"Passez-moi le sel ?"
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Quand le premier couple d'humains s'est formé sur Terre, je pense qu'ils ont dû décrire ensemble leur devenir radieux, sous 'les meilleurs hospices' et que l'étendue qui s'étalait devant eux avait encore de beaux jours devant elle. Mais, mais, c'était là sans compter sur les richesses inexplorées que leurs réservaient les sous-sols. Pensez-donc, la remuer, extraire de ses composants, allaient devenir des pollutions alors que tous êtres vivants en étaient composés ! (d'où la guerre entre déchets ?). De là à discourir sur ce que pouvait être une merde propre, y a qu'un pas ! (attention quand même dans quoi tu marches !). Donc, il fallait trier. Trier entre les merdes propres, les grosses et les petites comme celles 'bien nées' et le second choix, voire des calibres n'entrant même pas dans les législatures ! (On est pas dans la merde !...). Puis, sont arrivées les couleurs, les "riches en bio-fidus actif", les mets recherchés par les bouseux, les "pas à prendre avec des pincettes", les 'refroidies' qui contiennent notre patrimoine génétique et les 'crèmes' de surface qui font du bien à l'intérieur et ça se voit à l'extérieur, comme les 'économiques' qui n'en seraient même pas ! Tout pour se régaler, non ?
Et puis, (car se n'est pas fini !) sont arrivées les odeurs, l'air qui sent pas bon, quoi ! Entre les "celles là, je ne peux pas les sentir" et les "pas l'air dans ton assiette" jusqu'aux vents mauvais qui les transporte.
En définitive, l'humain s'est emmerdé pendant des siècles à se nettoyer et passer la brosse à reluire jusqu'à poser son pied sur la lune ou rechercher en des sommes astronomiques ce qu'il pouvait en être des merdes extra-terrestres qui ne sont que des chiures de mouches au firmament.
Bon. Après çà, qu'est-ce qu'on mange ?
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