mercredi 4 janvier 2012

La chape de plomb n'est pas posée là où il faut !

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Que peut-on retenir des actualités de Fukushima ? sinon qu'elles sont indescriptibles par le Gouvernement en place (comme par le précédent) et que "l'affaire Fukushima" est comme "l'affaire Tchernobyl" continuera à faire parler d'elle pendant des décennies (pour les siècles, il faut attendre !). Because que le corium formé a traversé le cuvier du réacteur pour aller se perdre sous terre là où il ne peut (et ne pourra jamais) être confiné. Son irradiation durera des décennies en touchant les alentours immédiats comme lointains de par les boyaux sous-terrains multi-directionnels qui composent la (les) nappe(s) phréatique(s).

Donc, de dire que "l'incident est clos" est un peu fort de café pour les habitants qui continueront à être mal informés de ce qu'ils consomment 24/24h.

Savant trait de plume impériale qui n'ose dire encore sur quoi il est écrit afin de ne déranger les exportations. Partiriez-vous en vacances à Tchernobyl ? quand jusqu'en Allemagne ont été trouvé des sangliers porteurs de nucléides ? D'où proviennent réellement les truffes (toujours vendues très chères) qui sont ici sur les marchés ? Estimez-vous suffisantes les mesures de contrôle de radioactivité qui peuvent être prises sur les véhicules et pièces détachées importées, les ordinateurs et les thés qui n'affichent (comme le riz) la provenance ?

La chape de plomb n'est pas posée là où il faut !

7 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima dénonciateur : Un navire porte-conteneurs en fusion comme en nid d'abeille - « Can you believe c'est par le navire de conteneur » ? (PHOTOS)

Breaking News : Pourparlers de dénonciation, porte-conteneurs est de fondre comme en nid d'abeille Fukushima Diary, 3 janvier 2011
Un informateur de Tepco une fuite de la situation réelle de l'usine de Fukushima. Il a laissé ses commentaires sur un forum japonais. Voici les messages. [...] 2011/12/20 (Mar) 01:52 [traduction] Prenant une partie de l'échantillon de béton laitier. Mettez-la dans le cas de plomb (Chiyoda technol) et passer à un laboratoire. Je ne sais pas si c'est parce qu'ils ont donné à la mer l'eau à refroidir ou parce que c'est la zone saumâtre, ce natrium (sel de sodium) d'eau de mer a une réaction chimique avec le carbonate de calcium dans le béton pour devenir diuranate natrium (diuranate de sodium) ou pas, il ressemble jaune comme le gâteau jaune. La partie de fer du noyau est probablement n'ayant pas les pastilles d'uranium réagi - ne savez pas encore parce qu'il est toujours avant l'analyse. Il est hors de la lecture maximale de 500 X 100 CPM. Ces scories de béton jaunes sortent sous le bâtiment une à une. Cela signifie que le bâtiment de conteneur est de fondre comme un nid d'abeille, au moins n'est pas cela ? Sinon pourquoi serait-il que de l'uranium métal sorte de là ? 2011/12/28 (Mer) 04:37 [traduction] J'ai pris ma décision à prendre les scories de l'abri pour prendre des photos d'elles. Portaient des vêtements de protection. Quand elle est souscrite, c'est plus de 400 ?, mais maintenant il est refroidi jusqu'à 100 ?. Pouvez-vous voir ce gros cristal métallique (extrêmement radioactif) et le béton oxydé ressemblant à gâteau jaune ? Pouvez-vous croire que c'est par le navire du conteneur. C'est plus de 500 mSv/h, mon compteur geiger a franchi la limite. Avait peur donc de le mettre à l'abri dès que j'ai pris quelques photos.

http://enenews.com/fukushima-whistleblower-container-vessel-melting-like-honeycomb-can-you-believe-its-outside-of-container-vessel-photos

4 janvier 2012 à 10:17  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima : des phoques irradiés retrouvés morts en Alaska ?
par Nicolas Depardieu, Mercredi 4 janvier 2012

