lundi 27 février 2012

Vue des réacteurs (1 au fond )
2, 3 et 4 (au 1er plan)
suite à l'explosion intérieure
et non aux dégâts causés
par tremblement de terre & tsunami.
.
http://www.gen4.fr/blog/2012/02/la-valse-des-h%C3%A9licopt%C3%A8res-de-nouvelles-photos-de-fukushima-publi%C3%A9es-par-le-mainichi.html#tp

10 commentaires:

Blogger huemaurice7 a dit...

États-Unis, les sondages montrent différentes positions Belgique

(...) Un sondage téléphonique auprès de 1000 citoyens américains a été réalisée entre le 17 et 19 Février par la recherche Bisconti en collaboration avec GfK Roper pour le compte de l'Institut de l'énergie nucléaire.
Le sondage a révélé que 64% des répondants étaient en faveur de l'utilisation de l'énergie nucléaire comme l'une des façons de produire de l'électricité aux États-Unis. Cela représente une légère augmentation de ceux qui soutiennent nucléaire depuis une enquête similaire en Septembre 2011 - six mois après l'accident de Fukushima au Japon - a montré que 62% y sont favorables. 33% des personnes interrogées ont déclaré qu'ils s'opposaient à l'énergie nucléaire, contre 35% l'an dernier Septembre. Une enquête similaire en Février 2011 - un mois avant l'accident - a montré que 71% y sont favorables.
Quelque 81% des personnes interrogées pensent que l'énergie nucléaire sera important pour répondre aux besoins des Etats-Unis futurs de l'électricité, une légère augmentation de 80% en Septembre.(...)

(...) Dans un sondage téléphonique auprès de 1000 citoyens belges menées par TNS Media entre 6 et 23 Décembre 2011, plus de la moitié (58%) des répondants ont dit qu'ils appuyaient l'utilisation continue de l'énergie nucléaire, mais 62% ont dit qu'ils voulaient moins nucléaire dans le mix énergétique du pays .
Cependant, plus des deux tiers (69%) des personnes interrogées estiment qu'il serait difficile de trouver une alternative appropriée à l'énergie nucléaire. En outre, 74% croient que les prix de l'énergie va augmenter si moins d'énergie nucléaire a été utilisée en Belgique. Quelque 60% des gens croient aussi que l'énergie nucléaire contribue de façon positive à l'indépendance énergétique du pays, l'économie et à la disponibilité continue de l'électricité.(...)

(...)Belgique sept réacteurs nucléaires génèrent actuellement quelque 55% de l'électricité du pays. En Décembre 2011, la Belgique a formé un nouveau gouvernement de coalition qui a convenu que de 2003 sortie progressive du nucléaire la loi la fermeture de trois réacteurs d'ici à 2015 et les autres d'ici à 2025 devraient être mises en œuvre si la puissance adéquate pourrait être assurée par d'autres sources et les prix n'augmenteraient pas indûment.

http://www.world-nuclear-news.org/NP-US_Belgium_polls_show_different_stances-2702124.html?utm_source=twitterfeed&utm_medium=facebook

27 février 2012 à 18:08  
Blogger huemaurice7 a dit...

Nouveau rapport: les membres du Cabinet ont été contreventement pour l'évacuation éventuelle de Tokyo - Edano craindre des problèmes Daiini - Yoshida a mis en garde les responsables de fonte sur 3/14
panel indépendant: l'évacuation de Tokyo considérée

Source: NHK
Date: Lundi 27 Février, 2012 19:06 0900 (JST)

Un rapport par un panel indépendant montre que certains membres du cabinet ont été préparé à l'évacuation éventuelle de Tokyo après l'accident de Fukushima nucléaire.
Le panneau de 6 membres d'experts est due à publier un rapport le mardi basée sur des entretiens avec 300 japonais et des représentants du gouvernement des États-Unis et d'autres au sujet de leurs réponses à l'accident le 11 Mars de l'année dernière. [...]

Ancien chef de Fukushima Daiichi Yoshida Masao
Le rapport indique que le chef de l'usine de Fukushima Daiichi l'énergie nucléaire a informé le gouvernement 3 jours après l'accident que les barres de combustible nucléaire pourraient fondre en raison de défaillances du système de refroidissement.
L'information aurait été envoyé aux membres du cabinet et des experts nucléaires.
Pire des cas ?

