On fait avec ce qu'on a !

Lorsqu'est arrivé et s'est développé le téléphone portable, tout laissait à penser que l'ère de la communication était arrivée ! Que le monologue des médias (télés/radios/journaux) allait disparaître et que tout gouvernement n'avait plus qu'à se rhabiller. Cette situation "catastrophique" voire "apocalyptique" très 'NWO' aurait laissé au peuple le pouvoir de la parole (voire l'exclusivité !) ce qui tendrait à redéfinir les atmosphères 'démocratiques' en qualificatifs d'anarchie, de 'laisser faire' et de liberté pour pas dire 'bordel'.
Or, que s'est-il passé ?
Une vaste mise sous contrôle des discutions personnelles au travers des écoutes téléphoniques et visionnages des mails sur Internet, ajoutés d'un nombre impressionnant de caméras à chaque coins de rues, de suivi satellitaire de toute puce RFID qui se déplace (corporelle, téléphone et carte de crédit), jusqu'aux primes de délation à tous cafardeurs débutants (pompon vert) portant les espoirs d'une véritable vocation en chasseur de prime comme au bon vieux temps du far-west.
L'idée en béton étant de chasser tout terroriste qui s'ignore aux fins d'anéantir totalement la population en mal de changement, voire de révolution (!). D'où ce sentiment prédominant d'animosité du grand prédateur qui transparaît tous les jours dans les colonnes des journaux, pour se moquer des autres et critiquer tout commun des mortels de n'être pas un soi en double (!).
La guerre aux grands échelons. Voilà un produit bien d'actualité qui fait vendre et rapporte gros. Après la "guerre sale", voici: "la guerre propre" !!
La guerre scalaire se redéfinissant comme étant l'arme absolue (adieu bonne vieille bombe atomique ! Snif !). Voilà un éclair qui a le pouvoir d'ôter en un millième de seconde toute vie sur Terre et même en dessous ! D'où aussi, la mise en place de parapluies scalaires (Ouf !) qui ne profiteraient qu'au presseur de bouton (Snif !). La Terre au point zéro. Zéro moustique, zéro bactérie et zéro zéro !
Aâââa qu'il est loin le bon temps des guerres avec des arcs aux flèches en caoutchouc, les pistolets à eau et les pétards dans les papillotes qui dérangeaient la sieste du grand-père.
Bêh ouais. Faute d'extra-terrestres, on fait avec ce qu'on a !