La catastrophe de mars dernier qui a vu le nord est du Japon ravagé par un tremblement de terre puis un tsunami a entraîné à Fukushima une catastrophe nucléaire sans précédents depuis Tchernobyl il y a un quart de siècle. Difficilement mesurables à ce stade, les conséquences à long terme de cette catastrophe nucléaire seront sans doute observables au-delà de l’archipel nippon. Au-delà du nuage radioactif, d’importantes quantités d’eau contaminée ont été rejetée en mer et ont conduit à des interdictions de pêche au Japon.
Et c’est cette pollution qui pourrait être à l’origine de l’échouage de nombre de phoques annelés sur les côtes d’Alaska depuis le mois de juillet. Retrouvés morts ou blessés, ces phoques présentent des lésions sur leurs membres inférieurs, une peau irritée autour des yeux et des narines et des pertes de fourrure par plaque. Les scientifiques ont en premier lieu cherché en vain à identifier un virus qui pourrait être responsables de ces symptômes. Leurs investigations portent maintenant sur une éventuelle irradiation liée à la catastrophe japonaise.
« Nous avons récemment reçus des échantillons de tissus de phoques provenant d’animaux présentant ces symptômes et ayant été capturés à proximité de l’île Saint Laurent et nous allons étudier leur éventuelle radioactivité » a indiqué John Kelley, professeur émérite à l’institut de science marine de l’Université de Fairbanks (Alaska).
Les résultats ne sont pas attendus avant plusieurs semaines et ne devraient pas apporter une réponse définitive quant à l’origine de la radioactivité car les relevés effectués dans les eaux territoriales américaines depuis me mois de mars n’ont pas indiqué une hausse de la radioactivité marine. Si il s’agit bien d’une contamination radioactive, c’est l’ensemble de la chaîne alimentaire qui pourrait être en cause et les répercussions seraient alors ressenties à plus grande échelle

http://www.zegreenweb.com/sinformer/fukushima-des-phoques-irradies-retrouves-morts-en-alaska,46122
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De quoi se nourissent les phoques sinon de poissons ? Lorsque des poissons meurent dans l'océan 'cela ne se voit pas', ils sont avalés par d'autres (qui transmettent les nucléides), tandis que quand il s'agit de gros, des mamiphères qui sortent de l'eau pour s'alonger sur les plages... çà se voit !
D'où aussi le dangers que les 'poissons de surfaces (éperlans, sardines, maquereaux, etc) soient consommés par les gros des profondeurs (thons, etc). Ainsi, la chaine alimentaire transmet-elle d'un à l'autre (poissons/humains) ce qui s'est déposé en surface depuis le 11 Mars.

4 janvier 2012 à 18:37  
Blogger huemaurice7 a dit...

Fukushima hante encore les producteurs d'uranium.

Les prix internationaux d'uranium, la matière de base importante dans les réacteurs nucléaires, sont restés plats ; avec une moyenne d'US$ 53 par livre que le marché se démène pour débarrassés des effets de la crise nucléaire du Japon plus tôt cette année.

Les analystes du marché signifient que rétrécir les carnets de commandes, un prix spot plat et les compressions de production - en grande partie attribuables à la catastrophe de Fukushima - hanteront producteurs d'uranium en 2012.
Une économie américaine léthargique et les problèmes de la dette souveraine dans les économies avancées continuera de gravement un impact sur le prix au comptant d'uranium.
Les stocks d'uranium mondial ont significativement inférieur au cours de 2011 et analystes l'attribuent à l'appétit décroissante pour l'énergie nucléaire après l'horreur de Fukushima.
« Le secteur doit faire face à court terme incertitude de prix de l'uranium depuis la crise nucléaire de mars au Japon.
« Performance du secteur de l'uranium a également été touchée par la volatilité des marchés actions mondiales plus large, résultant de l'activité économique lente et les questions de la dette souveraine en cours dans les économies avancées, » Australian basé Resource Capital Research (RCR) dans son rapport trimestriel de marché.
Prix de l'uranium dopée à un record d'US$ 138 la livre en 2007 au cours de l'excitation sur l'avenir de l'énergie nucléaire, qui est considérée comme une des formes plus propres de l'énergie.
Avant la catastrophe nucléaire japonaise le prix a été en moyenne d'US$ 67.75 la livre, mais après Fukushima il étrangle à US$ 60 et a été en moyenne d'US$ 53 la livre depuis.
La Namibie, la dernière frontière pour les chasseurs d'uranium, a épinglé sa croissance future sur les mines d'uranium comme un substitut à la baisse de la production de diamants.
Banque de la Namibie (BoN) gouverneur Ipumbu Shiimi la semaine dernière a déclaré production minière a diminué en 2011, le reflet du ralentissement de la demande de minéraux majeurs du pays, comme les diamants, de l'uranium et de zinc parmi d'autres.
Analystes disent le prix de l'uranium en grande partie devrait rester plat en 2012, et la demande sera rétréci davantage si l'Allemagne pousse à venir avec ses intentions à complètement suspendre tous ses réacteurs nucléaires par souci de sécurité. Avec les pays de ralentissement de la croissance de leur puissance nucléaire, l'avenir de l'uranium n'est pas aussi brillant que c'était en 2007 alors parler de la « renaissance nucléaire » se sont accaparé la rampe de marché des produits de base.
« La dynamique conduite les perspectives à court terme du secteur continue d'être dominée par la suite de Fukushima, y compris la décision de l'Allemagne de fermer les réacteurs et l'élimination potentielle des stocks excédentaires utilitaire.
« Le marché spot a été commerciaux dans la gamme d'US$ 51 - US$ 53 la livre récemment, sauf pour une courte évasion en novembre.
« Commerçants indiquent qu'ils restent prudents dans la première moitié de 2012, » a déclaré les analystes du marché RCR.

