"L'union fait la force" ?

"L'union fait la force" ? La force développée par l'union de quoi que se soit est réelle, encore, faut-il savoir s'en servir. Si des millions de personnes ont des idées, cela représente un atout, encore faut-il écouter les autres et les comprendre; c'est-à-dire savoir au moins gérer son propre cerveau avant de parler de s'occuper de celui des autres.Ainsi et historiquement, les suites aux élections d'un candidat au poste suprême de l'Etat ont presque toujours été suivies de faits contraires à la bonne marche à suivre et présentant la particularité d'indépendance au regard des autres citoyens et cette volonté de masquer la véritable situation négative du quotient intellectuel du chef. D'où les solutions que tout immenses pays peuplés se doivent d'accorder la qualification de doute quant à maintenir une situation d'ensemble homogène sans en fédérer les responsabilités.

Que le chef de l'Etat se limite a faire de la prose comme monsieur Jourdain est une très bonne chose tant qu'elle n'empiète sur la liberté de chacun à jargonner comme bon lui semble. Mais, (car 'heureusement' il y a un 'mais') plus l'entreprise est grande plus il est complexe de la diriger, d'où la solution de l'aide-de-camp. Or, la nomination de cadres dynamiques autant que faire se peut, repose aussi à élargir ses connaissances et en demandant à ses esclaves de rapporter les meilleures découvertes qu'ils pourraient faire dans leurs démarches de fonctionnaires.

Ainsi, chacun à son tour ne trouvant de réponse à (par exemple:) un 'état de crise', nommera autour de lui toute une horde de cons sensés le servir et lui porter secours.

Ainsi, tous ces cons fraîchement décorés aux postes chéris de l'Etat veilleront en premier lieu a ne pas soulever d'idée personnelle quand à la gestion du service public et se conteront donc d'astiquer les pompes du Président bien aimé dont le portrait 'plus vrai que nature' est accroché au bureau.
Chaque jour c'est un peu de liberté en moins, de fédération en moins et de liberté d'entreprendre qui disparaissent sous des tonnes de paperasse bureaucratique. Tout est dans la gestion des comptes et de leur transparence.
L'effondrement du prix du lait comme de celui du Champagne suit les dérapages répétés en matière d'organisation. La hausse du prix des céréales (semences) ajoutée à celle de l'inflation du prix des engrais font que les revenus agricoles sont à la baisse et donc ne génèrent que moins de TVA ce qui fait un manque pour l'Etat au profit d'entreprises multinationales de l'agro-alimentaire et de la grande distribution qui ne réduisent leurs marges.
Situations à couteaux tirés qui conduisent à la disparition des agriculteurs (faute de renouvellement et reprises d'exploitations) qui ne peuvent qu'en résulter au développement de grandes surfaces agricoles par des devenus fonctionnaires de type kolkhoze chers à l'ex URSS.
Ce qui fait donc un copié/collé de la grande pagaille des couloirs de bureaux et l'extension des incompétences. Bientôt les paysans a 35 heures par semaine !

La suite... nous la connaissons tous.

http://www.msnbc.msn.com/id/34608378/ns/business-consumer_news/
http://www.msnbc.msn.com/id/34645998/ns/business-consumer_news/
http://www.msnbc.msn.com/id/26316365/
Thank Mercy !
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