Ministre de l'Economie Yukio Edano a déclaré que dans le pire des cas, si les barres de combustible a continué à être exposée à l'air, de fortes doses de matières radioactives seraient libérés et empêcheraient les travailleurs de pénétrer dans les bâtiments des réacteurs.

Fukushima Daiini
Edano a déclaré qu'il craignait que des problèmes pourraient également se produire dans une autre centrale nucléaire de Fukushima, et que Tokyo pourrait avoir à être évacué.

http://enenews.com/new-report-cabinet-members-were-bracing-for-possible-evacuation-of-tokyo-edano-feared-daiini-problems-yoshida-warned-officials-of-meltdown-on-314
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"Edano a déclaré qu'il craignait que des problèmes pourraient également se produire dans une autre centrale nucléaire de Fukushima, et que Tokyo pourrait avoir à être évacué." !!? Pensait-il aux tuyaux en PVC extérieurs qui alimentent en eau les réacteurs ?

27 février 2012 à 18:39  
Blogger huemaurice7 a dit...

Japon prévues options nucléaires pour 'le pire des cas

(...) Dans le rapport, M. Kondo a conclu que le plus grand risque pour la plante, c'est la piscine du combustible usé à la n ° 4 du réacteur. La piscine était située au dernier étage de la structure et a été exposé à l'air libre à la suite d'une explosion d'hydrogène plus tôt que fit sauter le toit du bâtiment. Il y avait eu un précédent la peur partagée par les experts nucléaires à l'intérieur du gouvernement américain-ce que le combustible dans la piscine a été exposé et la surchauffe rapidement. Cela a été assouplie après une photo aérienne a révélé l'existence de l'eau dans la piscine. Mais M. Kondo a toujours préoccupé à la fin de Mars que possible de nouveaux développements, tels que l'hydrogène, une autre explosion causerait le fond de la piscine à l'effondrement, mettant en danger le carburant. (...)

http://online.wsj.com/article/SB10001424052970204653604577250060204991738.html?mod=rss_asia_whats_news

28 février 2012 à 11:54  
Blogger huemaurice7 a dit...

Un scandale à la Madoff au Japon

Le gouvernement japonais a annoncé, ce matin, que 880.000 personnes pourraient être victimes dans le pays du scandale provoqué par la société de gestion d'actifs AIJ Investment Advisors. Le groupe avait reconnu, la semaine dernière, qu'il avait «perdu» l'essentiel des 210 milliards de yens (2 milliards d'euros) de fonds qui lui avaient été confiés. Tokyo a, depuis, ordonné un gel des activités de la société qui gérait les fonds de retraite de plus d'une centaine d'entreprises et le régulateur du secteur, la Japan Financial Services Agency, a lancé une enquête sur les techniques d'investissement d'AIJ. Des cadres du groupe, qui aurait maquillé pendant des années ses résultats pour faire croire à des retours sur investissements faramineux, auraient confié qu'ils ne comprenaient eux-même pas la complexité de certains des montages financiers proposés par leur société.

Blocage de la plus grande mine d'or du monde en Indonésie

L'activité n'avait toujours pas repris ce matin dans la mine géante d'or et de cuivre de Grasberg opérée en Indonésie par la compagnie américaine Freeport-McMoRan. Le site gigantesque, situé dans la province agitée de Papouasie, avait relancé sa production au début de l'année, au terme de trois mois d'une grève très dure, après la signature, entre les syndicats et la direction, d'un accord salarial prévoyant notamment une hausse de 37% des rémunérations horaires. Mais des règlements de compte opposant au sein de la mine les ouvriers syndiqués et des travailleurs opposés à la grève auraient poussé Freeport a décrété, en fin de semaine dernière, un arrêt de travail. Exploitée par 23.000 employés, le site de Grasberg est la plus grande mine de cuivre et d'or au monde en termes de réserves récupérables.

