samedi 7 janvier 2012

Sauvez les murs !

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Les crayons en zirconium qui renferment les pastilles d'uranium forment le coeur du réacteur. L'uranium est autonome et dégage de la chaleur. D'où cette utilité mise à profit en y ajoutant de l'eau. L'eau, chauffée/transformée en vapeur s'élève et fait tourner les 'ventilos' qui produisent de l'électricité. En cas d'absence d'eau, les tiges verticales continuent de chauffer (3000°C) et peuvent attaquer les parois-même du dit réacteur. C'est ce qui s'est passé le 11 Mars 2011.

Donc, les crayons ont chauffé/brûlé/fondu (le jour-même) et, cette addition de zirconium et d'uranium a créé le corium. Masse incandescente qui s'est retrouvée en dépôt dans le cuvier du réacteur et en a aussitôt attaqué le bâtit du soubassement allant jusqu'à s'infiltrer en dessous de la centrale.

Donc, le comportement des crayons est similaire a une résistance électrique plongée dans un récipient rempli d'eau. L'eau chauffe. D'où l'absurdité de dire vouloir 'éteindre' une plaque électrique en y balançant des tonnes d'eau dessus ! Tout-au-plus - chez vous, si cela vous arrive - parviendrez-vous à créer 'un court-jus' à la plaque électrique, ce qui n'est pas le cas avec l'uranium qui lui est autonome. Donc, pourquoi avoir balancé de l'eau sur les barres fondues ? sinon pour éviter que la trop grande chaleur attaque les parois du réacteur. Mais çà, ils le savaient d'avance qu'ils ne pourraient dompter le corium, c'est là une évidence. Donc, aujourd'hui (depuis le 11 Mars), cette masse brûlante est passé au travers sans que rien ne puisse l'empêcher/l'arrêter. Donc, en définitive, la TEPCO (qui gère l'accident) a... sauvé les murs ! c'est-tout ! Bigre ! Méritent-ils une médaille pour cela ? (au prix qu'est le kilo de ciment et de ferraille...!). Mais, s'ils s'orgueillisent de 'gérer la situation', ils n'ont pu - au grand jamais - empêcher la centrale (ouverte) d'irradier, et c'est là qu'est le problème. Tout juste ont-ils participé/favorisé le panache discontinu et radioactif de faire connaître Fukushima à travers le monde ! Le réacteur déchapeauté a donc envoyé dans la nature (jusqu'en Europe) des milliards de milliards de particules radioactives (aidé par des tonnes d'eau - pour sauver les murs - qui se sont transformées immédiatement en vapeurs s'élevant dans le ciel et transportées - via jet-stream - tout au tour du monde dans l'hémisphère nord) qui se sont délicatement déposé sur les terres et océans.

L'uranium se comporte comme un acide sur un plancher: il le perfore en ligne droite et verticale par sa chaleur dégagée, donc il ne faut pas s'attendre à voir le trou disparaître/se reboucher derrière lui ! Ce qui est gênant avec l'uranium est sa chaleur de 3000°C ('suffit de se reculer un peu', quoi !) et sa radioactivité. Or, que voyons-nous ? Que la radioactivité débouche à... 20 mètres d'altitude plutôt qu'au niveau du sol.

Donc, que ce serait-il passé s'ils n'avaient pas apporté de l'eau au corium ? La centrale aurait brûlé sans répandre plus de radioactivité qu'elle n'a fait et sans envoyer dans l'atmosphère des vapeurs porteuses de particules radioactives. Elle aurait tout au plus rayonné dans un large périmètre (évacuation totale de Fukushima et régions alentours), avec interdiction d'y remettre les pieds plutôt que d'en canaliser les effluents vers les nuages. A cette alternative près que le corium ne serait peut-être pas descendu sous terre aussi vite. D'où peut-être aussi l'idée d'employer un missile pour lui faciliter la descente aux enfers.

Ce qu'endurent 'aujourd'hui' (découverts dès juillet) les phoques c'est qu'ils ne se nourrissent que de poissons, d'où la mise en garde (il n'est pas trop tôt !) des consommateurs de poissons (que nous sommes) venus de l'Atlantique nord et Pacifique nord. (reste aussi à découvrir prochainement si les poissons du sud - via courants marins - sont également victimes de Fukushima). Quant aux fruits, légumes et viandes diverses d'Amérique du nord et Europe... on verra plus tard !

8 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

En Alaska, des phoques irradiés par Fukushima ?

