mardi 15 février 2011

Cas de forces majeures

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Que des personnes, que des peuples achètent plus de victuailles qu'ils ne peuvent consommer, où est le problème ? S'ils ont de l'argent à gaspiller, où est le problème ? Le principal du commerce n'est-il pas de le faire tourner ? Plus d'articles sont vendus, plus de personnes peuvent travailler à les fabriquer. Ainsi va le monde du "quand le bâtiment va, tout va".
Car, en cette période de disette mondiale où chacun économise ou tend à le faire face aux prix qui s'envolent, l'empire transactionnel des affaires s'écroule. Les commerces ferment l'un après l'autre. Il s'agit là d'un vent de panique qui fait 'boule de neige' en obstruant tout espoir de pouvoir s'en sortir. Les plus riches ne paieront jamais pour les plus pauvres; ne nous leurrons pas. Donc, chacun est ici-bas en attente de mesures intelligentes et constructives des gouvernements. Or, qu'observe t-on ? Une stagnation. Une stagnation qui dure mène à la déchéance (voir: l'effondrement d'outre-Atlantique). Le nombre de sans emploi et de sans argent explose de partout jusqu'à des tentatives de renversements des pouvoirs en place. On dirige mieux les pauvres que les riches.

Des solutions existent et nous les connaissons tous.

Deux cas de forces majeures se présentaient: 1: Le contrôle des naissances, ce qui aurait eu pour cause à ne retrouver bientôt qu'un monde de vieux. Des vieux qui transmettraient leur savoir, leurs craintes et leurs conseils aux quelques jeunes, et qui ne ferait donc que repousser à plus tard la situation d'aujourd'hui. Ou 2: La croissance ('toute en douceur') des taux (savamment cachés) de mortalité. Donc là, plusieurs solutions s'offrent et se répandent: vaccinations mortelles, empoisonnement des eaux avec épandages aériens de nanoparticules d'aluminium (entr'autres). Résultat: toute la population (jeunes & vieux) est touchée par la mesure hégémonique et décède prématurément.
Car, ce n'est pas la 'surpopulation' qui est inquiétante, intolérable et dangereuse par son nombre, mais la qualité de cet ensemble. Nuance. Ainsi, il n'y aurait rien d'angoissant pour les dirigeants que de maîtriser/diriger un peuple de cons (on se rappelle tous de l'histoire du monde dirigé par des rois pendant des siècles), la terre est assez grande pour tous et peut même alimenter 100 milliards d'individus. Mais, mais de se voir confronté au fil des jours avec des gens qui en savent autant que les chefs voire plus... cela porte un nom: Renversement de pouvoir. Désormais, même si une 'reprise économique' se dessine aux fronton des faux-drapeaux, les choses ne seront plus comme avant. Le peuple est au courant.

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