lundi 25 avril 2011

Masques à poussières

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Après la chasse aux extra-terrestres dont les photographes abondent sur le net, même s'il n'y a pas (encore) d'ouverture officielle de la chasse aux OVNI, et que leur capture s'avérant difficile, la plupart des chercheurs-découvreurs s'adonnent donc aux clichés photoshopés ou messages holographiques lasériens postés depuis les plateformes de Gakona à travers le monde, les appeaux naturels étant 'la connerie des hommes', les cages ou zoos demeurent étrangement vides, comme quoi, même avec de la super-glue posée sur les branches d'arbres ou du grain empoisonné dispersé dans la nature, ils ne se laisseraient pas faire. Effectivement là, peut être posée la question du "Koi ki mange un extra-terrestre" ? et, surtout, du "Où ki fé son nid" ?
Ainsi donc, alors que le pays tout entier aurait dû être évacué dans les 48 heures après la catastrophe de Fukushima; plus d'un mois après, toujours faute de pouvoir en localiser les éléments aériens invisibles, la population s'est donc contenté de "s'enfermer en leurs locaux" (alors que les ondes gamma traversent très bien les murs !) et de porter en extérieur un vulgaire 'masque à poussières' vendu par 10 au supermarché du coin à l'intention des bricoleurs-du-dimanche ! Ainsi donc, la presse ne se fait l'écho de ce qu'elle veut parlant de l'arbre (E.T. ?) qui cache la forêt de Fukushima/Lybie se montrant en collaboration à faire la part belle aux gouvernements qui les emploient.
Pareillement qu'à la chasse ils organisent des battues afin de détruire par exemple la prolifération des chevreuils et sangliers, ou sont jetés des ours et des loups en pâture dans les montagnes afin de terroriser les bergers et troupeaux et d'en indemniser seulement que les animaux morts constatés (les emportés/disparus qui ne sont jamais retrouvés ne le sont donc pas !), des criminels de guerre s'activent a cette similitude orgasmique politicienne en pays lointains. Notez que les prédateurs qui - retournent dans leur famille (s'ils en ont une) après le travail fini - n'en sont pas moins ce qu'ils ont toujours été. De même manière que même un dompteur ne tournera jamais le dos à une bête féroce, le soldat qui a du sang sur les mains ne trouvera de savon pour se les laver. Car, même s'il y a 'ordre', l'action de tuer des enfants, des femmes et d'autres civils porte un nom bien lourd à porter sans jamais que les religions et leurs chefs n'en affichent leur droit de veto.
Ainsi, l'excuse de la chaîne alimentaire s'est elle reporté sur l'action du secours afin que l'humanité ne souffre plus. Effectivement, si les millions de morts pouvaient parler, je ne pense pas qu'ils diraient 'merci' aux docteurs de la nazional socialiste d'Europe ou d'outre Atlantique qui mit un terme à leurs souffrances (a.h. n'était pas musulman).

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