La porte ouverte aux criminels

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Effectivement, si un pays déclare la guerre à un autre sans avoir été lui-même attaqué ni obtenir l'aval d'une organisation censée représenter le monde (10 sur... 192 pays !! ce qui représente une laaaaarge majorité minorité qui parle pour les autres !!). Il s'agit là d'un crime, pareillement que si le Président d'un pays vient à se foutre de la Constitution et se torche le c... des Amendements, envoie des tueurs massacrer un ou des pays et reçoit le 'Prix... de la Paix' !!....

C'est la porte ouverte aux criminels et cela montre bien en tant que modèles qu'il est bien de mal faire et qu'il est préférable de laisser crever des millions de personnes de faim plutôt que de priver son chien ou son chat d'un repas (l'on ne va pas non plus demander l'avis au pape pour toute cette actualité !).

'Aujourd'hui' les mines anti-personnel (qui peuvent encore exploser 20 ans après) ont été remplacé par l'UA. Uranium appauvri qui touche invisiblement toute personne dans la région jusqu'à des années après. C'est le cas de tous les pays de la 'coalition' qui sont complices de ces morts pour ne pas avoir utilisé leur Droit de veto. Et, parmi cela, la Russie et la Chine qui pourtant seraient des pièces maîtresses dans l'échiquier économique (juste à côté du tremblement (scalaire ?) de terre si fort qu'il a occasionné la fissuration de centrales nucléaires).

A cela - si l'on observe la carte des vents - l'on s'apercevra que ni la Russie, ni la Chine n'ont été touché par les retombées radioactives (les vents se déplacent si bien à l'arme scalaire). Donc, après cette destruction du Japon, une place est à prendre. Pourtant, pourtant la Russie possède cette technologie scalaire et serait même plus performante que chez les autres. Ce qui pousse donc à diriger la Chine et seulement LA Chine.

Alors qu'aucun coup de feu n'a été tiré par l'armée libyenne (le colonnel Kadhafi a ordonné un cessez-le-feu depuis le début !), les bombes de l'ONU continuent de s'abattre sur la population civile. Tout est donc une histoire de pétrole où le pays producteur entendait ne pas renouveler le contrat d'exploitation tel qu'il était avant, et abaisser la part des compagnies étrangères.