YANN ROUSSEAU, À TOKYO

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0201921713880-cette-nuit-en-asie-pekin-va-finir-ses-autoroutes-un-rare-deficit-coreen-le-madoff-japonais-affrontements-dans-la-plus-grande-mine-d-or-du-monde-295505.php?xtor=RSS-2053
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Quand ils parlent dans un pays d'augmentation de 37% des salaires... c'est pas rien !... mais rien ne dit si avec çà maintenant ils pourront manger tous les jours et plusieurs fois par jour !
Une enquête mérite d'être faite sur les conditions de travail dans les mines d'or et à quel âge meurent ceux qui y travaillent.

28 février 2012 à 11:56  
Blogger huemaurice7 a dit...

Des experts de l'étranger offrent des conseils sur un accident de Fukushima

28 février 2012

(...) Chai a dit: «Il aurait été possible d'ouvrir et fermer manuellement" les vannes si l'évaluation des conditions du condenseur d'urgence avait été possible à un stade précoce. Avec le mode manuel, "il aurait été possible de réduire la pression du réacteur et éviter une catastrophe nucléaire," a t-il dit.(...)

http://www.shimbun.denki.or.jp/en/news/20120228_01.html

28 février 2012 à 11:56  
Blogger huemaurice7 a dit...

L'évacuation de Tokyo envisagée

Lefigaro.fr Mis à jour le 28/02/2012 à 07:53 | publié le 28/02/2012 à 07:52

Le gouvernement nippon a envisagé d'évacuer les 30 millions d'habitants de l'agglomération de Tokyo au moment où il craignait de perdre le contrôle de la centrale de Fukushima, révèle un nouveau rapport indépendant présenté par le New York Times et le Wall Street Journal. L'enquête montre que pendant plusieurs jours Tokyo n'avait plus d'information sur l'état des dangereuses piscines de refroidissement sur le réacteur 4.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/02/28/97002-20120228FILWWW00274-le-japon-a-envisage-l-evacuation-de-tokyo.php

28 février 2012 à 11:57  
Blogger huemaurice7 a dit...

« Personne ne sait comment nettoyer la radioactivité »

Trois importantes compagnies japonaises ont décroché des contrats pour 12 projets pilotes de décontamination dans la région de Fukushima, qui s’élèvent en tout à 93 millions de dollars. Trois compagnies qui ont participé à la construction de 45 des 54 centrales nucléaires du Japon, dont celles de Fukushima Daichii.
La raison de ce choix ? D’après le gouvernement, ce sont de grandes entreprises qui ont des moyens techniques, du personnel, et du matériel de protection en quantité. En réalité, elles n’hésitent pas à sous-traiter une bonne partie du travail à des sous-traitants (qui eux-même n’hésitent à sous-traiter à nouveau). Sans parler du fait qu’il n’y a pas de réel expert en décontamination, comme le résume un employé d’un des sous-traitant : « nous sommes tous des amateurs. Personne ne sait comment nettoyer la radioactivité »
Les habitants de Iitate, un village à 39 kilomètres au nord de Fukushima, ont de leur côté commencé à tester des méthodes de décontamination avec l’aide d’universitaires. Pour l’instant la priorité est de décontaminer les forêts des montagnes avoisinantes.
Jeudi dernier, de la boue hautement radioactive a été trouvée dans une ville à 25 km au nord de Fukushima (Minamisôma). Elle a été envoyée à l’université de Kôbé ; une activité d’un million de becquerels de césium par kilo a été détectée, ce qui correspond à celle d’un déchet nucléaire à « faible » activité.
Le césium semble s’enfoncer plus rapidement dans la boue des fonds marins de la baie de Tôkyô que sur terre. Cette accumulation est due aux deux rivières qui transportent des éléments contaminés qui finissent par se retrouver et s’accumuler dans la baie.
Par ailleurs, la gestion des déchets et des débris liés directement ou indirectement à la catastrophe posent de plus en plus de problème. Seules 10 provinces sur 42 ont acceptées d’en recevoir, par crainte des contaminations radioactives.
Pour faire face, les autorité avaient décidé d’augmenter brusquement, l’année dernière, la limite de becquerels par kg de déchets incinérés. Elle est passée de 100 becquerels par kg à 8000 en prétextant qu’il s’agit de déchets qui ont vocation à être enfouis et que 99,8% des radiations émises lors de l’incinération pouvaient être bloquées. La question est donc de savoir si dans les faits 99,8% des radiations seront effectivement bloquées.

http://laterredabord.fr/Fukushima/2012/02/28/personne-ne-sait-comment-nettoyer-la-radioactivite/?utm_source=www.nuclear-nucleaire.info&utm_medium=facebook

28 février 2012 à 11:58  
Blogger huemaurice7 a dit...

