mardi 23 mars 2010

"C'est pas moi, c'est l'autre" !


Très souvent le "problème de la démographie" revient aux devants de la scène comme si une société qui a aujourd'hui 100 millions d'habitants ne pourrait plus exister si demain ou après-demain elle se retrouvait avec seulement 20 millions d'habitants.Or, que constate t-on ? C'est que tous les pays n'ont pas toujours eut la population qu'ils ont aujourd'hui ! et que, cela ne les a pas empêché de vivre et de progresser !Mais alors, où est le problème ?! Le problème est situé au niveau des retraites. "Les retraites" ??! Mais... tous les retraités ont précédemment cotisé toute leur vie et plus encore les générations à venir.
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Alors, où est parti l'argent ??
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Voilà un problème, LE problème qui n'est jamais abordé, vu que les placements ont été dilapidés par tel ou tel gouvernement de passage ("C'est pas moi, c'est l'autre" !) et que cette politique misérabilisante d'escrocs en chefs n'est pas prête de disparaître. L'inquiétude ne vient pas réellement du peuple d'employés cotisant (encore que) mais surtout des dirigeants qui voient leur avenir moins fortuné qu'aujourd'hui.Voilà, la réalité. Qui fera vivre les escrocs de demain ? Surtout si, ils ne sont pas capables de fournir du travail à tous (à part les quelques millions de fonctionnaires qui sont eux-mêmes payés par le peuple), d'où l'extension du chômage.
La seule 'solution' qu'ils aient trouvé, c'est de faire rentrer massivement des immigrés afin de casser les prix du travail et surtout... de cotiser. Or, que constatons nous ? On constate que les immigrés (même là depuis x générations) conservent leurs racines (nourriture/vêtements/langue/etc) et qu'ils... envoient chaque mois une partie de leur salaire chez eux à leurs familles à l'étranger. D'où une balance commerciale en déficit puisqu'ils n'achètent au pays d'accueil que le strict nécessaire. D'où aussi "l'idée de" faire venir leurs familles au pays d'accueil. "Le regroupement familial". Familles le plus souvent illettrées qui s'établissent donc dans le confort des allocations (familiales, logement, chômage, etc).
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D'où, l'aggravation du pire par le pire.
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La disparition de la monnaie pose aujourd'hui le plus grave problème que les pays n'aient rencontré jusque là. Comme il en est des importations massives de produits "à prix cassés" qui se répandent jusqu'à la destruction totale de l'économie du pays importateur. Il s'agit là de dumping où les commanditaires/transporteurs achètent tel ou tel produit dans un pays (en le payant au prix coûtant, c-à-d. Prix de revient + bénéfice) et, le revendent... moitié moins cher !Bien sûr, là, faut avoir les reins solides, car il s'agit là de grosses pertes présentes mais aussi d'investissement à long (voire très long) terme. C'est-à-dire que, quand le pays importateur se sera effondré sur lui-même et que la machine-outil n'existera plus, arriveront des produits réajustés en prix devant désormais l'absence de concurrence.
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C'est à prendre ou à laisser ! Çà, c'est une phrase qui commence a courir les rues comme les magasins.
Donc - pour finir - le grand nombre de chômeurs dans le pays d'accueil importateur, plus: l'absence de cotisations découlant des allocations (s'il y a encore !) de chômage, justifieront la faible (voire l'absence !) de retraite ! ("C'est pas moi, c'est l'autre !").
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C'est comme tout débats à "huis clos" (où le peuple est écarté) qui accouchent de créations d'emplois pour des fonctionnaires et la destruction du tissu social accablé par les impôts et taxes diverses ajoutées aux taxes taxées ! Rigolez pas, ça existe déjà !

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