Poison d'avril !

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Effectivement, à ne pas parler dans les médias des retombées de Fukushima et faire 2 lignes sur l'anniversaire de Tchernobyl (qui n'a pas soufflé que 25 bougies !), c'est à se demander si (par exemple stupide de coïncidence) des personnes meurent aujourd'hui du cancer (qui serait long à se développer) ce ne serait donc pas dû aux particules nippones mais aux soviétiques de 86 qui auraient traversé le monde, contaminé la nourriture et, comme les 'hauts responsables' ne seraient plus là... Donc, là, dans ce 'vas-y-que-je-t'embrouille', et que le réacteur de Gorbatchev continuerait ses émanations clandestines, on ne sait plus koi kon respire dans cette mort en petits bouts ! (de là à ce qu'ils accusent le volcan Pinatubo (1991) ou l'islandais de 2010, ou les pots d'échappements des voitures du monde qui ne seraient pas tous parfumeurs à l'eau de rose...).

Donc, à voir la carte des dispersions radioactives sur le Japon, le Pacifique, Canada/USA/Mexique, Atlantique et Europe, ce ne serait là que de la vapeur d'eau pareille à celle sortie des avions chemtraillers et dont il ne faut pas parler ! On se demande bien d'ailleurs pourquoi les 'nettoyeurs' de Fukushima portent des masques et combinaisons !! On se croirait revivre ce début d'année aux States où des millions d'oiseaux étaient soudainement tombés morts de vieillesse et que les croque-morts de service avaient dû porter un masque et combinaison pour les ramasser !http://huemaurice7.blogspot.com/2011/01/essais-scalaires-de-bonne-annee.html

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Ainsi, dans ce foutage de gueules de derrière la vitre, les journalistes qui reçoivent (et qui seraient même payés pour le faire) des dirigeants à la télé (en 3D avant de partir en petits morceaux), s'occasionnent-ils à discutailler d'autre chose et de lendemains comme si les morts pouvaient avoir un avenir. D'ailleurs, à découvrir que les homards, fritures et colin de l'Alaska nagent en eaux radioactives c'est à se demander si les crabes (qui viennent peut-être de là-bas) ne vont pas - à l'approche des élections - descendre dans la rue pour nous serrer autre chose que la pince...