La radioactivité de Fukushima a découvert dans des échantillons prélevés à Bennington

benningtonbanner.com
Mardi Février 28, 2012
BOB AUDETTE
Brattleboro Reformer

Brattleboro - Mesures prises à l'USGS «Bennington nationale des dépôts atmosphériques station de prélèvement programme a montré des traces infimes de matières radiologiques qui ont été produites à la suite de la catastrophe dans le complexe nucléaire de Fukushima au Japon.
Selon le Service géologique des États-Unis, à Denver, le césium-134 et le césium-137 ont été trouvés dans l'eau de pluie collectées à la station d'échantillonnage, mais à des niveaux bien inférieurs à ceux découverts dans les stations d'échantillonnage sur la côte Ouest et dans les Montagnes Rocheuses.
"Le dépôt a en fait diminué de la masse d'air parcouru d'est en ouest», a déclaré Greg Wetherbee, un chimiste USGS.
Scientifiques USGS détecté l'iode -131, le césium-134 et le césium-137, les produits primaires radioactives rejetées lors d'un incident tel que Fukushima.
Dans le Vermont, le césium-134 a été mesuré à .86 picocuries par litre et le césium-137 a été mesuré à 3 picocuries par litre. Pas d'iode a été découvert dans des échantillons prélevés dans le Vermont.
Un picocurie est un millième de milliardième de curie. Un curie est égal à la radioactivité d'un gramme de radium-226.
L'USGS ne pas tester les niveaux de matières radioactives dans la flore et la faune.
«Notre étude était strictement la pluie et la neige dépôt entre Mars 15 et Avril 5, 2011," a déclaré Wetherbee, un chimiste de l'USGS.
L'USGS n'est pas un problème de santé affecte-organisme, cependant, a dit Wetherbee, «Ce que nous avons dit, c'est les montants que nous
mesurés étaient comparables à celles mesurées par l'EPA, qui a caractérisé ces niveaux comme étant bien en dessous des niveaux de préoccupation de santé publique. "
Dans son propre échantillonnage, le Vermont Department of Health utilisé stations de surveillance autour de Vermont Yankee centrale nucléaire et une station d'échantillonnage de l'air à Burlington pour mesurer les effets de Fukushima. Il a conclu que les niveaux étaient "des centaines de milliers de fois inférieures aux montants que nous éprouvons dans la vie quotidienne."
Les rapports sont déposés en ligne à

healthvermont.gov/enviro/rad/japan2011.aspx .

(suite en dessous):

28 février 2012 à 11:59  
Blogger huemaurice7 a dit...

