Prises de traites

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"La prise de terre" consiste à relier la Terre à un fil conducteur...

C'est-à-dire: que les mises en conformité des additifs (appareils électrique se servant du courant électrique comme d'un échappatoire pour en substituer les atomes aux fins de se chauffer (via résistances) comme des appareillages pour s'éclairer (ampoules électrique)) doit être de facteur intervenant à fluidifier/canaliser l'électricité qui nous entoure.

Donc, de rendre à César ce qui lui appartient. Cela dit, bien des gouvernements se prétendent 'aux César des offices', jugent qu'il serait bon de leur payer ce qui ne leur appartient pas ! Ainsi fait nous facture t-on le gratuit au prix du commerce, comme l'eau qui sort des sources gratuitement. Effectivement, si l'on ne devait se chauffer ou s'éclairer qu'aux éclairs environnants... d'où le principe des batteries qui retiennent/maintiennent l'énergie reçue afin de la distribuer en temps voulus. Avec çà, il y a la 'fabrication' de l'électricité qui est - à partir de particules rares d'ordres atomiques - ce que l'on appelle les 'centrales nucléaires' ou - mécaniquement - les forces de la nature telles que l'eau qui circule dont on en retient le courant afin (via transformateurs) de convertir cette énergie naturelle en électricité comme en sont d'autres dispositifs aériens (éoliennes) ou souterrains (géothermie).

Tout cela exposé nous donne en résultance (via disjoncteurs différentiels gouvernementaux) un appoint dit 'satisfaisant' dont la praticité nous élève au rang de personnes intelligentes qui - en plus des deux mains - peuvent aussi se servir de leur tête. Jusque là, 'le courant passe'. Donc, nous ne sommes qu'à en payer les services. Mais là où des problèmes peuvent survenir touche à la gestion de ces appareillages complexes qui seraient là pour nous satisfaire. Ainsi, les becquerels volatils s'égarent-ils en des méandres du bon savoir dont les usagers ne sont censés pas connaître.

Leurs particularités sont d'ordres invisibles autant qu'inodores et qui nous touchent profondément. Leurs capacités ne sont pas d'ordres à nous éclairer en ce domaine mais à nous en chauffer les mirettes afin d'en restreindre ce qui nous serait donné comme durée de vie. Or, la vie, n'étant pas de facteur temporel absolu, il est donc difficile pour le commun des mortels d'en évaluer les dommages reçus comme de porter plainte après cas. Ainsi donc, si peu de gens portent l'affaire devant les tribunaux (et pourquoi pas derrière ?) après avoir cessé de vivre, il en demeure aux vivants pas encore morts de se poser questions du 'koi ki l'est mort le môssieu ?'. Sans entrer dans les paramètres hyper-compliqués du 'koi kill a fumé ?' ou du 'koi kill a bauffé ?' qui seraient de l'ordre de la 'prise de tête', chacun peut faire valoir qu'il en a eut pour son compte ou que le compte n'y est pas ou que "moi, et la compta..."

Ainsi donc, si les relevés de compteurs peuvent être factuels, il n'en demeure pas moins que la facture est toujours trop salée et qui pour qui a du diabète, de l'emphysème cérébral ou des problèmes pour pisser...

Toujours est-il que les médias gouvernementaux usent de la 'prise de taire' afin d'en dévoyer les lecteurs/écouteurs/regardeurs qui seraient susceptibles de l'ouvrir.