais je ne voudrais pas tirer des implications plus larges dans la politique nucléaire du Golfe. Le programme des EAU va de l'avant, et semble être sur le calendrier, la construction a commencé.
"Ensuite, vous avez l'Arabie saoudite et la Jordanie, qui sont assez loin derrière, mais aussi fait beaucoup d'engagement dans leurs programmes nucléaires. Si quoi que ce soit, la poussée sur l'énergie nucléaire Arabie n'a cessé d'augmenter. "
Lec Koweït n'est pas le premier pays à se détourner du nucléaire. D'autres, comme l'Allemagne, la Suisse et l'Italie, ont également décidé d'abandonner leurs plans pour l'énergie atomique pour la sécurité et des raisons éthiques.

http://www.arabianbusiness.com/kuwait-abandons-nuclear-programme-after-fukushima-fallout-446709.html
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Manquerait-il de tuyaux ?

23 février 2012 à 15:26  
Blogger huemaurice7 a dit...

Au Royaume-Uni les caméras espion représentent 1% de la dette nationale encore ne parviennent-ils pas à arrêter le crime

Posté par Alexander Higgins - 22 Février 2012 à 2:11 am

Le coût du Royaume-Uni télévision en circuit fermé du système, utilisé pour espionner les citoyens, ne parvient pas à prévenir le crime, malgré l'exécution d'un étiquette de prix de 1% de la dette nationale
Un rapport d'enquête révèle que le système britannique caméra espion a explosé bien au-delà des estimations précédemment fournies par les données du gouvernement.
Un examen des données nouvellement publiées, obtenu par la Veille Frère organisation Big jeter une demande d'accès acte de l'information, révèle que les caméras de près de 50% de plus ont été installés à la police étaient en place l'an dernier.
L'année dernière, la police a déclaré il n'y avait que près de 30.000 caméras en place avec le décompte officiel signalent maintenant il y a plus de 51.600 caméras mises en place.
Le prix total pour l'installation des caméras de vidéosurveillance pour seulement les 4 dernières années a atteint plus de £ 500 000 000 Royaume-Uni, qui s'élève à près de 800 millions de dollars, un montant qui équivaut à 1% de la dette nationale.
Peut-être même plus choquant, c'est le prix à payer pour les caméras, avec les conseils payer jusqu'à £ 63,447.49 (75.000€) au Royaume-Uni par caméra, ou plus de dollars $ 100,000 par caméra.(...)

http://blog.alexanderhiggins.com/2012/02/22/uk-spy-cameras-run-1-national-debt-fail-stop-crime-85851/
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C'est pas vous qui vouliez vous acheter une caméra l'autre jour ? Hahaha !

23 février 2012 à 16:08  

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