"Wait and see"

Que la situation stagne (pas pour tous !), il y a de quoi ! Avec cette incapacité à gérer la crise du dollar en perdition comme le sur-déficit de bien des pays, les riches ont vite transformé la valeur artificielle du papier en or. Or placé en coffres de banques. Or qui ne rapporte rien, sinon la sureté ("Wait and see"). Donc, nul ne peut connaître la fortune de tel ou tel quidam; même pas les banquiers ! Ainsi, peut on ajouter que le 'Classement Forbes' des plus grosses fortunes de la planète (+ de 1000 milliardaires) n'est qu'une image sans valeur réelle puisque la multiplication de chaque somme par 10, 20 ou 50 serait plus proche de la réalité (!). "Actu Bla-bla".
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S'il y a en 2010: 1,400 milliard de bipèdes qui 'vivent' avec 1$/jour, ou 2,6 milliards de pauvres avec 2,60$/jour, ou 3,1 milliards de 'moins pauvres' avec 3,27$/jour, ils leurs faudraient un paquet de jours et d'années pour renflouer les 1011 milliardaires ('Picsou Modèle Déposé') que compte le monde s'ils acceptaient tous de se séparer de 50% de leur fortune pour faire comme les 40 milliardaires (Américains) qui se seraient engagés à se délester de la moitié de leur fortune. En 2010, leurs fortunes cumulées représentaient 3.600 milliards de dollars (moyenne de 3,560 milliards de $).
Pour faire un petit calcul tout simple, s'il y a 40 milliardaires qui veulent se séparer de 50% de leur fortune, si la moyenne (3,560 milliards divisés par 2) s'établit à 1,780 milliard pour chacun, c'est-à-dire:
1.780.000.000 $ x 40 = 71.200.000.000 $ divisés par 1.400.000.000 de personnes qui gagnent 1 $ par jour = 50,85 $ Whoooââh ! Ce qui leur fait 1 $ + 50,85 $ = 51,85 $ dans leur poche en un seul jour !
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Comme il en est pour certains de se poser la question du lieu (si tenté peut-il y être) du cerveau de la plante. Courrier primaire que de répondre 'la graine'. La graine étant l'origine spermatoïdienne renforcée du concept. Or, la graine disparue/absorbée/ratatinée et sucée (de son plein gré ?) s'est elle explosée (ou césarienne ?) pour donner naissance à son rejeton du casse-noisettes. Les molécules du savoir se sont elles disséminées dans la partie montante (appelée 'tige/tronc') ou, dans la partie ouvrière des chercheuses d'ors fins en des racines croissantes ? Là est la question. Toujours est-il que chacune d'entre-elles oeuvre en son devenir de faire vivre l'autre.
Prolonger la vie de 'quelques' crêve-la-faim est loin d'être un fond perdu, puisque ils ne mangeront jamais les billets de banques, mais permettront a toute une multitude d'intermédiaires de s'en foutre plein les poches au passage et donc, de faire circuler/travailler l'argent endormi dans des coffres.
Tous les enfants sont beaux, après, adultes... ils changent. Ainsi, en pays pauvres, où le seul bonheur de vivre (avant ou après la faim ?) est l'amour, ils procréent. Les enfants seront allaités en attendant la disette. 15 jours à vivre ? 2 mois ? 5 ans ?
Sachant qu'aujourd'hui les milliardaires se rajeunissent (50 milliardaires ont moins de 40 ans), tout espoir n'est donc pas perdu.
Qui vivra, verra. Encore faut-il se les ouvrir (les yeux).