samedi 13 février 2010

L'isolation


La conjoncture présente, dite 'événementielle' pour certains, au regard des bordéliques à-propos du Nouvel Ordre Mondial tend a reconsidérer - outre les objectifs - la présence même de la situation. Dans cet esprit îlien d'un 'tout-à-fait nouveau monde', je tablerai à discourir que ces trop riches en monnaies n'ont plus la valeur des choses qu'ils ne savent eux-mêmes définir et heureusement estropiée par ces nouveaux riches (jeunes) qui ne veulent disparaître. Ce conflit des sommets n'a d'arrogance que d'une valeur monétaire même si pour y parvenir ils ont eut l'aide des neurones. Ce bilan montre bien à quel point l'esprit de solitude peut engendrer des catabolismes à tout être recherchant un autre état.
La vue dernièrement d'un milliardaire autrichien rompu à toutes disciplines affairistes se dégageant de toute fortune, montre bien ce point de retour (sauvegardé !) dont le cerveau garde en lui.
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/austria/7190750/Millionaire-gives-away-fortune-which-made-him-miserable.htm
Quand on a tout, que peut-on demander d'autre ? Les cinémas d'astéroïdes (habités ?) venus de nulle part au grand dam des holographes et techniques scalaires n'ont répondu jusqu'à présent qu'à susciter l'enthousiasme parmi les spectateurs sans en pouvoir définir les réalisations de rêve au toucher du doigt. "Hollywood II". La traversée d'écran n'étant (pas encore) à l'ordre du jour, ils ne peuvent que s'aplatir à la toile du blanc mat ou perlé ($15/sq ft, chez WT7) même avec des lunettes qui déshabillent et voient au travers des murs.
L'argent est une drogue qui parfois dépasse le médicament.
Depuis l'antiquité l'alcool existe à cela. Faisant naître les rêves les plus fous jusqu'à la démesure et des personnages sublimes et sublimés qui porteraient vers eux - outre l'extase orgasmique - les directives mêmes au degré alcoolique propre à l'angle droit. 4 verres (360°) 'ça va', 5, bonjour les dégâts ! Cette superpuissance confondue des athées n'a rendu maître de l'élément que les banksters du crédit - maîtres de chais aux caves inexistantes dans les parfums saumâtres des bourbiers fabriqués - "On ne crée pas la richesse en la divisant", telle était la devise.
Devise qui vaut bien son pesant d'or, puisque les riches dépensent et créent des emplois. Mais cette forme de communisme et de richesse espérée s'arrête bien aux grillages du kolkhoze où chaque salarié se devait... de travailler 'pour l'autre' sans ce 'petit plus' du travail bien à soi pour soi qui différencie tout individu.
Mais là où le fil a déraillé de la grande bobine c'est bien dans les 8 heures à travailler pour tous (soi + les autres) quand il y a des machines. Des machines savantes qui pourraient réduire la part de corvée pour chaque être humain s'il n'arrivait pas (comme par hasard) les prélèvements obligatoires pour toute une myriade de sangsues satellites. Électricité, transports, pollution, taxes, frais d'entretien et surtout: mise en place de nouveaux modèles. Tout compte fait, c'est l'homme (en plus de son travail) qui paie la machine qui le remplace et non plus le contraire comme il était défini à ses premiers dessins.
D'ailleurs, les coûts réels d'une voiture sont-ils bien justifiés ?
Ce n'est pas le progrès qui est payé mais l'arnaque établie après l'achat.

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