Les conséquences de la catastrophe de Fukushima vont-elle se faire ressentir sur toute la planète ? En début de semaine, les autorités alaskiennes ont retrouvé une soixantaine de phoques échoués mystérieusement. Les scientifiques n'ont pas hésité à évoquer l'hypothèse de l'irradiation.
10 mois après le désastre nucléaire et le déversement de millions de tonnes d'eaux radioactives dans le Pacifique, les premières victimes visibles du règne animal semblent émerger. En effet, en Alaska, une soixante de phoques se sont échoués et 75 spécimens malades ont été repérés avec d'inquiétantes blessures. Les mammifères échoués avaient la peau irritée autour des yeux et des pans entiers de peau dépourvue de pelage.

Les scientifiques de l'institut de science marine de l'Université de Fairbanks (Alaska) ont d'abord cherché un responsable du côté des virus ou d'une déficience immunitaire, mais n'ont rien décelé allant dans ce sens. Ils attendent à présent les résultats d'analyses par spectrométrie gamma, une technique qui permet de détecter les éléments radioactifs, pour valider ou invalider cette hypothèse, loin d'être farfelue. En effet, les scientifiques parlaient déjà il y a plusieurs mois d'une inévitable contamination de la chaîne alimentaire dans l'océan Pacifique. Avant de se diluer totalement, la radioactivité contenue dans les eaux de refroidissement de la centrale accidentée, a très probablement contaminé le plancton, avant d'être transmise aux poissons puis finalement aux mammifères marins. Ces rejets d'eaux radioactives, avaient d'ailleurs conduit à des interdictions de pêche au Japon.
20 millions de tonnes de débris à la dérive
En juillet dernier déjà, des phoques échoués avaient été retrouvés sur les côtes alaskiennes, marqués par des lésions sur les nageoires postérieures et dans la gueule. On a donc pas fini d'entendre parler de Fukushima puisqu'en plus de ces mystérieux échouages, les Etats-Unis voient déjà arriver les premiers déchets liés au tsunami.

Emportés par le reflux du raz-de-marée, plus de 20 millions de tonnes de débris se sont ainsi retrouvées dans l'océan. Certains ont traversé l'océan, portés par les courants jusqu'à l'Etat de Washington, où des personnes ont retrouvé des bouteilles et des bouées portant des inscriptions japonaises. Ces déchets devraient eux aussi être soumis aux tests des rayons gamma afin de déterminer s'ils sont dangereux ou pas.

Olivia Montero

http://www.bioaddict.fr/article/en-alaska-des-phoques-irradies-par-fukushima-a2633p1.html

7 janvier 2012 à 12:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Contamination : Fukushima-city doit, devrait, aurait du être évacuée !

La ville de Fukushima, 300.000 habitants, située à 60 Km au Nord-Ouest de la centrale accidentée devrait, même en considérant les normes de radioprotection Japonaises "améliorées" finalement être évacuée. Si l'on considère les normes CIPR/OMS (5 mSv), la ville de Fukushima aurait du être évacuée vers le dès le milieu du mois de juin (couleur orange). Si l'on appliquait le seuil de 1 mSv, l'évacuation aurait du se faire dès le... 18 mars soit 4 jours après l'explosion du réacteur n°. 3 (couleur jaune).(...)

http://www.gen4.fr/blog/2012/01/contamination-fukushima-city-doit-devrait-aurait-du-%C3%AAtre-%C3%A9vacu%C3%A9e.html#tp

7 janvier 2012 à 13:22  
Blogger huemaurice7 a dit...

Caractéristiques de Jim Carrey site nucléaires plant une fumée noire qui fuite et liquide - cliquant il vous emmène aux enfers hellscape
(vidéo)

SOURCE : jimcarrey.com SOURCE : site Web de Jim Carrey
http://www.jimcarrey.com/
sur la page d'accueil , une centrale nucléaire est ensuite située à la tête de Jim Carrey. Placer votre curseur au-dessus de la centrale nucléaire de provoquera une fumée noire à venir des tours de réacteur et le liquide noir au goutte à goutte de dessous. En cliquant sur l'usine débutera une countdown deuxième 10, après quoi vous sont transportés d'un enfer underworl.

http://enenews.com/jim-carreys-personal-site-features-nuclear-plant-leaking-dark-smoke-liquid-clicking-takes-underworld-hellscape-video

7 janvier 2012 à 14:10  
Blogger huemaurice7 a dit...

Rapport : Débris de tsunami vaiselle en Alaska depuis septembre-« véritable dimension de ce qui se passe est probablement pas apprécié même maintenant », explique expert (vidéo)

