L'art écocide

Avec le "Je ne vous appartiens pas !" ou le "Vous ne m'appartenez pas !", l'on peut décrocher tout-à-coup toute une envie de vacances, de tout larguer parce qu'après tout: l'homme n'appartient à personne. Et, comme un chien n'est pas une personne on ne peut pas lui appartenir. Pareillement à un arbre. Etc. Mais voilà qu'arrive le: "Vous appartenez à une société !" Whooââârght !
"Appartenir" ??!... De quel droit ?! Voilà bien un vocable 'in-situ' dont on se passerait bien. Encore que là, j'emploie le 'on' (3ème personne) qui semble donner du corps à l'affirmation. Du 'corps' ? que dis-je ? Du groupe, ouais ! De la masse ! Du brut de chez brut ! Du monde, quoi. Donc, le 'on' marque un terme de représentativité comme si (je) était l'élu, le choisit par le peuple, le représentant de la foule ! Tandis que, si j'emploie la première personne pour parler, le 'je' va paraître du personnel, de l'ego qui s'envoie des fleurs, qui se vante et qui domine (!).
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La société est tout êtres vivants qui nous entourent. Les humains, les bestioles et la verdure avec des fleurs. Le fait d'être le proprio d'un arbre, d'un bout de bois, d'une feuille comme d'une pierre laisse entendre aussi que l'on a pas demandé si il ou elle était d'accord pour être la propriété d'un humain. Comme peuvent l'être les animaux auxquels "il ne manque que la parole". Mais là, est intervenu la "société protectrice des arbres et des cailloux" comme antécédemment est apparu la "société protectrice des animaux". Et plus encore... "La société protectrice de l'air qu'on respire, de l'eau qu'on boit, qu'on sue et qu'on pisse" !! Ainsi, avec ce stratagème de propriété au nom de la protection: plus rien n'appartient à personne.
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Si le fait d'acheter un meuble vous en rend propriétaire de celui-ci, vous le gardez 50 ans chez vous et nul n'y prêtera discours. Tandis que l'air... D'abord, l'air aspiré est rejeté; donc: rendu. (oui mais, dans quel état ?!). Donc: il ne va manquer à personne puisque je le remets là où je l'ai pris. Pareil pour l'eau ou ce que l'on mange qui ne font que transiter dans le corps. Aussi vrai que la Terre ne pèse pas un gramme de plus ou de moins depuis des millions d'années. Donc, l'homme qui se déplace et déplace ce qu'il absorbe se comporte comme un courant océanique qui charrie des trucs et des machins. Et, comme le vent n'est pas voleur, il ne fait que rendre à la Terre ce qui lui appartient.
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Mais là où est entrée l'escroquerie bien assise de lois de la misère du monde, c'est que même si l'on rend quelque chose que l'on a pris... on l'a donc: emprunté. Exact. Et alors ?... heu, et si... et si 'on' mettait des... intérêts ? (!!!?). Bêh ouais quoi ! Et en plus... (parce que il y a un 'plus' !) arrive le terme de 'pollution'. Aaaaaah ! Nous y voilà ! Vous ne le rendez pas dans le même état que vous l'avez pris ! Donc: Vous l'avez pollué !
En réalité, il ne s'agit pas de pollution, car le terme là est inapproprié. Le terme réel étant: l'addition. L'on y a ajouté des trucs et des machins (qui sont rendus à la nature). Trucs & machins fussent-ils nanotechnologiques, il n'en reste pas moins que chaque élément saisit et rejeté par quelques méthodes que ce soient est toujours pareil. "Est toujours pareil" !! D'où le terme de pollution qui est bien inapproprié puisque l'on peut aussi entendre que la pollution n'existe pas sinon en terme d'addition laissant en résultance une compilation 'mal choisie' d'éléments.
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Est donc arrivé le terme de (attention, ça va faire mal, préparez vos yeux a découvrir la connerie majuscule de la dictature en place:) "écocide" !!! "Ecocide" ??! Kézako ? Il s'agit là du terme retenu pour nommer l'assassinat de l'air, le meurtre de l'eau ou le viol de toute fleur arrachée à son 'écosystème' familial ambiant.
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Whoooââh !! Puuuuuutingue ! Vous n'auriez jamais cru que de tels cons puissent exister ?... Bêh, ça y est ! C'est fait ! Ils l'ont sorti ! "Ecocide".
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Désormais, mesdames et messieurs, lorsque vous péterez, vous ferez un écocide (avec ou sans chambre d'écho). Cet écocidisme venu de tout écocidiste écocidiaque lui même écocidé est désormais condamnable ! Et, comme plutôt que de vous foutre un bouchon dans le cul, les 'verts cireurs de pompes du NWO' se contenteront de vous y foutre... un procès.
"Allo, la police ?... Je me suis fait écocidé !"
Donc, bien carré dans la réglementation, tout flic écocidable jugera l'écocidation au 1er degré (voire écocidage avec préméditation) et vous enfermera dans un sac en plastique (voir la vidéo sur les 500.000 cercueils en Georgie).
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Ecocider: Verbe du premier groupe (faites gaffe, le premier c'est le plus mauvais !) se conjugue comme 'chanter', mais en serrant les fesses !