(suite en dessous):

4 janvier 2012 à 18:53  
Blogger huemaurice7 a dit...

La plupart des producteurs d'uranium vendent le gâteau de produit, également connu sous le nom de jaune, le prix du contrat, qui était tombé à US$ 62,50 la livre par autour de novembre.
Le prix a jeter de 0,50 $ US par mois depuis août cette année.
Analystes affirment qu'ils espèrent que les principes fondamentaux de l'uranium à améliorer à long terme, mais à moyen terme, le prix du contrat est hover entre US$ 60 et US$ 70 la livre, supporter les décisions de développement à un certain nombre de projets avancés tels que le projet de l'uranium Husab extrait de ressources en Namibie.
Mise en miroir de l'underformance du secteur minier d'uranium, Areva de géant nucléaire français, a pour les trois dernières années a poussé avant apportant son uranium Trekkopje projet en Namibie.
Les signaux d'un secteur de l'uranium troublée sont manifestes. Le mardi Areva écrit la performance de ses mines africaines, y compris Trekkopje et suspendu davantage de développement.
Areva a également annoncé qu'elle ferait une perte opérationnelle de 1,6 milliards d'euros, coupe jusqu'à 1 500 emplois en Allemagne et il a gelé les augmentations de salaire pour son personnel axée sur la France pour 2012.
Areva a acheté Trekkopje en 2007 pour 2,5 milliards de dollars, un prix élevé pour un dépôt le groupe nucléaire français avait guère étudié.
Depuis lors, Areva a lutté pour transformer en production commerciale.
Cette semaine Areva également coupé d'uranium du Trekkopje réserves de 26 000 tonnes de 45.200 tonnes, une réduction stupéfiante de 42 pour cent dans le gisement de minerai estimée.
AREVA possède également la Mine de Bakouma en République centrafricaine et Ryst Kuil Mine en Afrique du Sud.
Sortie à appartenant à Rio Tinto Rossing d'Uranium en Namibie a également diminué à 3 100 tonnes en 2011 d'un record de 4 147 tonnes en 2009.
Connu comme la grande Old Lady d'uranium mine, Rossing exploite l'un des mines à ciel ouvert de plus grand et le plus profond du monde.
Rio Tinto a intérêt de 69 pour cent à Rossing, qui exploite depuis 1976 et expédie environ sept pour cent de l'approvisionnement mondial d'uranium.
Producteur de milieu de gamme de l'uranium, énergie de Paladin exploite Langer Heinrich Mine en Namibie.
Le prix au comptant du minéral souffre depuis le 11 mars tremblement de terre et le tsunami qui détruit la Fukushima Dai-Ichi Power Station de Tokyo Electric Power et déclenché le plus grand désastre atomique depuis Chernobyl en 1986.
Les développements ont incité certains pays pour placer des plans nucléaires en attente.
RCR affirme toutefois que, même avec la catastrophe encore frais, les principes fondamentaux à long terme sont encore fortes.
Plus de 84 nouveaux réacteurs nucléaires devraient être mis en service à l'échelle mondiale en 2017. Il y a actuellement 499 nouveaux réacteurs prévues dont 171 sont en Chine, 57 en Inde, 44 en Russie, 34 aux États-Unis et 13 dans l'Ukraine.

http://www.southerntimesafrica.com/news_article.php?id=6510&title=Fukushima%20still%20haunts%20uranium%20producers&type=69

4 janvier 2012 à 19:04  
Blogger huemaurice7 a dit...

