lundi 14 mars 2011

L'énergie pour le dire


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Un raz-de-marée (tsunami en japonais) a (encore) touché le japon et 'plus particulièrement' - suite au tremblement de terre -, l'une (sur les 15) des centrales nucléaires, ce qui tend à remettre en question ces dernières quant à leurs présences et leur danger potentiel. Pareillement que peut être abordé le sujet du 11 septembre 2001 avec des avions (vides ?) dirigés sur des tours en pilotage automatique, un avion (et non un missile) peut chuter (par accident ?) sur une unité de production électrique d'origine atomique, comme sur une ville ou autre chose. Faut-il à partir d'exemples présentés ou à venir interdire aux avions de voler (+ de 7000 par jour en France) ?
En ce qui concerne l'explosion d'une centrale nucléaire (malgré qu'elles soient moins accidentogènes que les automobiles sur la route), elle peut dégager de la radioactivité dans les proches environs comme dans les lointains (Tchernobyl en 1986, nuages mortels sur la France et l'Espagne, entr'autres). A l'heure où existe la technologie scalaire - qui permet peut-être pas de contenir voire empêcher les tremblements de terre - elle est capable (outre d'en provoquer) d'en restreindre les émanations d'ondes. Les vents comme les marées peuvent donc être bloqués.
Combien faudra t-il de catastrophes pour que les médias gouvernementaux soient un jour libérés des 'sujets qui fâchent' et révèlent enfin que la puissance électromagnétique existe et qu'elle est opérationnelle (depuis belle lurette) ?

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