mercredi 2 février 2011

Je conspire

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Qu'ils soient de l'ENA, Polytechnique, d'Harvard , d'Oxford, ou bien d'ailleurs, chacun (choisi comme élu !) a traversé par son diplôme les 'études supérieures'. Les résultats se faisant attendre comme en bas-relief de ce que le peuple en marche ne peut s'arrêter, leur coefficient intellectuel est laissé pour compte et, bien des citoyens contribuables se verraient a leur fonction de chef d'Etat comme bon remplaçants à l'attribut de diriger.
La gangrène venue, chacun s'émerveille sur un-tel parce qu'il l'a vu plusieurs fois (!). La 'télé' étant le domaine de prédilection de ces ouvrages 'clé-en-main' pour asseoir leur destinée. Ils accepteraient ce vedettariat comme étant un atout résolvant leurs problèmes. Soit. Encore, qu'il eut été bon d'en partager les paillettes. Mais, loin ce cas (rejeté), ils en présentent un discours occasionnel qui n'est pas l'à-propos et, se dirigent en leur cursus perso vers des demeures dont nul n'a accès. Établissant des 'ponts' au savoir juridique comme en ferait l'enfant avec son jeu de cubes. Ils empilent, ils étalent leurs méthodes importunes faisant valoir qui sont les maîtres comme d'autres font état de leurs factures à les suivre. Ces gens là, ils ne regardent pas, ils s'opposent. Ils contribuent à la mésentente et ne font que ce que les 'pouvoirs de l'ombre' leur dictent en s'en effaçant.
Or, qu'en est-il de leur 'nirvana' d'hommes préoccupés au devenir du peuple ? Sinon ce copié/collé en mode destruction de leurs lointains souvenirs de bancs d'écoles. Les salaires d'appoint en faisant des chariots qui n'en maîtrise la gouvernance. Ils s'infortunent, se paralysent, s'esclavagisent, se démoralisent voire s'apitoient à leurs résultances qu'ils rejettent mais promettent de mieux faire aux prochains devoirs de vacances comme d'autres enfants de la patrie en danger font sur le sable des pâtés avec leurs sceaux.
Le devoir est ici-bas d'en attendre autre chose. Comme des animaux parqués sur l'herbe tendre qui ne devraient se soucier que de leur estomac, les mâles sont écartés des femelles, comme les respirateurs de l'air chemtraillé qu'ils respirent et dont ils n'en ont pas la raison du savoir du pourquoi. Ainsi, la façon d'être obstrue t-elle les bons vivants à s'asseoir dans les pissenlits, en écouter les hirondelles et voir le soir qui tombe sans que clôtures ne disparaissent. Si - comme disait La Fontaine - l'on a souvent besoin de plus petit que soi, rien ne prouve qu'un volume soit plus intelligent que l'autre et que l'éléphant mérite l'ENA plutôt que la souris. Ainsi tourne le monde dans son putride avenir où les microbes évoluent en se frottant la panse.

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