La machine à tuer

Ils connaissent l'HAARP, la destinée réelle des armes scalaires ainsi que les chemtrails hyper-toxiques mais se gardent bien d'en parler au public dans les médias gouvernementaux (presse/avocats/syndicats/et autres farces de l'ordre). Ils ? "ils", se sont les dirigeants, les gouverneurs, les seigneurs et châtelains et les 'congressmen' (représentants du peuple ?) de l'étouffoir planétaire.
Les facultés de la technologie scalaire (développées par Tesla) sont incommensurables à ce jour. Elles permettent en ondes électromagnétiques d'asservir quiconque, de supprimer toute vie sur Terre et de modifier/dompter tout élément climatique. C'est un fait bien établi qui, au regard de la façon dont est géré le monde, porte à questions vis-à-vis des résultats. Ainsi, de nos jours, tout changement climatique n'est plus de fonction naturelle comme il en était auparavant, mais contriqué en phases bordéliques d'approche où chacun (les 'dirigeants' du NWO) semble tirer plaisir à jouer les savantes illusions à dominer le monde. Or, cette encore obscure machine qui répond mal dans sa finalité, porte à faire naître des tempêtes & catastrophes en endroits qui ne devraient pas en être servis. Forts des paramètres et statistiques qui ne relèvent parfois que des sciences oculaires et ouï-dires captés en des messages Internet, ils s'en vont au 'devoir' d'en diriger le commerce.
Les récoltes agricoles sont achetées (et stockées !) avant même l'ensemencement, comme les graphiques projectionnels de la croissance et développement en option de tel ou tel secteur industriel vis-à-vis du climat. Ah, nous y voilà donc !

Faire ici ou là des tempêtes de neiges pour en retarder/réduire ou stopper les millions d'écus d'investissement visant à promouvoir en des branches lointaines l'enfeuillement et floraison d'arbres qui n'ont pas de racines !
Parler de mobilité c'est reconnaître l'échec. C'est faire du kolkhoze. De la coopérative ingérable où l'individualité n'a plus de nom. Le troupeau dans l'étable dirigé vers l'abattoir faute d'avoir été compris. Ce 'trop de monde' (à chacun ses idées) échappe et dépasse le cerveau du chef et du milliard de petits-chefs de fonctionnaires abrutis des circulaires devant la machine à café.
L'idéal serait bien que la machine à café tombe en panne et que ce nombre d'irresponsables bureaucrates se mette en grève, saccage les locaux et crache par terre.
La valeur de chacun est exploitée par l'autre et chaque neurone convertie en denier, reste les bêtes de somme qui ne savent écrire ce dont elles ont besoin et/pour faire le travail sans demander pourquoi.
Ainsi, lors des tempêtes où l'électricité fait défaut, la machine à café se voit remplacer par le moulin manuel et l'eau chaude sur le poêle à bois.
Comme quoi l'on a parfois besoin de plus 'petit' que soi.