Petits pays près de soi même

.

Comme tous grands pays 'surpeuplés' ne peuvent être dirigé par un seul homme, et que la dictature ne fait plaisir à personne, seuls, les petits pays démocratiques sont donc désignés à subsister et ce, malgré que "les hommes de l'ombre" tentent de les faire disparaître/avaler en des 'unions', 'conglomérat', 'soupe aux choux' au profit des banques qui les payent pour çà. Ainsi, la fable (de la Fontaine) "Le lion et le rat" serait elle enfin de retour aux visages de l'Islande ou de la Tunisie ventant les mérites de l'indépendance.

Whooââh ! Ça y est, le mot est laché ! "In-dé-pen-dan-ce" ! Chacun pour soi, chacun s'occupe de ses affaires et les moutons de Shetland ou du Maghreb seront bien gardés. Plus le pays est petit, plus ses habitants se prennent en main eux-mêmes et gèrent aux mieux comme au plus vite toute situation. Une sorte de 'comité de quartier' où chacun se connaissant cela évite les coups bas, les traîtrises et surtout, surtout la mainmise des banksters qui inventent et prêtent ce qu'ils n'ont pas et vous réclament ensuite ce que vous avez.

Petit à petit, chacun aujourd'hui se rend compte qu'il en sait 'autant' qu'un autre parce que tout homme a ses limites et nul ne peut gérer ce qu'il ne voit pas. D'où, dans les grands pays la mise en place d'une multitude d'échelons qui font qu'autant de cerveaux autant d'idées perso et donc se développent les retards, les détournements, la corruption et les incompatibilités les plus diverses. Donc, à cette dictature contraignante et obligatoire s'élèvent des lois fermant les dernières libertés dans un état policier où règnent les armes, exécutions sommaires et presse bâillonnées.

Les 'chefs' s'enrichissent personnellement avec l'argent détourné des budgets pour le peuple, c'est pas nouveau, le château de Versailles n'a pas été construit avec les ressources personnelles de Louis XIV, et de plus... ce sont eux qui se fixent le montant de leur salaire !!! (d'où la bousculade au portillon pour être 'chef' !). Imaginez qu'à cet exemple... vous fassiez pareil !