vendredi 1 juillet 2011

La véracité, le doute et le mensonge


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Lorsque des scientifiques qui travaillent dans le domaine nucléaire sont tout-à-coup débordés par des évènements accidentels - dont-ils n'avaient prévu la gravité jusqu'alors - tentent soit d'expliquer des faits en mentant sciemment, soir se réfugient en un silence complet, il y a là un danger. Un danger que leurs supérieurs hiérarchiques ne savent non plus expliquer voire comprendre clairement. Par le silence et les mensonges ils se réfugient là dans une mort qu'ils appellent collectives comme si la disparition prématurée des autres pouvait aider à les sauver !
Bien sûr, dans un sens, cela fait moins de critiqueurs et d'importuns qui posent questions sur le carreau auxquels ils ne connaissent rien. Cette direction est une politique de malades qui - depuis toujours - s'étant eux-mêmes reconnus comme étant des débiles cherchent à répandre leur tare sur les autres de façon a ce que dans l'avenir entre cons ils se comprennent ! Cette image se rencontre d'ailleurs chaque jour: les humains dans le monde sont tous pareils et aspirent tous à la même chose pour vivre, or, d'un côté à l'autre d'une frontière... il y a une différence. Pourquoi ? Parce que chacun de son côté a suivi/subi une éducation qui ne ressemble en rien avec celle d'à côté. La façon d'épouser l'histoire (parcourue elle-même de mensonges) peut faire douter de la sincérité des faits dont ils font l'éloge en des livres, quant aux énormités que l'on peut découvrir outre frontières...
Nous sommes donc entretenu entre la véracité, le doute et le mensonge flagrant tout au long de notre vie. D'où en cas de malheurs, ce refuge dans l'histoire des évènements et son impossibilité d'y apporter explication constructive. "Pas de nouvelle: bonne nouvelle !". Donc, en fermant sa gueule, cela évite aussi de dire des conneries (!). C'est peut-être aussi pourquoi les animaux qui n'ont qu'un langage très local et restreint a peu de mots n'ont pu jusqu'alors développer le nucléaire chez eux.

1 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Tuer des gens avec «l'inquiétude» ? Les biocarburants ont conduit à près de 200.000 morts (HNE) en 2010.

http://joannenova.com.au/

(...) Les politiques relatives aux biocarburants poussent plus de gens dans la pauvreté comme des denrées alimentaires qui augmentent et les pauvres sont obligés de passer plus de leur revenu en nourriture. Dans une étude publiée dans Journal of American Physicians and Surgeons, Indur Goklany calculé la charge de mortalité supplémentaire de politiques sur les biocarburants et a constaté que près de 200.000 personnes sont mortes dans la seule année 2010, en raison des efforts visant à utiliser des biocarburants pour réduire les émissions de CO2.
Mauvais gouvernement est un tueur.(...)
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Quel est vraiment le coût du pont chinois de San Francisco ?

(...) Donc, c'est moins cher de le faire faire en Chine et les Américains de toute façon ne peuvent pas faire ce genre de choses semble plus être l'essence de l'histoire. Mais est-ce vraiment le cas ?
Regardons d'abord à la question du coût. Le Times, note qu'un polisseur de l'acier de 55 ans Zhongwang arrive au travail à 7 heures du matin et quitte à 23 heures sept jours par semaine gagnant 12 $ par jour et un lit dans le dortoir de l'entreprise. Ainsi les économies de 400 millions $ estimés en grande partie en raison de travaux forcés chinois bon marché. Mais est-ce une économie pure ? (...)

http://prestowitz.foreignpolicy.com/blog/12503

1 juillet 2011 à 19:59  

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