samedi 2 octobre 2010

La race aryenne

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Toutes ces mascarades de vaccins trafiqués nanotechnologiquement et cette réduction de population qui est programmée pour les mois à venir, ne sont pas des économies de coûts - dont les gouvernements comme les banksters n'en ont rien à foutre, puisqu'ils fabriquent cet argent qui n'existe pas - mais une simple décision de meilleure assise du NWO qui tarde à se présenter. Qui tarde à se présenter dans la mesure où "Je veux être calife à la place du calife" n'est pas si simple et est bien le talon d'Achille comme l'épine dans le pied des hégémonistes de l'ombre qui dirigent ceux qui sont en scène. Cette réduction de la population mondiale (très 'Bill Gates') est une chasse ouverte à des milliards d'humains pris en tenaille entre les médias/syndicats gouvernementaux qui assoient leurs chefs à la brosse à reluire et les chemtrails qui couvrent la quasi totalité de la planète (excepté la Chine qui s'y refuse); respirez, vous êtes mort.

Cette nouvelle race aryenne qui se dessine écarte de toutes destinées viables les 'moins intelligents' ! Tests Q.I. pour vos enfants = Faible ? Inférieur ? = Ils doivent êtres piqués ! L'élimination peut aussi se faire par puce RFID implantée à la naissance ou par dirigisme cervical via les épandages aériens. Il est bien évident que même la sélection des 'plus intelligents' est là aussi une autre mascarade car, le choix de ne garder que des humains susceptibles de rébellion n'est pas dans l'objectif, mais seulement d'appliquer des critères hitlériens et de n'en retenir que "les blonds aux yeux bleus".

Cette augmentation du Q.I. mondialement constatée depuis l'apparition des ordinateurs additionnés de l'Internet, révèle une pédagogie inattendue et semble prendre de court les dirigeants appliquant les vieilles lois du trône qui font lois sans que ne soit discutable leur position et encore moins leur Q.I.

Aujourd'hui, c'est l'ensemble du monde qui est mis à mal, c'est là une constatation qui ne désigne en rien le peuple coupable, mais les dirigeants qui - dépassés par leur gestion trop complexe - les dessert, car, cette trop grosse machine qu'ils ont eux-mêmes mis en place a fait que des fonctionnaires ont été nommés. Petits chefs qui - dans l'obligation de résultat - sont eux-mêmes dans l'obligeance de se faire aider par de nouvelles recrues. Etc, etc. Aujourd'hui, s'il faut 'dégraisser le mammouth', la guerre des chefs est loin d'être finie. Elle ne fait que commencer (!). Et, quand on est dans le savoir de l'administration, pas facile de faire profil bas, de se taire sans se rebeller et d'être du jour au lendemain de retour dans cette populace de bâtards désignée à disparaître. Ce peuple de victimes n'a pas dit son dernier mot, loin s'en faut !
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