Eagle IV

vendredi 27 novembre 2009

Les bons raccourcis Internet








jeudi 26 novembre 2009

A quoi servent les actualités ?


A quoi servent les actualités ? -
 
"A quoi servent les actualités ?" Voilà bien là une question qui tend a donner un autre regard sur la demande du peuple. Réponse pourrait être: "A quoi bon recevoir si l'on ne peut pas donner ?!".
Les médias devraient plutôt se conforter de s'appeler 'Le mur' et non l'organe de transmission entre. De plus en plus l'Internet porte à réfléchir et à discuter (tous murs tombés) des faits véritables au travers du "tout le monde en parle".
D'un côté: la disparition progressive de la presse papier, et de l'autre: la mouvance d'Internet qui tend à déployer la parole pour tous.
Le mur, c'est quoi ? Le mur c'est l'absence même de condamnation d'escrocs notoires face aux internautes citoyens ruinés qui veulent en savoir plus, être remboursés et surtout ne pas se laisser faire.
A cela, une multitude de 'forums' sur la toile (accessibles par mots-clés) ont répandu toute une autre multitude de faux débats (multiplicité de pseudo pour faire 'vivre' les forums) rejetant/noyant (pour faire diversion) toute intervention constructive au sujet lancé. Peau de chagrin du 'Café du commerce 2.0' où - il était une fois - l'on pouvait discuter vraiment entre quatre yeux, boire un verre et fumer une clope sans être emmerdé pour cela.
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Aujourd'hui, si ces lieux de rencontres (38.600 bars restaurants aujourd'hui, 500.000 en 1900 !) sont rejetés/apostrophés/décriés par 'la loi', ce blâme touche profondément l'humanité. "L'image négative de ces lieux enfumés et alcoolisés (...)" (Le Point, juillet 2009). C'est là un renvoi chez eux des honnêtes citoyens à ne voir et entendre - télé/journaux/radio - qu'un son de cloche.
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Bien sûr que l'avenir serait (alors qu'il est question de fermer Internet !) qu'il y ait des forums constructifs (c.à d. non censurés) avec de vrais scientifiques 'au bout du fil' pour les questions de sciences et de vrais docteurs pour discuter des vrais problèmes de santé comme il en serait (comme une république ?) de vrais économistes au pouvoir de s'entretenir honnêtement et en toute transparence avec le peuple qui pose des questions.
Remarquez le peu d'empressement/d'enthousiasme que mettent les 'médias' a relater l'information de la mise-en-ligne des archives du GIEC suite au piratage informatique des données transmises à propos de l'escroquerie sur le faux 'réchauffement climatique', de la fausse nocivité du gaz carbonique ainsi que les fausses informations concernant le climat passé, présent et à venir. Tout est là pour noyer le poisson et plutôt faire les gros titres avec autre chose !
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Un Chef d'Etat, n'a t-il pas devoir d'expliquer (clairement) les choses comme les rumeurs afin de ne pas se discréditer aux yeux du peuple ?

dimanche 1 novembre 2009

Les pinceaux

"Aux couleurs très... chatoyantes, voire 'phosphorescentes', mais, ce n'est pas parce que les peintures réfléchissent que les pinceaux sont forcément surdoués.
Ainsi il y en va de celles et ceux qui - adeptes des mono-couches - s'en vont au poil luisant et contre vents & marées, proposer à la junte aux futurs pouvoirs de s'épandre un peu plus en des contrées giboyeuses tardantes aux réactions. "Les affaires sont les affaires" me direz vous, mais, qu'est-ce que de solliciter ce peuple de murs (avec ou sans accent circonflexe) quand se retrace cette grande muraille (qui n'est point de Berlin) a grands coups de milliards de briques qui n'a la compétence que d'arrêter les grands vents ?
(")L'abandon(") de Baltimore, Flint, Pittsburgh, Memphis, Philadelphie et autres Detroit (Packard Motor Car), n'est en aucun point salutaire dans ce monde de recherches mais vise a promouvoir un semblant de pâles copies sur "Kaki-boum" au col rouge.
Qu'en coûterait-il aux USA de suspendre pour un temps leur contractuelle vocation à la WTO et de fermer les frontières des States le temps d'une reconstruction ? Il n'en coûterait la place qu'aux indifférents qui prospèrent en 'marchés d'ouvertures'. Ces mêmes banques qui seraient le moteur de toutes économies blessent en coupes sombres des milliards de citoyens dans le monde aux fins d'une poignée d'investisseurs.

Copié/collé des 'heureux gagnants de la Loterie Nationale' qui se voient soudainement dotés de surfaces de billets de mille mais qui n'en sait trop que faire car l'intelligence ne se gagne pas aux jackpots d'Hong-Kong ou de Las Végas. Ils se contentent donc de répondre à la demande.

Ainsi vont 'petits pinceaux et rouleaux compresseurs' a refaire le monde d'une tapisserie tel un décor d'Hollywood démonté sitôt le film terminé ("Accroche-toi au plafond, je retire l'échelle") et qui n'a le pouvoir que de former des vedettes qui pensent qu'aux poches remplies elles pourront tout acheter. Les stars passent au gré des hit-parades et qui en font des 'Laurel & Hardy' finissant leurs jours aux détenus des argentiers.
 
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