Suffit de changer le nom !

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"Être rassurant", le Premier ministre japonais se veut 'rassurant', comme s'il suffisait de le dire pour l'être (!). C'est vrai que de nos jours, les hommes politiques du monde n'ont pas encore apporté la preuve de leur capacité à faire face à une situation qui se veut accidentelle. Comment gérer l'imprévu ?

Hier (en plaisantant ?), j'avais parlé du nombre de Boeing nécessaires à une évacuation totale du Japon (soit: 242.366 avions). Or, permettez-moi là de douter de la hauteur des politiques et étrangers. Étrangers dans le sens où - tout le monde le sait sans pour cela le faire remarquer qu'il n'y aurait (par exemple) pas assez d'avions au Japon pour évacuer tous les japonais - donc: l'aide étrangère doit faire preuve de compétence humanitaire en faisant effectuer le maximum de rotations d'évacuation avant que des particules radioactives ne s'abattent et envahissent les ports et aéroports.

Donc, en l'absence de réactions intelligentes venues des dirigeants étrangers, l'on peut donc s'imaginer facilement ce qu'il pourrait en être d'une telle situation si elle venait à se produire... chez eux ! Un avertissement est donc lancé à la mobilisation des neurones de tous pays. Ce matin, à la Bourse de Tokyo, l'indice Nikkeï a (encore) plongé, c'est peut-être la seule chose qui peut mettre encore du baume au coeur chez certains !

Mais... dites-moi, dans l'éventualité où ce fameux tremblement de terre ne serait pas d'origine naturelle (c'est-à-dire: scalaire), n'est-ce pas là un bon exemple de regard porté sur les mouvement de foule ? Soit (1): ils restent là en place jusqu'au dernier moment où il sera trop tard, soit (2): ils quittent au plus vite le pays à la demande expresse d'hébergement et moyens de survie au(x) pays d'accueil (et si... et si on les mettait en Libye ? Il y a là-bas déjà tout sur place, non ? L'eau, le pétrole, etc. Non-non-non ! N'allez pas me faire dire ce que je n'ai pas dit que tout serait préparé à l'avance dans ce pays africain 4,5 fois plus grand que le Japon, et gna-gna-gna !). Pour la seconde éventualité, comme les radiations nucléaires ne sont pas prêtes de disparaître comme par enchantement du jour au lendemain (voyez Tchernobyl 25 ans après), il se pourrait que dans cette perspective que les immigrés nippons deviennent au fil du temps des réels preneurs d'emplois définitifs en pays d'accueil. Donc, même si l'on passe sur les raisons appliquées de remettre en service les bons exemples de l'esclavage dans les siècles derniers (ils ont fait leur preuve !) et que, ce ne serait là qu'une divergence des "Droits de l'Homme" (une de plus !) qui se voudrait passagère*, il en résulterait bien un rapport que toute personne déplacée perd ses repères et serait même prête à faire la pute pour survivre. Donc, le choix de parquer le troupeau dans le pré ou de le diriger vers l'abattoir serait sur la table. Et, si "le bonheur est dans le pré", il serait même préférable pour certains que ce rêve se calque sur l'abattoir. Suffit de changer le nom !
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*Quand on voit les dispositions tendant à être prises au 'Conseil de Sécurité' de l'ONU sur l'invasion nasillarde de la Libye...