Mardi 3 janvier 2012

Ils vont croître que le riz est encore une fois cette année à Fukushima Je pouvais presque entendre les mots: « cette fois, il sera différent! »

Jusqu'à, par exemple l'été dernier, les agriculteurs ont été excusés pour le manque d'information qui leur est donné (pour ceux qui s'appuient sur l'information gouvernementale). Mais maintenant presque 10 mois après l'accident et la contamination radioactive dans la préfecture de Fukushima ne peut pas être masquée plus (sauf pour la plupart des résidents qui sont restés, apparemment) et certains producteurs de riz poursuivent TEPCO pour les dommages, si poussent les riz à nouveau à Fukushima cette année en espérant leur sera exempt de césium mais conscient pertinemment qu'ils ne peuvent pas être, Comment appelez-vous celà ?
Puis, faisant de ce que le gouvernement vous dit de faire a été le mode de fonctionnement au Japon pour un temps long, et les agriculteurs ne peuvent pas voir toute nécessité de le changer maintenant.

Première, Yomiuri Shinbun (04/01/2012) :
Concernant le riz récolté en partie de Fukushima qui a été trouvé avec le césium radioactif dépassant la limite de sécurité provisoire national (500 becquerels/kg), le gouvernement préfectoral de Fukushima a décidé de donner aux agriculteurs pour donner plus de fertilisants potassium lorsqu'ils cultivent le riz pour 2012.
Le gouvernement préfectoral, l'engrais de potassium travaille afin de limiter l'absorption du césium radioactif le plant de riz.
La préfecture de Fukushima, le riz cultivé dans 31 fermes de 9 districts de la ville de Fukushima, ville Date et Nihonmatsu City ont été trouvés avec césium radioactif excédant la limite provisoire. La préfecture et le ministère de l'Agriculture, la foresterie et la pêche ont arpenté les rizières et constaté que plus le niveau de césium radioactif était dans le riz, plus il y avait le niveau de potassium dans le sol.
Selon Yoichiro Omomo (radiobiologie environnementale), conseiller auprès de l'Institut des Sciences de l'environnement (en Rokkasho-mura, préfecture d'Aomori), potassium est un des trois principaux nutriments des plantes avec les deux autres étant l'azote et le phosphore et est plus facilement absorbée par les plantes de césium qui est chimiquement semblable. Dans le sol qui est déficient de potassium, il est facile pour les plantes d'absorber le césium. Omomo est l'ancien président de l'Institut et continue de servir de conseiller.
Peu importe que le problème n'est pas le manque de potassium, mais la surabondance de césium radioactif (et probablement de strontium). Yomiuri est calme sur la densité du césium radioactif et autres nucléides dans le sol où le riz radioactif a été cultivé et récolté.
Si le gouvernement préfectoral de Fukushima et les producteurs de riz de Fukushima sont désireux de cultiver du riz cette année encore, dans l'espoir que l'excès de potassium bloquera le césium. Si elle n'est pas, oh bien juste faire ce qu'ils ont fait l'année dernière - vendre au gouvernement pour obtenir de l'argent.
Asahi Shinbun signale également que le ministère de l'Agriculture est très bien disposé à laisser à Fukushima les riziculteurs qui continuent de cultiver du riz. Lire entre les lignes.

(suite en dessous):

4 janvier 2012 à 20:25  
Blogger huemaurice7 a dit...