DOH, l'Agence des Ressources naturelles et de l'Agence de l'Agriculture, de l'Alimentation et marchés sont la poursuite de la collecte d'échantillons de la surface et l'eau potable, le lait, la végétation et produits de l'érable.
Mark Nilles, un hydrologue à l'USGS, a déclaré que les niveaux détectés à la station d'échantillonnage du PNDA ont été très faibles.
"Quand cela va dans l'approvisionnement en eau de surface que ça va être encore plus diluée," at-il dit.
Nilles a déclaré l'échantillonnage a été considéré comme «vérité terrain pour la modélisation et la prévision" résultant dans les chiffres, plutôt que d'avoir à utiliser la modélisation par ordinateur.
La station de Bennington a été mis en place en 1981, trois ans après le réseau national a été établi.
Normalement, les stations d'essai du PNDA sont utilisés pour mesurer les pluies acides et les polluants tels que l'azote, le mercure et d'ammoniaque.
«Le réseau n'a pas été mis en place pour tester des matériaux radiologiques», a déclaré Wetherbee. "Nous avons fait cela en réponse à l'incident. Ce fut certainement une étude qui s'étendait notre capacité. Nous étions très bien réussi à faire preuve de souplesse en étant capable de générer des études significatives."
Les stations du PNDA ont été utilisés pour mesurer les retombées à la suite de la catastrophe de Tchernobyl en 1986.
Déposition en Europe suite à la catastrophe de Tchernobyl est 10 fois plus élevé que les dépôts aux États-Unis à partir de Fukushima, a déclaré Wetherbee.
Ayant ces données en main aidé l'USGS comparer les retombées de la catastrophe de Fukushima.
"Aux Etats-Unis, le césium-134 et le césium-137 des valeurs de dispersion humides étaient plus élevés que pour les retombées de Tchernobyl en partie à cause des États-Unis étant en outre sous le vent", a déclaré Wetherbee. «Avec Tchernobyl, il y avait plus de possibilités pour la dispersion du panache."
Le 11 Mars 2011, un tremblement de terre de magnitude 9,0 centré large de la côte Pacifique du Japon a déclenché un tsunami et une vague de 14 mètres de marée qui ont inondé une grande partie de la côte nord du Japon.
Avec les inondations résultant massive, l'Fukushima Dai-ichi centrale nucléaire a été laissé sans énergie électrique principale ou de secours et de l'eau de refroidissement ainsi, ce qui conduit à l'échec catastrophique parmi ses six réacteurs nucléaires.
Explosions subséquentes ont amené à une décharge d'un mois de matières radioactives dans l'atmosphère, qui s'est depuis propagée dans le monde entier.
Selon l'USGS, il est estimé qu'il a fallu 18 jours pour les particules radioactives de Fukushima au tour de la terre.

http://www.benningtonbanner.com/ci_20057768

28 février 2012 à 12:00  
Blogger huemaurice7 a dit...

À cause de Fukushima, un plan d’évacuation de Tokyo a été envisagé

Le gouvernement japonais a travaillé un temps sur un scénario prévoyant la fin de Tokyo, à l’issue d’une série d’explosions nucléaires consécutive à l’accident de la centrale de Fukushima Daiichi, a révélé le 28 février une commission indépendante enquêtant sur la réaction des autorités.
Le porte-parole du gouvernement au moment de l’accident consécutif au tsunami du 11 mars 2011, Yukio Edano, a déclaré aux enquêteurs: «J’ai pensé à un scénario diabolique» où les réacteurs nucléaires auraient explosé les uns après les autres. «Si ça arrive, Tokyo est fini», a-t-il ajouté.
Des plans avaient été dressés au cas où une immense évacuation de la capitale aurait été nécessaire à la mi-mars, au moment où la maîtrise de la crise nucléaire en cours était encore très incertaine.
Ces informations avaient déjà été révélées il y a quelques mois par le premier ministre de l’époque, Naoto Kan, démissionnaire depuis. Les données plus précises fournies ce 28 février ont été publiées dans un rapport d’une commission d’experts chargée d’enquêter sur les événements entourant la crise nucléaire.
D’après cette étude, le gérant de la centrale nucléaire accidentée (située à 220 km au nord-est du centre de Tokyo), Tokyo Electric Power (Tepco), a voulu, au pire de la crise, évacuer le site atomique où ses employés tentaient de maîtriser le désastre, mais s’est vu ordonner à l’époque par Naoto Kan de continuer le travail en maintenant ses travailleurs sur place.
La préfecture de Tokyo compte 13 millions d’habitants. En y ajoutant la population des trois préfectures voisines constituant le «Grand Tokyo », la mégapole compte 35 millions d’habitants, formant la plus importante agglomération urbaine du monde.

http://www.la-croix.com/Actualite/S-informer/Monde/A-cause-de-Fukushima-un-plan-d-evacuation-de-Tokyo-a-ete-envisage-_NG_-2012-02-28-772968
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Yukio Edano, a déclaré aux enquêteurs: «J’ai pensé à un scénario diabolique» où les réacteurs nucléaires auraient explosé les uns après les autres. «Si ça arrive, Tokyo est fini "
Et tout çà... a cause d'un bout de tuyau !! (dont les autorités n'ont pas su protéger !!).

28 février 2012 à 13:18  

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