Débris de tsunami lavage en Alaska, KTVA, 27 décembre 2011 : Un Kodiak homme dit il a trouvé des débris du tsunami japonais vaiselle sur les plages. Dave Kubiak trouvé sept flotteurs de mousse de polystyrène blancs en forme de batterie de cinquante-cinq gallons à la fin septembre. Kubiak ensuite envoyé des photos de flotteurs ancien océanographe Curtis Ebbesmeyer. Ebbesmeyer affirme que les chars sont associées à des fermes de l'huître au Japon. [...] Premier japonais Tsunami Trash atteint en Alaska, Alaska Dispatch par Doug O'Harra, Ben Anderson, 27 décembre 2011 : [...] Basé à Washington, océanographe Curtis Ebbesmeyer, expert en suivi des épaves de l'océan, photographies des flotteurs [trouvés en Kodiak, Alaska] a envoyé aux médias nationaux au Japon et a dit qu'ils étaient authentiques. « Ils étaient délavées dans le tsunami de fermes de l'huître-cultivateur, » Ebbesmyer dit KMXT. [...] « C'est sans précédent dans l'histoire humaine d'avoir les débris du tsunami à réellement pourront être suivis à travers l'océan », Ebbesmeyer dit KMXT. « Nous avons affaire à un immense événement avec des centaines de millions de tonnes de débris sur l'eau. La véritable dimension de ce qui se passe est probablement pas apprécié encore aujourd'hui. » [...] Peter Murphy, avec la Division de débris de la Marine de la National Oceanic and Atmospheric Administration NOAA n'a pas été en mesure de confirmer les flotteurs comme étant du tsunami japonais Ils réjouissent beachcombers et non gouvernementaux scientifiques pour évaluer les éléments inhabituels de lavage à terre sur les plages. « Les débris marins sont déjà un problème important dans les océans du monde, » rendant difficile d'identifier si un morceau de débris provenait du tsunami japonais La NOAA avait créé un modèle informatique prédire les débris de tsunami de façon pourraient traverser l'océan, mais il n'a pas montrer les débris allant au nord jusqu'à l'île Kodiak Il ne pouvait pas dire si débris pourrait faire son chemin encore plu Nord, vers la péninsule de Kenai et Cook Inlet ou du côté sud de la péninsule d'Alaska « Il y a une quantité importante de variabilité »

http://enenews.com/report-tsunami-debris-washing-up-in-alaska-since-september-true-dimensions-of-what%e2%80%99s-going-is-probably-not-appreciated-even-now-says-expert-video

7 janvier 2012 à 15:02  
Blogger huemaurice7 a dit...

Niveaux de césium augmentent brusquement à Fukushima après le tremblement de terre du nouvel an - Chiba trop

Breaking News : Après le séisme de 1/1, Fukushima avait retombées plus de 30 jours de Nov Fukushima Diary, 5 janvier 2012 : Après le tremblement de terre, il s'avéra que le montant de retombées à Fukushima du 2 janvier-3 janvier dopés jusqu'à 558.1 Bq/m2 (Cs-134 et 137) Les retombées totale de Fukushima de novembre était seulement 347.7 Bq/m2 pour 30 jours

Retombées augmenté à Chiba après le séisme de 1/1, trop Fukushima Diary, 5 janvier 2012 : Ils ont mesuré l'augmentation rapide des retombées à Fukushima du 2 janvier - 3 janvier, mais elles aussi mesuré les retombées à Chiba âgés Du 31 octobre - le 26 décembre, ils n'avaient pas mesuré Cs-134 et 137, mais ils ont mesuré 54 Bq/m2.

http://enenews.com/cesium-fallout-rises-sharply-fukushima-after-new-years-quake-chiba

7 janvier 2012 à 15:29  
Blogger huemaurice7 a dit...

"Le Japon pour moi c'est fini "
08/01/2012 05:46

Haruko Sakaguchi, professeur de français près de Fukushima, témoignait hier sur son vécu du nucléaire à Saint-Gervais, invitée par Europe écologie les Verts.

Vous êtes partie dès la catastrophe de Fukushima le 11 mars dernier, pourquoi ?

« J'étais au courant des risques nucléaires, puisque je militais timidement contre. En octobre 2010, nous avions manifesté devant la mairie de Fukushima contre l'arrivée du mox, mais nous n'étions que six à nous relayer ! Notre maison était à Miharu, à 45 km de Fukushima; nous sommes immédiatement partis dans la région de Tokyo mais nous étions conscients que les dangers des radiations allaient jusque-là. Mon mari étant français, nous avons fait le choix très douloureux de partir, pour notre petite fille de 4 ans. Ma fille a une grande nostalgie du Japon, nous avons laissé nos amis, ma famille. Et surtout nous savons que nous ne pourrons plus jamais y retourner, c'est ça le risque nucléaire. L'eau, tout ce qu'on mange est contaminé. Mais la plupart des Japonais ne se rendent pas compte du danger. »

Vous vivez depuis en France qui est aussi un grand pays nucléaire, cela ne vous effraie pas ?