De Asahi Shinbun (27/12/2011) :

Le ministère de l'Agriculture, la foresterie et la pêche a publié la politique sur la réglementation de la culture du riz à l'année prochaine [2012] suite à l'accident de la centrale nucléaire Fukushima I. Le ministère interdira la culture du riz dans les zones où le césium radioactif est supérieur à 500 becquerels/kg a été trouvé dans le riz récolté cette année [2011]. Le Ministère envisage également d'interdire la culture dans les régions où le césium radioactif excédant 100 becquerels/kg a été trouvé dans le riz.
C'est parce que le rayonnement nouveau standard pour la nourriture à partir d'avril 2012 sera 100 becquerels/kg [de césium radioactif] pour le riz, tandis que la limite provisoire actuelle est de 500 becquerels/kg.
Jusqu'à présent, 8 districts, y compris le District de Onami dans la ville de Fukushima avaient de riz qui a dépassé les 500 becquerels/kg de césium radioactif et l'envoi du riz a été interrompue. Les agriculteurs de ces districts seront interdit de plantation de riz en 2012.
En outre, comme dans les zones où le césium radioactif dans le riz dépassait 100 becquerels/kg, le ministère décidera après avoir examiné les résultats de l'enquête d'urgence qui a été menée par le gouvernement préfectoral de Fukushima 25000 fermes dans 29 communes. Riz avec césium élevé et riz avec faible césium cohabitent dans le même quartier, et un examen minutieux est nécessaire pour décider d'interdire la culture dans tout le district quand un test en un seul endroit dépasse 100 becquerels/kg. La décision doit être faite en mars 2012.
Cette année, le gouvernement a examiné le taux de transfert de matières radioactives qui tombait sur les rizières et a décidé d'interdire la culture du riz dans les districts de rizières dont le sol est testé à 5000 becquerels/kg de césium radioactif. Basé sur les analyses de sol, la culture du riz a été interdit dans les zones à l'intérieur du rayon de 20 kilomètres de centrale nucléaire de Fukushima I et les environs « prévues évacuation zone » et le « zone d'évacuation prête ». Le coefficient de transfert que le gouvernement national a choisi est de 0,1, qui n'avait aucun fondement scientifique. Les dernières données, scientifiques ont dit que le coefficient était plus comme 0,01 ou moins. Le gouvernement choisit le numéro dix fois que, pour être prudents. C'était une décision politique, non scientifique. Ensuite, l'article Asahi, affirme que les analyses de sol, qui étaient sporadiques au mieux, a conclu que les zones à l'intérieur du rayon de 20 kilomètres étaient impropres, et « zone d'évacuation prévues » comme Iitate-mura, mais nulle part ailleurs.

(suite en dessous):

4 janvier 2012 à 20:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Quant à l'interdiction de la culture dans les régions qui avaient du riz avec 100 becquerels/kg et surtout, il est inutile parce qu'il y a tellement de fermes qui n'ont pas été testées dans l'enquête principale, qu'ils ont fait en septembre et en octobre, dont le résultat a été annoncé en grande pompe. À cette époque, 2 fermes dans l'ancienne municipalité ont été testés, un sac de chacune. Les zones qui étaient censées pour être « propre » ne soient pas, tout simplement parce qu'elles n'étaient pas encore testées.
Nulle part dans l'article Asahi il est dit que le ministère ou la préfecture effectuera les tests d'échantillon de sol tout au long de la préfecture. Qui serait trop cher pour eux.
Le gouvernement préfectoral de Fukushima négocie actuellement avec le ministère, en disant que le ministère devrait acheter tout le riz du district si le riz d'une ferme dépasse les 100 becquerels/kg.
À l'usine de riz au printemps, les agriculteurs tournent (labourent) sur le sol à l'automne. C'est déjà fait, mixage davantage les matières radioactives dans les rizières. Ils feront ainsi encore au printemps.
Je tweetais l'article Yomiuri au-dessus de mes lecteurs japonais. Quelqu'un a commenté: « Oh vous devez être prudent lorsque vous parlez de Fukushima et des gens de Fukushima, parce que leur sentiment est mauvais. » Qu'en est-il de la santé des consommateurs qui ont mangé du riz de Fukushima non vérifié ?

http://ex-skf.blogspot.com/2012/01/they-will-grow-rice-again-this-year-in.html
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Et, que vont faire les riziculteurs du riz irradié ?... le donner aux poules ! (?)

4 janvier 2012 à 20:48  

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