Top départ !
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Quand ils parlent qu'ils doivent "attendre 40 ans pour ensevelir la centrale"... C'est qu'il y a un problème. Problème persistant. Mais... où donc se situe t-il 'ce problème' ?
Voyons voir les choses comme ils les expliquent: Il paraîtrait qu'ils ont descendu la température intérieure du réacteur sous les 100°C, puis, ils annoncent que "l'incident est clos"... entendre par là que le corium disparu ne chauffe plus et donc, comme ils le laisseraient entendre: que c'est froid (ou presque !). Donc, pour ensevelir la centrale (construction d'un sarcophage) il leurs faut 40 ans ???!! (là, ils marquent '40 ans' comme ils auraient pu marque 400, mais, qui contestera qui dans 40 ans ? L'erreur est humaine, non ?). Comptent-ils la recouvrir en projetant des grains de riz avec une sarbacane ? (10 kg par jour ?).
Donc, le problème ne se situerait pas sur la construction d'un mur d'enceinte (avec des robots et du précontraint) mais... sur la pose du couvercle sur la marmite ! Là, on commence à y voir plus clair. S'il y a problème quant à la pose de la toiture c'est qu'elle ne tiendrait pas longtemps dessus compte-tenu de la chaleur intérieure se dégageant ! "Chaleur intérieure se dégageant" ??! Tiens-tiens ! Je croyais que c'était froid ! 'Froid' en dessous de 100°C. Auraient-ils l'intention d'y foutre dessus une bâche en plastique ?... ou... ou y aurait-il encore quelques degrés cachés dans les oubliettes ? et qui auraient comme par hasard l'intention de faire encore parler d'eux ?!
Donc, il faut comprendre que si "l'incident est clos", c'est que la première étape est terminée (préliminaires) et que "l'accident de Fukushima"... ne fait que commencer !
publié par huemaurice7 | 11:56
1 commentaires:
Le point sur la mystérieuse affaire des "carottes de Fukushima"
Il ne s'agit pas de culture maraîchère mais bien de la dernière information "non confirmée" trainant sur le blog de Mochizuki : fukushima diary. Résumons l'histoire : un employé de Tepco (ou plus probablement d'un sous-traitant) affirme avoir été amené à approcher les "carottes" prélevées par la foreuse utilisée pour percer le confinement du réacteur n°. 2. Les "carottes" sont les échantillons caractéristiques remontés du fond du forage pour examen.
Le début des travaux de percement du confinement béton de l'ex-unité n°. 2 de Fukushima-Daiichi
L'opérateur Tepco a effectivement annoncé officiellement qu'il allait conduire dans le courant du mois de janvier 2012 un forage dans le confinement de l'ex-réacteur n°. 2 afin d'étudier les coupes relevées et d'introduire un endoscope pour étudier les dégâts dans cette unité, qui est de l'avis général celle qui a été la moins endommagée par l'accident. Le forage serait effectué au niveau du mur Nord-Ouest du bâtiment réacteur n°. 2. L'endoscope industriel utilisé, de la firme Suédoise ISEC, aurait une portée de 10m pour un diamètre d'objectif de moins d'un centimètre. Les travaux devraient commencer au début du mois de janvier pour une durée de perçage estimée à 2 semaines.
D'où la première interrogation : comment des travaux de carottage qui viennent de débuter peuvent-ils déjà ramener des échantillons sensés se trouver au fond du forage ?
Deuxième interrogation : pourquoi carotter à 200 mm (20 cm) de diamètre pour insérer finalement un endoscope de moins d'un centimètre de diamètre ? Compte tenu du caractère très instable de la situation même au niveau de l'unité la moins touchée, il semblerait logique de forer au diamètre minimum ?
L'employé racontant l'histoire prétend ensuite avoir prélevé un échantillon de béton fragmenté pour lui faire subir des analyses. A sa grande surprise, la carotte sortie aurait été très chaude (400° c) et aurait présenté une forme, une couleur et une composition très bizarres et peu compatibles avec un béton standard ou renforcé. (...)
http://www.gen4.fr/blog/2012/01/le-point-sur-la-myst%C3%A9rieuse-affaire-des-carottes-de-fukushima.html#tp
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