lundi 28 février 2011

L'homme cobaye

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Ce que je soupçonne dans la portée méconnue des chemtrails c'est que l'addition des particules dispersées 'aux quatre vents' et consommées et faisant désormais partie en plus ou moins grand nombre de tout ce qui vit sur Terre, devenue notre quotidien alimentaire depuis des décennies, fasse que petit à petit, l'homme soit modifié jusqu'à ses entrailles intérieures et puisse être dirigé/réorienté par la lourde technologie scalaire. Ainsi, les spermatozoïdes contiennent déjà les nano-particules respirées et/ou absorbées par l'estomac. Ce qui en résulte est que le petit gars haut comme trois pommes sortant du ventre de sa mère est déjà en lui-même un 'nano-robot' a qui 'il ne manque que la parole'(!). Donc, dans cet état de faits, il peut devenir en 3 mois ou 3 ans l'égal de tous chercheurs au cursus universitaire. Cette particularité (notez la racine 'particule') peut donc en devenir 'l'homme' de demain qui n'aura plus que considérations comparables qu'à un moteur de camion ou plant de tomate dont on ne se souciera de sa disparition/destruction/effacement et méthodes de recyclage.
Donc, comme je l'évoquai plus avant au pourquoi disperser tant de nano-particules dans la nature alors que l'on peut tout directement en additionner ces dernières à l'alimentation sorties des magasins ? C'est là une façon insidieuse d'administrer à tous les humains des atomes de direction/soumission auquel les bipèdes d'aujourd'hui pourraient s'en défendre en choisissant ce dont il veut consommer. De là à faire des clones des meilleurs porteurs, il n'y a qu'un pas. Effectivement, si la machine (nouvelle) vient à dépasser/supplanter l'homme, il se pourrait que les instigateurs humains naturels qui cherchent et appliquent en laboratoires soient dépassés tôt ou tard par les armées d'humanoïdes dont ils sont les pères d'atelier. Ce qui rayera définitivement la perspective de retrouver un jour l'homme comme aux temps anciens de la Lucy-création.
Mais à quoi bon modifier sur Terre ce qu'il y a de naturel plutôt que d'implanter en d'autres planètes les robots qu'ils veulent ? C'est là une démarche qui se fout des Droits de l'Homme tels qu'ils ont été conçus et tend à faire d'une singularité de cuisine-laboratoire une adoption forcée des méthodes esclavagistes.
Observons maintenant le besoin véritable d'avoir une machine. La roue. La roue est à son invention la première particule qui ait semble t-il existé et qui - de par sa praticité - à porté l'homme à en développer d'autres formules et à les adapter/les améliorer au fil du temps. C'est là un point de départ du développement chez l'homme de son intelligence. Mais, jusqu'à 'aujourd'hui' l'homme avait la maîtrise de toutes machines jusqu'au jour où ne pouvant comprendre les pannes et les faiblesses de production, il a fait appel à d'autres machines-docteurs pour en diagnostiquer les portions réticentes ou manquantes à son propre savoir. C'était là le premier pas de la machine supérieure à l'humain. Or, loin de tout étudier, et qu'il y a autant de cerveaux différents qu'il y a d'humains sur Terre, le chercheur-laborantin n'a choisi qu'une sélection mise en observation et dont les études se sont donc limité aux cobayes. C'est là une grande différenciation et qui n'est le reflet de tout ce qui vit sur notre planète.
"L'école est libre et obligatoire", 'obligatoire', voilà le premier mot de la dépendance humaine au pouvoir mis en place. "Enfoncez-vous çà dans la tête !". Donc, comme il est écrit: l'homme n'est plus libre ! Pas libre de faire ce qu'il veut. C'est là le premier pas de la domestication, de l'esclavagisme, même si l'humain y entre par la 'petite porte'.
 

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