« Ici il n'y a pas le risque sismique qui est réel au Japon. Mais les Français ont tout à fait raison de se mobiliser contre le nucléaire. C'est une menace générale, il y a déjà eu trois catastrophes majeures à travers le monde, et beaucoup d'autres moins importantes. Et pourtant la même obstination des gouvernants à dire que ce n'est pas dangereux. J'ai l'intime conviction qu'au Japon, on arrivera à en sortir. Nombre de réacteurs ne sont désormais plus en fonction et en avril, tous les réacteurs seront provisoirement arrêtés. En septembre dernier il y a eu 60.000 manifestants à Tokyo ce qui est énorme pour le Japon. Et je pense que la colère due à Fukushima va grandir quand les conséquences vont commencer à apparaître. Je serais heureuse que la France se désengage, et si ce n'est pas le cas, j'envisagerais peut-être avec ma famille d'aller vivre ailleurs. »

Êtes-vous retournée au Japon depuis ?

« Oui cet été. C'est terrible, on se pose des questions énormes avant de boire un verre d'eau. C'est une très belle région que nous avons quittée, où nous faisions partie d'une communauté très sympathique. Mais quand des voisins nous ont accueillis avec la pastèque qu'ils venaient de cueillir dans leur jardin, on ne savait plus quoi faire. Les radiations sont partout et je ne retournerais vivre nulle part au Japon. C'était un départ sans retour possible. »

Propos recueillis par Béatrice Bossard

http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Environnement/n/Contenus/Articles/2012/01/08/Le-Japon-pour-moi-c-est-fini

8 janvier 2012 à 10:30  
Blogger huemaurice7 a dit...

Samedi 7 janvier 2012

Gouvernement japonais au rayonnement de la mesure de la pluie et la neige dans la préfecture de Fukushima. Sur le moment, vous pouvez dire. Mais attendez, il y a plus. Le résultat sera disponible en mars.

Et tandis que nous attendons la radioactivité de la neige qui tombe à Fukushima, la préfecture et le gouvernement national font la promotion des pistes de ski à Fukushima pour jeunes avec libre ou billets de remontée au rabais.
Come on, la neige sera un bouclier dangereux de rayonnement, tant de ski et de snowboard dans nos montagnes magnifiques, les hôtels de ski de Fukushima disent.
Le ministère de l'éducation et des sciences ont déjà annoncé qu'il n'y n'aura aucune annonce le week-end et les jours fériés.
Yomiuri Shinbun (08/01/2012) :

D'urgence nucléaire réponse siège du gouvernement national dans la préfecture de Fukushima et siège de réponse pour le désastre de la préfecture de Fukushima ont commencé à recueillir la pluie et la neige qui tombent sur Fukushima pour mesurer des matières radioactives.
Le résultat de la première mesure devrait être sorti début mars 2012. Les retombées radioactives dans l'air sont encore mesurée à plus de 20 endroits à l'intérieur de Fukushima, mais depuis l'été dernier les nombres à de nombreux endroits sont inférieurs à la limite de détection. Si le gouvernement testera la pluie et la neige en plus des retombées pour le dépôt de matières radioactives sur la surface du sol

http://ex-skf.blogspot.com/2012/01/japanese-government-to-measure.html

8 janvier 2012 à 10:54  
Blogger huemaurice7 a dit...

Samedi 7 janvier 2012

Fuku Nuke plante éruption panneau mystère : ils étaient vraiment soudés - Shut ou pas ?

J'ai écrit le 31 décembre 2011 sur les panneaux d'éruption dans le réacteur bâtiments à la centrale nucléaire de Fukushima I ont été soudés exclus sauf pour le bâtiment réacteur 2, lorsque le tremblement de terre et tsunami ont frappé le 11 mars 2011 et l'accident nucléaire a commencé, et qui pourrait avoir causé des explosions dans les réacteurs 1, 3 et 4.
Il ne semble pas quiconque Conférence du traitant TEPCO ont posé des questions sur que depuis. Maintenant que l'accident est soi-disant « clos », ce qui est vraiment arrivé, pourquoi et comment en mars 2011 peut être d'aucun intérêt. Mais je reste extrêmement curieux et je veux comprendre.
Alors j'ai décidé de chercher les photographies qui illustrent Fuku 1 centrale au bord de l'océan. Depuis les photos ci-dessous, ce que je peux dire n'est pas beaucoup. Le panneau de l'éruption du bâtiment réacteur 2 bâtonnets quelque temps entre le 12 mars avant l'explosion du réacteur 1 et 13 mars. Les panneaux de l'éruption du réacteur 3 et 4 du réacteur ne se sont pas ouvert à tous pour une raison quelconque, et les bâtiments ont explosé.
Il serait agréable de retrouver une photo le 14 mars, avant de réacteur 3 a fait exploser et le 15 mars, avant de réacteur 4 exploser à 06:00. Jusqu'à présent, je n'ai pas réussi à les trouver.

http://ex-skf.blogspot.com/2012/01/fuku-i-nuke-plant-blowout-panel-mystery.html
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8 janvier 2012 à 12:08  

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