La bulle

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En cas d'accident nucléaire (outre parfois le devoir de partir en courant !), il existe un espace de confinement vivable pour tous et très développé en certaines régions qui s'appelle: l'abri antiatomique la serre. Des serres où tout peut être fait pour y vivre à l'intérieur toutes issues fermées. S'il y a dedans des plantes, la végétation qui y pousse rejette de l'oxygène et s'auto-arrose par l'hygrométrie abondante. De quoi aussi y élever des poules pour les oeufs voire d'autres animaux si l'herbe verte (ou sèche stockée) y est suffisante. Climat doux l'hiver et... plutôt chaud l'été sans être mortel (40°c + hygrométrie guyanaise !). Donc, de quoi attendre de longs mois dans ce 'supermarché' où le destockage et le réapprovisionnement y sont permanents !

Ce serait là même une mesure préventive qui pourrait être financée par les États et qui ne demande pas de gros investissements dans la mesure où - en période de calme hors accident majeur - cette même structure peut avoir un rendement agricole capable de faire ses preuves comme il en est déjà en bien des régions nord européennes. Images très futuristes d'une ville 'sous cloche' où les compartiments sépareraient les lieux avec bâtiments étagés aux fenêtres closes.

Qu'en serait-il aujourd'hui de centrales nucléaires fracturées (Fukushima) si elles subissaient - alors que leurs fuites ne sont pas réparées - un autre assaut d'une magnitude équivalente ou supérieure a celles subies ? (il y a tous les jours des tremblements de terre au Japon. Voir carte interactive remise à jour: http://hisz.rsoe.hu/alertmap/index2.php ).

Ainsi, la 'bulle' explose t-elle (ou tend à le faire !), qui démontre en d'autres départements ce qui pend au nez de tous: la différence. Bien qu'il y est une bonne dose d'indifférence, de marginaux et de reclues en des sociétés tribales où l'information du monde ne circule, des réalités, des évidences à toutes preuves mathématiques sont là pour démontrer que cette situation ne peut être vivable à long terme. Il y a donc un pas (un gouffre, ouais !) entre les personnes pauvres ou appauvries de fraîche date avec les riches où celles qui se peuvent se prétendre en faire partie, d'avoir outre des pièces en poches la science infuse. Et c'est bien là ce qui les dérange ! car, d'avoir une vue sur mer au 144 ème balcon et même l'hélicoptère à côté pour grimper encore plus haut, ne situe en rien le Q.I. de quelqu'un. Que la bulle soit financière (inflation de la dette qui ne veut plus rien dire) ou nucléaire (suite à des directives bien personnelles dans la haute technologie scalaire intervenante) voire sociétale aux échelons préfabriqués, elle est bien là. Là, dans un point de non retour où le dégonflage (même s'il en laisse quelques uns sur le bord de la route), ne peut qu'en renforcer d'autres ! Donc, nous y sommes. "Le siècle des questions" serait un euphémisme en vis-à-vis du temps qui passe, donc, pour être large, disons: "la semaine des questions" (!).

Les jours futurs ne sentent pas très bon, même si les gros titres sont là pour cacher la forêt et faire diversion quant aux sujets qui fâchent, il en demeure des réalités qui mériteraient bien des explications. Non pas qu'elles fassent défaut aux têtes des dirigeants mais bien qu'elles pèsent de plus en plus lourd dans le domaine secret. Ainsi, l'actualité nous relate t-elle une catastrophe (et une plus grosse imminente) où les riches comme les pauvres seraient touchés. Respirez, vous êtes irradiés ! A cette situation où ceux qui broncheraient seraient 'absentés' d'office, les 'messes basses' courent le furet comme une flamme sur une 'longue' mèche.