Les faux drapeaux
Cela n'est pas sans rappeler les fausses attaques terroristes du 11 septembre où la planification de l'évènement dépendait d'une multitude de conjonctures plus que douteuses. Notamment (et, il ne faut pas l'oublier), la mise au sol des avions de l'armée en ce 11-9, comme étant justement "Le jour" où de faux appels de détresse pourraient êtres émis/perçus. D'où la "justification" de la non-intervention immédiate de la patrouille aérienne. Ce test macabre comme il peut en être de "l'étrange éloignement du Président en ce jour", se confond de suspicion comme il en a pu être du tremblement de terre en Haïti où, le Président de cette île de l'arc antillais, se trouvait justement hors du Palais en ce 12 janvier 2010.
Ce matraquage médiatique du "garçon qui criait au loup" (d'Esope) court encore aujourd'hui sous des formes diverses. Les dangers qui planent infestent nos quotidiens, mais, si d'en parler met en garde, il ne serait pas bon que cette habitude devienne un fait divers auquel l'on ne prête plus d'attention.
Que ce soit en 3ème semaine de mai 2010 que soit planifiée un exercice de simulation d'explosion de bombe thermonucléaire (Falls Creeks, Névada), ou reportée à plus tard (comme plus tôt), l'attention doit en être déployée afin d'éviter la confusion.
Observons maintenant le rôle de la presse: "1er septembre 1983, la chasse soviétique abat un avion de ligne commerciale de la Koréan Airlines. Motif: Survol de l'espace soviétique durant plus de 2 heures et non justification radio et, refus de se soumettre (de suivre) la chasse soviétique. Le survol non justifié de l'espace aérien soviétique (hors couloirs) et, le survol de la base de sous-marins nucléaires soviétiques à Vilioutchinsk".
La déviation de 500 à 600 km du couloir prévu pose déjà questions.
Maintenant, imaginons un tout autre scénario: "Imaginons qu'un appareil commercial soit porteur d'une bombe atomique (!). Appareil au dessus de la Méditerranée. Le 'mouton' (point blanc) est repéré aux radars. Il survole la ville de Toulon (sud France) interdite de survol. Doit-on s'inquiéter ? Appels radio: Rien (!). Une heure après (route nord), il survole le centre atomique de Marcoule dans la vallée du Rhône. Appels radio: Rien (!!). Une heure après, il est sur Paris, et... (!!!)".
Qui est responsable ? Pourquoi l'avion n'a t-il pas été abattu plus tôt ?!
Ce scénario catastrophe de science-fiction, n'a même pas été évoqué dans la presse française ou étrangère. Comme quoi, tout avion est capable de mauvaises intentions qu'il soit du 1er septembre 83 ou du 11 septembre 2001.
D'où ce regard nécessaire entre-filet de la presse qui est de loin de faire l'unanimité.
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